Les pieds de Mademoiselle, Déesse dominatrice!

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Mademoiselle s’était assise sur un fauteuil et avait ôté ses souliers. Mon regard s’était longuement arrêté sur la racine de son corps. De son index, ma Déesse dominatrice avait désigné ses pieds. Je m’étais alors agenouillé devant elle, aplati devant elle, face contre terre et avait embrassé ses chaussettes. 

Elle portait des chaussettes blanches, pareils à celle d’une danseuse étoile, et de fait, Mademoiselle semblait solaire. Une fois le baiser accompli, la tête tournée vers le sol, je patientais. Mademoiselle me mit une tape sur la joue :

  • Qu’attends-tu?

C’était la première fois qu’elle m’autorisait à lui enlever ses chaussettes.

Elle plaça sa jambe droite sur mon épaule et je commençai par lui enlever la chaussette de son pied gauche. Délicatement, je découvrais la blancheur de la peau sous la blancheur du tissu. Millimètre après millimètre, mon œil admirait la perfection qui se dévoilait. Elle me pressa d’une petite claque sur la joue.

  • Dépêchons!

Et elle passa sa jambe gauche sur mon épaule tandis que je dénudais sa jambe droite. Ainsi, elle mit ses deux pieds face à moi. Ensuite, d’un ton sûr et souriant, cette Déesse dominatrice demanda : 

 

  • Alors, comment trouves-tu mes pieds ? 
  • Ils sont ceux d’une Déesse antique Mademoiselle, répondis-je, allongé devant elle, admirant la courbe de ses chevilles et massant ses orteils. 

 

A la disposition des plaisirs de cette Déesse dominatrice

Déesse dominatrice

 

J’étais alors tout pâle mais comblé, avec la présence de Mademoiselle si proche de moi. Son pied droit parcourait nonchalamment mon visage, effleurait mes lèvres puis entrait dans ma bouche. Troublé, je sentais que je devenais tout rouge. Mademoiselle rit, d’un rire vif et malicieux.

Les pieds de Mademoiselle étaient pareils à ceux d’une statue grecque. Ils semblaient avoir été sculptés dans le marbre et avaient une symétrie harmonieuse et douce. Ses chevilles, légèrement relevées, évoquaient la distinction et l’appartenance à un rang supérieur. Enfin, les nerfs qui les parcouraient, semblaient soudains et puissants, comme ceux d’un animal libre et sauvage.

Et tandis que je répondis, déjà mes mains massaient ses pieds. Le sang vif circulait dans ses chevilles, que l’on pouvait ressentir en pressant légèrement sa peau. On devinait un caractère fier et qui ne soufrait pas la contradiction. Une sorte de rougeur et d’afflux nerveux parcourait aussi mon corps à moi, mêlé de honte et de fierté. Dans le plus pur dépouillement et dans le plus simple appareil, j’appartenais ainsi à Mademoiselle, à son orgueil superbe et souverain. Étant à la disposition de ses plaisirs, une impression de fierté me fit frissonner.   Je savais son regard porter sur moi mais n’osais lever les jeux.

Elle rit une seconde fois et dit,

  • Cela te fait de l’effet apparemment!

 

Erection incontrôlée provoquée par cette situation!

Elle avait remarqué l’érection incontrôlée que me provoquait cette situation. Elle passa, alors, l’un de ses deux pieds sur mon sexe dur, qu’elle secouait un peu et qui se durcit d’autant plus. Il était lourd et plein et légèrement dégoulinant. Alors, elle essuya l’un de ses pieds dans mes cheveux. 

Pour ma part, je continuai à masser son autre pied, qui s’était ostensiblement rapproché de mes lèvres. Mademoiselle appliqua son gros orteil sur ma bouche. Son gros orteil, tout en sentant un peu la transpiration, avait cependant un parfum enivrant de fleur d’oranger. Ensuite, elle fit entrer, ce gros orteil dans ma bouche, les quatre doigts de pieds, les uns après les autres. Le plus agréable fut, sans doute, le petit, si fin et frêle. Enfin, Mademoiselle souhaita aventurer l’ensemble de ses orteils, en même temps, dans ma bouche. Cet acte fut très humiliant. Mon front rougit. Cependant, je me rebellais pas contre l’autorité implacable de Mademoiselle.

Sans ajouter un mot, et comble de l’humiliation, elle y glissa ses deux pieds en même temps. Enfin, elle regarda l’effet de ce geste sur mon sexe dressé. Je crois qu’un frisson parcourut mon corps. Finalement, elle les ressortit toujours délicatement et moqueuse et elle les essuya sur mon front et sur mon torse. 

 

Giflé par Mademoiselle, ma Déesse dominatrice!

L’instant d’après, elle réajusta sa jupe. Avec ce mouvement, mon regard se retrouva au niveau de son sexe. Mademoiselle portait une jupe à fleur, printanière, et un sous vêtement blanc qui mettait en valeur la fraîcheur de ses jambes et l’élégance de ses cuisses.

 

  • Qu’oses-tu regarder ?, s’exclama Mademoiselle, tandis qu’elle giflait ma joue droite.

Honteux, je baissai les yeux et je m’humiliai à nouveau à ses pieds. La colère de Mademoiselle me rappela la place qui était la mienne, proche du sol et de ses pieds. Elle prit alors ses chaussettes sales, qu’elle plaça sur mes yeux, avec interdiction ni de les enlever ni de les faire tomber. Sans le regard, ses pieds devenaient le lien qui me raccrochait au monde.

Mes gestes pour les masser se firent plus précis. Je sentais leur moindre mouvement, chacun de leur déplacement, leur relâchement et les nœuds qui les crispaient. Mes doigts passèrent entre les orteils, sur la voûte plantaire, tantôt comme une caresse, tantôt comme une plume, parfois comme une pierre frêle et volcanique. J’esperais que Mademoiselle était traversée de sensation douces et apaisantes. Cette idée me conforta dans mes mouvements.

Et, sans doute se mit-elle à lire un livre, tandis que je continuais pendant longtemps à lui masser les pieds, nu, à genoux, les yeux bandés par des chaussettes, humilié mais fier.

 

 

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