Lettre à Maîtresse Léa

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Très chère Maîtresse Léa,

Alors voilà, je vous en avais déjà parlé il y a quelques mois. Tous les soirs, je m’endors et je fais le même rêve!  Cependant, je ne sais pas pourquoi! Peut-être est-ce parce que je pense à vous, chère Maîtresse  et à l’été qui arrive et avec lui, la fin du confinement? A chaque fois, mon rêve commence toujours de la même façon. Des fois, c’est perturbant car je bande et je suis tout excité à côté de ma femme qui dort! Croyez-le ou non mais je préfère rester excité et frustré plutôt que de tenter d’obtenir quelque chose d’elle. C’est un moment où je pense à vous et je ne veux pas tout mélanger.

Bref, voici le scénario de mon rêve. Vous arrivez en bateau, un petit ferry tout ce qu’il y a de plus classique. C’est l’été, vous avez une robe légère et une grosse valise à roulette. Le bateau accoste et « vomit » son lot de touristes d’un jour et c’est là que vous m’apercevez. Je vous attends, je m’approche de vous, je vous embrasse et je prends la grosse valise. Une voiture de location nous attend. Bienvenue sur l’île du Levant!

A votre service, chère Maîtresse

Maîtresse

 

Il fait chaud et je vous amène dans la magnifique maison Airbnb que j’ai louée pour la semaine. Il y a des grandes pièces, un petit jardin et même une piscine. Le tout se trouve à l’abri des regards.

Les modalités ont été définies à l’avance. Je suis à votre service. De plus, je dois rester nu en permanence dans la maison – et parfois sur l’île dans les zones naturistes. Je m’occupe de tout, vous êtes, ma Maîtresse, ma Reine! Je prépare les repas, fait le ménage, vous êtes choyée et vos désirs sont mes ordres.

Vous déballez votre valise et sortez vos ustensiles. La seule chose qui peut m’habiller est une cage de chasteté. C’est un plaisir et une frustration énorme pour moi. J’aime tant bander en votre présence. Là, vous m’imposez un carcan qui coince ma queue et la laisse pendre misérablement vers le sol. Un anneau enserre mes testicules et les fait légèrement gonfler. Vous avez l’air satisfaite, contente de vous.

Dans les modalités il y a vos orgasmes – rien à mon propos par contre à ce sujet. Vous avez droit à au moins 10 orgasmes par jour au minimum! Cette limite peut être augmentée au gré des circonstances et des jours. Jamais en dessous. Si les dix orgasmes ne sont pas atteints, la punition se veut très sévère. Vous m’avertissez que je devrais « encaisser » un multiple de 10 du nombre d’orgasmes, de coups de fouet sur le fesses (par exemple 9 = 90 coups), ainsi qu’un multiple de 100 du chiffre qui sépare les orgasmes obtenus de l’objectif (si c’est 9 il manque 1 orgasme = 100). Ce chiffre se traduit par des coups de reins avec un gode de la taille qui vous conviendra.

Pendant les journées : orgasmes pour vous, entraînement pour moi!

Autant vous dire que vous obtiendrez ces 10 orgasmes quotidiens. Et pour mettre toutes les chances de mon côté, je me réveille tôt le matin pour vous préparer un bon café chaud et votre petit déjeuner. Ensuite, je vous l’apporte dans votre chambre. Pendant que vous sirotez votre café en ouvrant les yeux, je vous lèche le sexe à petits coups de langues, afin de bien vous faire commencer la journée et enclencher le compteur à orgasmes.

Dans notre plan de la semaine, il y a mon entraînement : endurcir les fesses et assouplir le cul. Pour les fesses, c’est assez simple. Dès que je vous déçois vous me fessez, à la main ou avec ce que vous trouvez là où nous sommes. Pour le cul, vous me faites porter un plug le plus longtemps possible.

Cette journée doit être faite de plaisirs répétés pour vous. Vous avez le choix: massages, bronzage au bord de la piscine, lunchs. Évidemment, j’ai repéré les plus jolis coins de l’île. De plus, je vous emmène dans des petits restaurants à midi ou je vous cuisine un repas. Nous discutons longtemps et vous me grondez en m’accusant « de vouloir mater des culs » lorsque je vous propose des petites plages naturistes. Je vous fais remarquer que certes, je peux voir des culs et des chattes, mais que vous pouvez de votre côté mater des bites, des longues, des courtes, des grosses, des toutes blanches, rougies par le soleil, des noires et des brunes. Et bien sûr toutes les couilles qui les accompagnent. Vous vous laissez séduire par le concept mais j’ai droit à dix coups sur les fesses par regard que vous interceptez de ma part sur une femme à poil.

Pendant les soirées : clubs échangistes et soirées BDSM!

Durant les soirées, il y a du piment, du sel et des aventures. L’île est un « lupanar » géant et regorge de clubs échangistes, BDSM, gay, etc… Durant la journée, nous faisions notre choix, enfin surtout vous, et le soir je vous y emmène. Je vous laisse imaginer tout le champ du possible. Ainsi, un soir nous allons dans une soirée BDSM. Une soirée où les rôles se remarquent vite. Les dominants sont déboutés, les dominés à quatre pattes aux pieds de leurs Maîtres. Je vous suis dans un dédale de pièces. Il y a des coins sombres, des bars, des pièces pour s’isoler ou des pièces pour que des Maîtres puissent « travailler » sur le corps de leurs soumis.

Nous arrivons dans une pièce où l’on peut apprendre à suspendre son soumis. Vous m’ordonnez de prendre place. Avec un « instructeur », qui supervise la manœuvre, vous commencez à lier mes mains, puis mes pieds! Je suis nu, vous entourez mon sexe et mes couilles avec les cordes pour faire ressortir le paquet du corps. En résumé, au bout d’une bonne demi-heure d’attache, je suis suspendu à quelque centimètres du sol, le corps tourné vers le sol, les mains et bras liés dans le dos, les jambes écartées avec les mollets repliés vers le haut.

Je suis comme un saucisson et j’ai le sexe qui pend, comme attiré par le sol. Ni une, ni deux, je suis soulevé par l’employé du club grâce à un système de poulie et porté à hauteur d’homme, environ 1m80 du sol. Mon attache au plafond est lié à un rail qui se balade dans tout le club si bien que vous pouvez me déplacer dans les principales pièces de l’endroit. Pour me déplacer, vous prenez une petit corde que vous nouez autours de ma queue… et c’est parti!

Votre trophée « shibari », chère Maîtresse!

Heureusement, que le rail est bien huilé! Vous me déplacez devant tout le monde. Je suis votre trophée shibari. Je pousse des petits cris étouffés car cela me tire sur la bite et les couilles. Cependant, en même temps, je suis fier de vous appartenir et d’être à vous. Vous allez boire un verre au bar principal et donc, vous me laissez suspendu plus ou moins au centre de la piste de danse qui se trouve à côté du bar…

Les gens dansent autours de moi. Certains tirent sur la corde et donc sur mon sexe. D’autres me donnent des petites tapes mais tous restent corrects et respectueux. Je suis la propriété d’autrui et vous êtes tout près de moi. Vous me surveillez avec un regard bienveillant…

Un couple s’approche de vous et je m’aperçois que vous entamez une longue discussion avec eux. Manifestement il s’agit d’une Maîtresse domina et de son soumis. Vous discutez avec elle, évidemment, ils sont assez beaux, lui a manifestement une très grosse queue. Presque le double de la mienne 😒

Vous vous approchez de moi, chère Maîtresse et vous me dites à l’oreille: « Mon Minou, nous avons des invités pour demain soir… »!

 

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1 réflexion au sujet de « Lettre à Maîtresse Léa »

  1. bonjour je cherche a vivre tout nu avec des femmes vétues genre cfnm merci pour votre blog évira50

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