Ma virilité déposée en offrande aux pieds d’une Déesse

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Si vous lisez ces quelques lignes, c’est parce qu’à compter de ce jour, Célia, ma Déesse m’a ordonné de tenir un journal intime. Ce journal sera sa propriété, et elle se réserve le droit d’en disposer comme bon lui semblera.

Pendant que je compose ce texte, elle se détend dans son bain tout en discutant au téléphone avec l’une de ses amies. Je ne sais pas ce qu’elles se disent mais elles rient beaucoup. Je suis certain qu’elle lui raconte la  scène de ce matin… J’ai tellement honte et je me sens minable.

Elle aime partager notre quotidien avec ses amis. Elle est très fière d’exercer un tel contrôle sur moi. M’humilier est devenu pour elle quelque chose de tout naturel.

Je soupçonne certaines de ses amies de lui glisser quelques idées de temps à autres tant son inspiration semble sans limite.

Pourquoi je me laisse humilier par cette Déesse?

Déesse

 

Pourquoi me laisser humilier de la sorte me demanderez vous, et bien parce que ça semble la rend heureuse, que je l’aime plus que tout et que je ne veux pas la perdre.

Je vous avouerai aussi que contre toute attente, cela m’excite de plus en plus et que ce sentiment de lui appartenir, le fait d’abandonner toute volonté de m’opposer à elle, me comble un peu plus chaque jour.

Je n’ai pas toujours été aussi docile avec Célia. Lorsque nous nous sommes rencontrés, notre vie de couple ressemblait certainement à beaucoup d’autres, jusqu’à ce jour où tout a basculé.

J’avais commis l’erreur de boire plus que de raison lors d’une fête chez mon ami Alex lorsqu’une ravissante créature m’a littéralement sauté dessus. J’étais loin de Célia, j’ai pensé qu’elle ne le saurait jamais… Ce genre de choses ne m’arrivait pas souvent et je n’ai pas su résister…

J’ai fini avec elle dans la chambre d’amis qu’Alex me réservait pour la nuit, le pantalon descendu,  allongé sur un lit avec la sensation d’être tombé sur un radeau voguant sur des flots déchainés. Les conditions n’étaient pas réunies pour que je puisse satisfaire la belle inconnue, mais c’était sans compter sur son savoir faire et sa détermination.

Piégé par une inconnue lors d’une soirée

Elle m’avait chevauché sans relâche durant des heures, secouant violemment mon radeau déjà mal en point. Je n’avais jamais vu un tel acharnement. Elle a joui trois fois, m’aspergeant chaque fois d’un flot de liquide chaud et odorant. Ça non plus je ne l’avais jamais vu.

Elle est parvenue à entretenir mon érection durant tout ce temps par je ne sais quel moyen, sans que pour ma part je ne parvienne à jouir malgré mon désir. L’alcool en avait décidé autrement.

Une fois la belle satisfaite, je suis tombé dans un profond sommeil. Ensuite, j’ai appris qu’elle avait quitté la soirée me laissant là, la porte de la chambre grande ouverte, offert en spectacle aux autres invités! Sa culotte en dentelle humide trônait sur mon sexe flapi, peut être un souvenir ou en remerciement.

Pendant que les invités s’amusaient tour à tour de ce spectacle, je me battais toujours contre les flots, trempé sur mon radeau.

Je ne le savais pas à cet instant mais ce radeau m’emmènerait loin, très loin…

Je n’ai plus eu de nouvelles de cette fille mais un jour la scène de la cavalcade a refait surface. En effet, un idiot avait jugé utile de nous photographier en douce… Et de fil en aiguille,

Un tel connaissant un tel, la photo est arrivée sur le téléphone de ma belle Célia. Elle savait tout.

Sa décision fut irrévocable, je faisais ma valise et je dégageais, ce que j’ai fait puisqu’elle ne m’a pas le choix.

Seconde chance avec ma Déesse mais …

Puis au fil du temps, face mon immense détresse, à mes messages d’excuses, et à mes appels au secours, elle a fini par accepter de me donner une seconde chance.

Je sais qu’elle ne m’a jamais vraiment pardonné mais je crois qu’elle m’aime toujours malgré tout, je l’espère en tout cas, à sa manière, même si elle ne me le dit plus.

Elle était devenue très froide avec moi, et beaucoup plus exigeante concernant mon implication dans les taches ménagères. A vrai dire elle ne faisait quasiment plus rien à la maison mais en dehors de cela rien n’avait vraiment changé, jusqu’au jour où elle m’annonça:

  • Écoute Julien, j’ai beau faire tous les efforts du monde, je n’arrive pas à te refaire confiance, je ne crois pas que ce soit encore possible entre nous…

Ces mots m’avaient mis KO, tout s’écroulait autour de moi. J’étais prêt à tout pour tenter de lui faire changer d’avis.

  • Mais ma chérie, nous avons déjà parlé. C’était un accident, tu sais bien que je m’en veux terriblement, laisse moi regagner ta confiance. Je te jure de ne plus jamais te décevoir!

 

  • Non, j’ai bien réfléchi, ma confiance tu ne l’auras plus. J’ai peur quand tu pars au boulot, quand je m’absente pour mes cours de yoga, quand tu pars faire les courses, ce n’est plus vivable pour moi, vraiment…

Je suis anéanti… Je ne trouve pas de mots, le silence s’installe.

  • Il y aurait bien cette solution dont m’a parlé Stéphanie mais je ne sais pas, ça ne m’emballe pas.

 

… en cage de chasteté pour la rassurer!

Je trouve Célia sublime à cet instant, un rayon de soleil rencontrant sa chevelure blonde et bouclée.

  • Quelle solution ma chérie, dis moi, on devrait peut être essayer, tu veux qu’on voie un psy?

 

  • Non les psy je n’y crois pas. Non, c’est quelque chose qui t’empêcherait de recommencer, une sorte de cage pour ton sexe dont je garderai la clé, mais je ne sais pas, je ne suis pas sure de pouvoir t’imposer ça… »

Je saisis instantanément l’opportunité de rester auprès de celle qui fait battre mon cœur comme nulle autre.

  • Mais si ma chérie, tu ne m’imposes rien, c’est moi qui te le demande! Essayons, nous verrons bien, si ça peut te rassurer je suis prêt à le porter toute ma vie pour rester auprès de toi!

Son visage s’éclaire très légèrement, elle me regarde.

  • C’est vrai mon chéri, tu serais prêt à accepter ça pour moi?

 

  • Je serais prêt à tout accepter pour toi ma chérie.

Son regard ne m’a pas quitté tandis que je prononçais ces mots. Elle affiche désormais un léger sourire, je la sens rassurée, elle me serre dans ses bras. Elle sent magnifiquement bon.

Comme libérée d’un poids, elle laisse échapper un petit rire léger tout en relâchant son étreinte.

  • En même temps je n’ai pas à me sentir coupable de t’imposer ça, on n’en serait pas là si tu n’avais pas fait d’écart n’est ce pas?

 

  • Bien sur mon amour, bien sur.

Elle avait besoin que je valide ce point de vue.

Fin de la discussion. C’était décidé, elle irait dès le lendemain trouver la précieuse cage qui sauverait notre couple avec son amie Stéphanie qui savait semble t il où la dénicher.

 

homme soumisMon nouveau quotidien avec la cage!

Cela fait maintenant plusieurs mois que je porte ma cage de chasteté. Je la garde quasiment en permanence, même à la maison en présence de Célia qui a fini par y voir l’occasion mettre fin à mes érections récurrentes, visibles en tenue décontractée, et qu’elle jugeait trop oppressantes.

  • Ça me met la pression, j’ai toujours l’impression que tu vas me sauter dessus, m’avait elle dit.

Le fait est que Célia est une véritable bombe, elle une classe folle et reste toujours sexy, même en tenue d’intérieur avec ses Pyjama en soie, ses petites mules qui me rendent totalement dingue.

Alors comment réprimer ces érections… Effectivement la cage le fait très bien, c’est un peu douloureux parfois mais je commence à m’y habituer.

Stéphanie lui avait suggéré de porter la petite clé dorée à une jolie chainette en or fin qu’elle pourrait attacher à sa cheville. Je pense que cette fille a des vues sur Célia et qu’elle veut me faire payer d’être avec elle. Sur le coup Célia avait trouvé ça un peu « too much » mais devant l’enthousiasme et les encouragements de sa copine, elle a fini par me montrer le bijou qu’elle avait repéré et je le lui ai offert.

Les rares moments où il m’est permis de retirer ma cage, c’est pour dormir et pour uriner, ce qui m’oblige à réclamer chaque fois la clé à Célia qui me fait parfois attendre quand elle est occupée. C’est extrêmement humiliant mais non négociable comme beaucoup de choses depuis qu’elle a compris que je ne pourrais supporter de vivre sans elle.

Abandon de ma virilité et de ma fierté pour ma Déesse!

En fait, je me rends compte que pour elle j’ai fini par renoncer à ma fierté et à ma virilité mais je m’en moque. J’ai aussi renoncé aux plaisirs solitaires que je m’autorisais souvent quand elle n’était pas là, stimulé par sa lingerie fine que je récupérais dans le panier à linge sale.

Le plus gênant avec cette cage, c’est lorsque nous sortons avec ses amis.

L’autre jour, alors que nous étions au restaurant avec toute une bande, Béa a remarqué le bijou merveilleusement mis en valeur par la sublime cheville de Célia et son pied divin chaussé de talons extrêmement sexy.

  • C’est magnifique ce que tu portes à la cheville Célia, j’adore! Et la clé, c’est celle du bonheur?, plaisanta Béa tout fort juste au moment ou plus personne ne parlait.

Plusieurs regards se sont tournés vers ma geôlière, le temps s’est arrêté. J’étais suspendu à ses lèvres. Mon souffle s’arrêta lui aussi. Je me rassurai en me disant que ma Déesse ne révèlera pas la vérité mais j’avais aussi très peur de Stéphanie qui semblait se délecter de l’instant. De plus, je lus l’excitation sur son visage.

Célia me libèra enfin de mes tourments en finissant par répondre sur le ton de l’humour:

  • C’est la clé du succès ma chère!

Célia, Béa et Stéphanie furent, alors, pris d’un fou rire qui sembla ne jamais finir. Voir ces trois superbes filles rire aux éclats au sujet de cette clé qui représentait pour moi la fin de la virilité me mit dans un drôle d’état. Je commençais à me sentir très frustré depuis quelques temps. En effet, je me sentais, infiniment, impuissant face à ces femmes qui pouvaient, de toute évidence, décider de, où et quand leur amant leur ferait l’amour d’un simple claquement de doigts.

 

Nouveau rituel au réveil!…

  • Julien? Ca avance ton journal?

Célia est toujours dans son bain. Elle s’est mise à rire sans attendre ma réponse. Je comprends que l’une de ses amies est déjà au courant pour le journal, et qu’elle finira certainement par le lire.

Mais ça m’est égal, humilié pour humilié, je ne suis plus à ça près.

  • Ca avance ma chérie, ça avance!

Je me suis un peu égaré…

Voici donc ce qui m’est arrivé se matin!

Ce matin comme beaucoup d’autres, j’ai été tiré du sommeil par un très léger coup de pied porté aux testicules par Célia qui me tournait le dos et cherchait la chaleur de mon entre jambe pour réchauffer ses pieds divins.

Comme chaque fois, j’accédai à sa requête sans un mot, en me tournant vers elle pour lui en faciliter l’accès.

Je sentis ses pieds froids se faufiler, le premier entre mes cuisses, le talon bien collé contre mes testicules chaudes, le second posé sur mon bas ventre un instant, puis descendant doucement sur mon sexe. Mon sexe était désormais coincé entre ses deux pieds, et je pouvais sentir ses orteils froids, posés sur mon gland circoncis.

Alors qu’elle était jusqu’alors au repos, je sentis ma verge gonfler instantanément sans que je n’aie mon mot à dire et sans que Célia ne semble y prêter attention.

Comblé, je ne bougeai plus pendant un moment, et elle non plus. Je crois qu’elle s’était rendormie. Ses pieds qui commençaient à se réchauffer étaient, désormais, animés de très légers soubresauts, à peine perceptibles. Mon sexe devint rapidement dur comme un morceau de bois. Ma Déesse rêvait. Je ne devais pas bouger pour ne pas la réveiller car ça la met toujours de mauvaise humeur pour la journée.

 

Ne pas céder à l’excitation!…

Ce n’était pas la première fois que je me retrouvais dans de cette situation. En effet, elle aimait se servir de mon entre jambe pour se réchauffer les pieds. Aussi, elle le faisait, assez souvent, mais ce matin les choses ne se sont pas déroulées comme d’habitude.

Ce matin, Célia bougeait un peu plus, stimulant mon sexe qui avait été plus que délaissé ces derniers temps, si bien que je pus sentir que mon excitation allait rapidement échapper à tout contrôle.

Il fallait absolument que je m’extraie de cette étreinte. Célia ne supporterait pas qu’il m’arrive ce genre d’accident.

Aussi, je tentai d’initier un mouvement de bassin vers l’arrière mais la respiration régulière de Célia s’interrompit subitement. Je craignait vraiment de la réveiller, en plus je me rendis compte que j’étais déjà au bord du lit.

Donc, je décidai de prendre sur moi pour me contrôler et ne pas la réveiller. Cependant, la sensation de ses pieds délicats sur mon sexe était, tellement agréable, comment se résoudre à mettre fin à ce moment de pur bonheur.

Son rêve sembla reprendre! Ses pieds s’animèrent à nouveau de petits mouvements.

Je devais penser à autre chose, quelque chose qui puisse couper mon excitation, je respirai… Ensuite, je sentis, toujours, son orteil sur mon gland qui appliquait de petites pressions irrégulières.

Je respirai une fois puis deux! Finalement, j’essayai de m’imaginer que ce n’était pas Célia mais Jean-Michel.

Cela sembla fonctionner. En effet, je sentis mon rythme cardiaque s’apaiser légèrement. Quand, soudain, sa voix produisit un petit son infiniment sexy alors qu’elle soupirait tout en faisant glisser son pied délicat le long de mon sexe qui retrouva, instantanément, sa turgescence. C’en était trop! Je n’en pouvais plus!

 

…Mais impossible de résister!

 

Ne pas jouir, ne pas la réveiller, respirer, ne pas jouir… Son orteil pressa, encore, mon gland! Son talon, posé, sur mes couilles appliqua une petite pression, légèrement douloureuse, puis remonta le dessous de mon sexe sur toute la longueur pour finir sous la base de mon gland. Ses orteils effleuraient, désormais, mes testicules à chacun de leurs mouvements.

Encore, un petit gémissement infiniment sexy, accompagna de nouvelles pressions de ses orteils sur mes testicules.

Le pied dont un orteil était posé sur le dessus de mon gland bougea plus brusquement, frottant durement mon gland sur toute la longueur de son 38 de pointure.

J’étais, à deux doigts d’exploser, mais j’étais, désormais, totalement sous son emprise! Il m’était, à présent, impossible de me résoudre à me retirer.

Elle était décidément très agitée, cette nuit. Un nouveau mouvement brusque et l’ongle de son gros orteil vint griffer mon gland… OUCH!!! Cela fit très mal. Je pense que je saignais mais peu importe.

Je voulais que ce moment dure pour l’éternité. Merci mon amour pour ce moment unique!

Comme pour se faire pardonner Célia reprit de petits mouvement saccadés qui sonnaient le glas de tous mes espoirs de résistance!

Ainsi, j’étais, directement, propulsé au delà du paradis tandis que je me vidais progressivement à ses pieds de toute l’ardeur du désir accumulée durant ces longues semaines qui m’avaient paru une éternité.

Je pourrais mourir sans le moindre regret après avoir connu cet instant ultime, aux pieds de celle qui était sans conteste la plus sublime des déesses.

Ensuite, je reste, ainsi, inanimé, comme sonné par ce torrent de sensualité, alors que ma belle émergeait doucement.

 

Un bon petit soldat dévoué au plaisir de ma Déesse!

Elle se retourna vers moi pour se blottir dans mes bras et j’en profitai pour m’avancer vers elle et recouvrir ce flot de sperme en espérant retarder le moment où elle le découvrira.

Elle n’avait encore rien remarqué, Morphée ne lui ayant pas encore rendu tous ses sens.

Comme sa peau était douce, je fondis au contact de son corps contre le mien.

  • Mmmmm… J’ai bien vraiment dormi cette nuit mon amour! » M’annonça t-elle d’une voix si sexy que ma fonte s’acheva.

 

  • Mmmmm… Mon chéri j’ai envie de ta langue pour me réveiller en douceur…

 

  • Tes désir seront exhaussés mon amour, m’entendis-je répondre comme si j’étais totalement possédé.

 

  • Mmmm… Tu sais me parler toi…

 

Elle semblait si épanouie, cela m’emplit de bonheur.

Je commençai à me faufiler sous la couette pour descendre doucement jusqu’à ce que mon visage se retrouve tout près de sa sublime intimité dont la douce effluve me fit tourner la tête.

Elle glissa ses doigts fin dans mes cheveux, me caressa la tête, tandis que je posai délicatement ma langue sur ses lèvres. Sous l’effet de mes assauts, elle se cambra légèrement et me saisit fermement par les cheveux pour m’orienter à sa guise.

A ce moment là, je lui appartenais, et cela faisait de moi l’homme le plus riche qui soit.

Le parfum de son intimité était assez puissant ce matin mais ce n’était pas pour me déplaire.

En bon soldat, je continuai de m’exécuter en me délectant de chaque seconde.

Ses mouvements devenaient, de plus en plus amples. J’entendis son pied glisser sur le drap housse pour se glisser sous mon ventre.

Elle vint chercher mon sexe. En effet, elle aimait venir sonder mon érection et jouer avec du bout du pied pendant que je m’occupais d’elle.

Mais cette fois-ci, ma verge s’écrasa mollement au contact de ses orteils.

Cela n’arrivait jamais. Elle savait, pertinemment, que la seule vue de sa sublime vulve me mettait invariablement dans tous mes états…

Son corps s’immobilisa. Elle remarqua les traces laissées par mon envolée solitaire.

Je ne lui ferai encore pas l’amour aujourd’hui…

A suivre…

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