Homme soumis : mon initiation à la soumission bien malgré moi (1)

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Je vais vous raconter comment je suis devenu un homme soumis un peu malgré moi. Tout a commencé lorsque j’ai fait la connaissance de maitresse Sandy. Bien sûr à cette époque j’étais loin de m’imaginer que c’était une femme dominatrice, j’aillais l’apprendre plus tard à mes dépens.

Au début, notre relation semblait tout à fait normale, basique. Bien sûr quand nous étions dans l’intimité, j’avais bien remarqué qu’elle aimait dominer. Lorsque nous avions des relations intimes, elle prenait toujours la direction de nos ébats, assez violemment je dois dire.

Elle aimait, également, prendre des photos de nos relations sexuelles. Je n’avais jamais fait ce genre de chose, mais je me suis dit pourquoi pas. J’étais loin de m’imaginer que ces photos allaient me couter cher un peu plus tard.

Notre relation a duré comme ça plusieurs semaines.

 

Convoqué par Sandy !

 

Un soir, alors que j’étais chez moi, je reçus un coup de téléphone, c’était Sandy. A l’époque je ne l’appelais pas encore « maitresse Sandy ». Elle me dit :

-demain je souhaite te voir, mais dans un endroit en peu particulier, voici l’adresse !

Je lui demandais pourquoi elle souhaitait me voir dans cet endroit, et à quoi correspondait cette adresse. Elle me répondit :

-tu n’as pas en savoir plus, tu verras demain, et surtout ne soit pas en retard !

Avant même que je puisse ajouter quelque chose elle raccrochât le téléphone.

Je me suis bien sûr posé beaucoup de questions toute la soirée, et toute la journée du lendemain.

Arriva l’heure du rendez-vous. Une fois à l’adresse qu’elle m’avait indiquée, je découvris une maison de maitre, c’était une grosse propriété.

 

Reçu par une femme nue dans une maison de Maître

 

Je sonnai à la porte. Lorsque la porte s’ouvrit, qu’elle ne fut ma surprisse de voir une jeune femme totalement nue. Elle ne portait que des bas nylons, et des chaussures à talons. Sur le moment, je pensai m’être trompé d’adresse. Aussi, je m’excusai et je fis mine de repartir. A ce moment précis, cette femme nue m’appela par mon nom. Comment cette femme que je n’avais jamais vue connaissait-elle mon nom ? Je lui posai bien sur la question mais elle ne me répondit pas, et m’invita à rentrer. J’hésitai mais elle insista et me dit :

-Maîtresse Sandy vous attend !

-Maîtresse Sandy ? lui dis-je.  Je ne connais pas de maitresse Sandy.

-Si me répondit elle, rentrez c’est dans votre intérêt.

Je me décidai donc à rentrer, et à suivre cette femme que je ne connaissait pas. Elle me conduisit dans une grande pièce style Louis XV. Elle me dit d’attendre ici, que maitresse Sandy allait arriver. Encore cette maitresse Sandy, mais qui était donc cette fameuse maitresse Sandy ? J’allais très vite le découvrir.

 

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Apparition de Sandy en tenue très sexy et très cuir !

 

J’attendis donc cette Maîtresse Sandy de longues minutes, de très longues minutes. Soudainement, une personne rendra dans la pièce. C’était Sandy. J’étais stupéfait ! Elle portait un pantalon de cuir noir, des chaussures à talons, et une blouse très décolletée, également, en cuir de couleur noir. Je ne l’avais jamais vu habillée de la sorte. Elle tenait à la main une cravache.

Je lui demandai que signifiait toute cette mise en scène, et là, je reçus une gifle. Elle me dit :

-les questions c’est moi qui les pose, tu parles uniquement quand je te donne l’autorisation!

Je me rebiffai, et lui dis de cesser immédiatement ce petit jeu. Cette fois, je reçus un coup de cravache. Ce coup de cravache me laissa comme deux ronds de flanc. Je ne savais plus quoi dire.

Elle me dit :

A partir de maintenant, tu m’appelleras Maîtresse Sandy ! Tu m’appartiens, et tu feras ce que je te demande, as-tu bien compris ?

Je ne répondis pas.

-Déshabille-toi immédiatement ! : me dit-elle.

Je lui répondis que je refusais de rentrer dans son jeu, et que je rentrais chez moi.

 

Giflé, cravaché puis à genoux devant Maîtresse Sandy !

 

C’est exactement à ce moment précis que j’allais payer le prix des fameuses photos que nous avions faites.

-Tu te souviens des photos ? Si tu ne te plies pas à mes exigences, ces photos seront envoyées à ta patronne.

J’étais donc coincé. Maîtresse Sandy possédait des photos de moi totalement nu, et parfois même dans des positions humiliantes. Il était hors de question que ma patronne ne rentre en possession de ces photos.

Je décidai donc de me plier à Ses exigences. Je commençai à me déshabiller. Ainsi, je me retrouvai totalement nu devant Maîtresse Sandy. Elle me dit de me tenir droit, jambes écartées, les bras croisés dans le dos. Je me sentais totalement humilié, et ça ne faisait que commencer. Maitresse Sandy me mit un collier autour du coup, avec une laisse attachée à ce collier.

-Mets-toi à genou devant moi, cuisse écartée !

Je m’exécutai. Elle tournait autour de moi en me disant que j’allais vivre des heures difficiles, mais que c’était pour mon bien, le tout en me donnant de temps en temps des coups de cravache sur les fesses. J’étais mort de honte.

-Mets-toi à quatre pattes et suis moi !

Je suis à quatre pattes aux pieds de Maitresse Sandy, tenu en laisse telle un chien.

 

Conduit dans une sorte de « donjon » !

 

Maitresse Sandy me conduisit dans une autre pièce de couleur noir et rouge. Pendu au mur, il y avait tout un assortiment d’instruments, cravaches, plusieurs sorte de fouets, pinces japonaise, et d’autre instruments que je ne connaissais pas. Sur un autre mur, il y avait une croix de saint André. Sans un autre coin de la pièce, il y avait une cage dans laquelle je découvrirais plus tard dans la soirée que j’allais y passer la nuit. Au centre de la pièce, se trouvait une sorte de tabouret bizarre. Je compris à cet instant ce que Maîtresse Sandy voulait dire quand elle m’avait dit que j’allais vivre des moments difficile. Mon éducation d’ homme soumis allait commencer, et j’étais loin de m’imaginer que j’allais y prendre gout.

Maitresse Sandy m’ordonna de me mettre à genou, cuisses écartées et les mains derrière la tête.

-Tu dois mémoriser les différentes positions de l’homme soumis : me dit-elle, il est hors de question que je te dise en permanence comment tu dois te tenir devant moi, dans le cas contraire tu seras sévèrement puni !

Je répondis :

-oui Maitresse Sandy !

 

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Punition pour l’homme soumis !

 

Elle était assise sur une chaise devant moi et elle me regarda de longues minutes sans dire un mot. Le temps me parût long dans cette position humiliante. Mes genoux commençaient à me faire mal, mais je n’osais bouger. Maitresse Sandy avait les jambes croisées l’une sur l’autre, la jambe droite au-dessus de la jambe gauche.

Soudainement, elle leva sa jambe droite et me dit :

-lèche !

Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait.

-Pardon maitresse Sandy : demandai-je ?

-Lèche ma chaussure et dépêche-toi petit homme soumis !

Je m’y refusais.

-Il est hors de question que je lèche vos chaussures !

-Refuser d’obéir à un ordre directe de ta Maîtresse est une offense suprême, tu vas l’apprendre à tes dépens mon chère ami ! Met-toi debout !

J’eus du mal à me relever car mes jambes étaient ankylosées d’être restées si longtemps à genou. Je me retrouvai attaché sur cette sorte de tabouret bizarre, mes fesses bien exposées à la cravache de Maîtresse Sandy.

-Nous allons commencer par une petite séance de 50 coups de cravache. tu vas les compter, et dire « merci Maîtresse Sandy » après chaque coup ! Je vais t’apprendre à m’obéir sans discuter cher petit homme soumis !

 

Cinquante coups de cravache !

 

Maitresse Sandy commença à exécuter la sentence. Un, merci Maîtresse Sandy, deux, merci Maîtresse Sandy, trois, merci Maîtresse Sandy, quatre, merci Maîtresse Sandy, cinq, merci Maîtresse Sandy. Les coups commençaient déjà à faire rougir mes fesses, et la douleur commençait à bien se faire sentir. Surtout que Maîtresse Sandy ne retenait pas ses coups.

Dix, merci Maîtresse Sandy, douze, merci Maîtresse Sandy, treize, merci Maîtresse Sandy, quatorze, merci Maîtresse Sandy, quinze, merci Maîtresse Sandy. La douleur devenait vraiment intense, mes fesses étaient rouges écarlates et je pouvais, également, sentir qu’elles étaient, bouillantes. Maintenant, je ne pouvait plus retenir mes cris après chaque coup. Maîtresse Sandy continua la punition sans pitié. J’eus l’impression que mes cris l’excitaient. Je voulais à ce titre retenir mes cris pour essayer qu’elle frappe moins fort, mais c’était impossible, la douleur était trop forte.

Nous en étions, alors, aux trentièmes coups de cravache, trente et un, merci Maîtresse Sandy, trente-deux, merci Maîtresse Sandy, trente-trois, merci Maîtresse Sandy, trente-quatre, merci Maîtresse Sandy, trente-cinq, merci Maîtresse Sandy.

 

Suite de la sentence !

 

Mes fesses étaient en sang. Je ressentais chaque coup comme une décharge électrique. Les larmes coulaient sur mes joues, je suppliai Maîtresse Sandy d’arrêter.

-Pitié Maîtresse Sandy ! Arrêtez je vous en supplie ! Je n’en peux plus Maîtresse Sandy !

Rien n’y fit ! Maîtresse Sandy continua la sentence sans broncher.

-Tu apprendras que tu dois endurer jusqu’au bout ta punition !

J’avais du mal à parler tellement la douleur était instance.

-Surtout ne te trompe pas en comptant car dans le cas contraire, on recommence à zéro me dit-elle.

Je me concentrai comme jamais pour ne pas me tromper, quarante, merci Maîtresse Sandy, quarante et un, merci Maîtresse Sandy, quarante-deux, merci Maîtresse Sandy, quarante-trois, merci Maîtresse Sandy… Quarante-huit, merci Maîtresse Sandy, quarante-neuf, merci Maîtresse Sandy, cinquante, merci Maîtresse Sandy. Je n’en pouvais plus, je n’avais jamais ressenti une telle douleur.

Maîtresse Sandy veut faire de moi un parfait homme soumis !

 

Maitresse Sandy me détacha de ce tabouret. Je parvenais à peine à tenir debout, me jambes tremblaient comme jamais.

-A genoux  homme soumis !

Je m’exécutai. Maitresse Sandy était à nouveau assise sur la même chaise que tout à l’heure, avec de nouveau les jambes croisées. Elle leva sa jambe droite et dit :

-lèche !

Je peux vous assurer qu’à ce moment là, je ne me suis pas poser la moindre question. Ainsi, je m’empressai de lécher la chaussure de Mai1tresse Sandy. Je ne voulais pas revivre la séance de cravache. Je lui léchais donc sa chaussure, puis la semelle, ensuite je suçais la pointe comme si je suçais un pénis. Ensuite se fut le tour de l’autre chaussure.

Je n’avais jamais ressenti une telle humiliation, mais je léchais sans broncher malgré que ma langue fût noire à force de lécher les semelles de ses chaussures. Maîtresse Sandy esquissa un léger sourire. Elle savait qu’elle venait de briser ma volonté de résister. Elle venait de remporter sa première victoire.

-Enlève ma chaussure ! Lèche !

Ces pieds étaient légèrement odorants. Ils sentaient le cuir de ses chaussures. Je commençai par lui lécher la plante des pieds.

-Passe ta langue de soumis entre mes orteils !

J’obéis. Je continuai comme ça pendant de très longues minutes. Au bout d’un moment, quelle fut ma surprise de me rendre compte que j’étais en érection. Comment était-ce possible ? Comment pouvais-je être excité par une telle situation ? Bien sûr Maîtresse Sandy se rendit très vite compte de mon érection.

-Je vois que tu aimes ça petit homme soumis : me dit-elle avec un grand sourire. Tu vois, je ne me suis pas trompée à ton sujet, je vais faire de toi le parfait homme soumis !

-Oui Maîtresse Sandy !

 

Suite de la punition pour l’homme soumis !

 

Malheureusement pour moi, maitresse Sandy était loin d’en avoir fini avec moi. Après cette douloureuse séance de cravache, et après lui avoir longuement léché les pieds j’allais avoir droit à d’autre pratique attaché sur la croix de saint André. J’étais attaché les bras et les jambes en croix face à elle, mes tétons, et mon sexe à ça Merci.

-Nous allons passer cher soumis à un autre de type de douleur !

-Oui maitresse Sandy !

Elle attacha à chacun de mes tétons une pince qu’elle appela des pinces japonaise. Dès que les pinces se refermèrent sur mes tétons, je ressentis une vive douleur. Ensuite, elle passa un anneau autour de mon pénis qu’elle relia à une machine à l’aide de deux fils électriques. Je sentis mon cœur battre dans ma poitrine. Je ne savais pas à quoi m’attendre.

Maitresse Sandy revint aux pinces qui étaient maintenant attachées à mes tétons depuis de longues minutes. La douleur n’était plus si intense car mes tétons étaient endoloris. Mais Maîtresse Sandy savait ce qu’elle devait faire pour faire revenir la douleur. Et la douleur vous pouvez me croire, est très vite revenue. Elle commença à jouer avec les pinces. Elle tirait dessus une fois vers les bas, une fois vers le haut, une autre fois de gauche à droite.

La douleur était intense. Tous mes muscles étaient tendus. On pouvait lire la douleur que je ressentais sur mon visage. Cette douleur n’était rien. Elle commença à tordre les pinces. Ainsi, elle leur fit faire un tour complet. Je commençai à nouveau à pousser des cris, ce qui excitait bien sur Maîtresse Sandy qui continua de plus belle.

 

Attaché à la Croix de Saint-André !

 

Me voilà à ma grande surprise de nouveau en érection, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. L’humiliation de lui lécher les pieds me faisait bander ainsi que la douleur. Comment était-ce possible ? Que m’arrivait-t-il ? Tout était flou dans ma tête.

Pour terminer, elle passa une ficelle dans chaque pince, qu’elle passa ensuite dans une poulie située au plafond. Ensuite, elle tendit la ficelle à son maximum. Mon dos ne touchait plus la croix de saint André tellement mes tétons étaient tendus. La douleur était intense, mais c’était sans compter sur la perversité de Maîtresse Sandy.

Elle mit en fonction la machine à laquelle les fils électriques reliés à l’anneau autour de mon pénis étaient branchés. Au bout de quelques instants, je ressentis une décharge électrique sur mon pénis, puis une autre, et encore une autre à intervalle et puissance irrégulière. Pour terminer, elle me bâillonna avec une boule reliée à une sorte de bracelet. Cette boule dans la bouche m’empêchait de pousser des cris.

-Je ne veux plus t’entendre : me dit-elle.

Maitresse Sandy quitta la pièce, et me laissa comme ça. Je la suppliai du regard de revenir, de ne pas me laisser dans une telle posture, et puis… me voilà tout seul dans cette pièce, les tétons étirés, recevant des décharges électriques sur le sexe.

 

Enfin la fin du calvaire !

 

Je ne sais pas avec exactitude combien de temps je suis resté comme ça, mais il s’est bien écoulé une bonne heure. Mes tétons étaient endoloris comme jamais, mon sexe également par les décharges électriques qui bien sur me faisaient bouger ce qui avait pour conséquence d’étirer encore plus mes tétons. J’étais sur la pointe des pieds, mes mollets étaient durs et douloureux. De plus, je commençais à avoir des crampes, cette position était horrible. Je ne pouvais m’empêcher de penser « mais quand-est-ce qu’elle va revenir, elle ne va tout même pas me laisser comme ça toute la nuit ? » Le stress m’envahissait.

Je ressentis un immense soulagement quand j’entendis la porte s’ouvrir et que je vis Maîtresse Sandy pénétrer dans la pièce. C’était, enfin, la fin de mon calvaire. Bien sûr Maîtresse Sandy prit tout son temps pour relâcher la tension de la ficelle, et me sortir de cette posture plus qu’inconfortable et douloureuse. Une fois la ficelle retirée, et l’anneau enlevé de mon pénis, il restait bien sur les pinces à retirer de mes tétons. Pour cela, Maîtresse Sandy ne prit pas la peine d’ouvrir les pinces. Non, elle était bien trop vicieuse pour ça.

Elle prit une pince dans chacune de ses mains, et elle les tira d’un coup sec sans ouvrir les pinces, le téton droit pour commencer, et ensuite sans que j’eus le temps de récupérer de cette horrible douleur, ce fut le tour du téton gauche. Mes cris furent étouffés par la boule que j’avais dans la bouche. J’eus tellement mal que j’ai laissé la trace de mes dents dans cette boule. La douleur fut tellement intense que je ne pus m’empêcher d’uriner. Cela bien sûr eut le don d’énerver Maîtresse Sandy qui après m’avoir détaché de la croix m’ordonna de nettoyer l’urine au sol avec ma langue. Chaque lapée d’urine me donnait des envies de vomir, mais j’ai nettoyé toute l’urine avec ma langue sans broncher.

 

Homme soumis en cage de chasteté

 

Après ce nettoyage imposé, je me retrouvai debout, jambes écartées, les mains derrière la tête devant ma Maîtresse. Et oui, j’ai bien dit « ma Maîtresse »! Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait mais je considérais déjà Maîtresse Sandy comme ma Maîtresse.

Comme si tout ce que je venais de subir n’était pas suffisant, ma Maîtresse prit encore un malin plaisir à me torturer les tétons en les pinçant entre ses doigts. Elle les pinça, tellement fort, que je ne pus m’empêcher de me mettre sur la pointes des pieds. Ensuite, la soirée étant déjà bien avancée, ma Maîtresse me dit :

-c’est terminé pour ce soir !

Ma Maîtresse termina cette première séance forte en émotion en enfermant mon sexe dans ce qu’elle appela une cage de chasteté qu’elle ferma à l’aide d’un cadenas, et garda la clé autour de son cou. Elle m’enferma ensuite dans la cage au bout de la pièce.

-Tu vas passer la nuit dans cette cage telle un chien que tu es ! Bonne nuit petit homme soumis !

-Merci maitresse Sandy !

La sensation que je ressentais était paradoxale. En effet, j’étais à la fois content que cette séance plus que douloureuse soit terminée, et d’un autre coté je me surprenais à être déçu que ça soit fini.

Est-ce-que j’étais occupé à devenir un homme soumis ? Oui je pense bien, j’avais même bizarrement hâte que ça recommence.

Je passais donc la nuit enfermé dans cette petite cage, le sexe toujours enfermé dans la cage de chasteté, et cette boule toujours dans ma bouche. Il y avait tellement longtemps que cette boule était dans ma bouche que je ne pouvais m’empêcher de baver.

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3 réflexions au sujet de “Homme soumis : mon initiation à la soumission bien malgré moi (1)”

  1. éh bien pour un debut c’est radical comme traitement ces decharges electrique couplé au pince sur les tetons cela doit etre intense…. je ne savais pas par contre que la douleur pouvait faire uriner comme cela comme quoi j’ai encore a apprendre… merci

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