Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (8)

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Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (7)

Les deux Déesses font tinter leurs verres de vin et commencent à boire, et Déesse Déborah, en dominatrice expérimentée, commence à lui distiller ses conseils de domination. Elles n’ont aucune considération pour les deux humains qui patientent à leurs pieds. Le temps est interminable, quand je vois Déesse Jessica qui retire une de ses chaussures.

 

Instinctivement, léchage du pied de ma Déesse dominatrice!

 

dominatrice

 

Instinctivement, j’ai envie de m’occuper de son pied et je prends l’initiative d’en approcher ma bouche. Je commence à le sucer et à le lécher. Ma Déesse semble à peine y prendre garde. Ensuite, elle retire sa seconde chaussure et, cette fois, me tend l’autre pied. Je m’applique comme je peux à le nettoyer. Quand Déesse Déborah le remarque.

  • Mais ta chienne est en train de s’appliquer sur tes pieds alors que tu ne lui as rien demandé ?

 

  • Eh oui, je t’ai dit, il montre de très belles dispositions.

Déesse Déborah met une gifle retentissante à Sarah.

  • Et toi tu regardes ça comme une gourde ? Pourquoi tu ne fais pas la même chose ?

 

  • Je… je suis désolée Déesse Déborah.

 

  • Tu peux l’être. Tourne ton cul de pute vers moi!

Sarah se retourne, les fesses pointées vers les deux Déesses. De là où je suis, les orteils de ma Déesse dans la bouche, j’ai une vue imprenable sur sa chatte et sur son cul. Son anatomie de jeune femme ne fait que décupler mon érection. Surtout, je m’aperçois qu’elle porte un joli plug en forme de cœur rouge, orné de petits diamants, qui lui remplit le fondement.

  • Tend les bien, cambre-toi plus, sale chienne, il faut vraiment tout t’apprendre !

 

  • Pardon, Déesse Déborah.

 

  • Il est vraiment magnifique, ce bijou ! commente Déesse Jessica.

 

  • Oui, j’ai fait graver mon nom à l’intérieur, je te le montrerai quand on le retirera. En attendant, regarde bien !

Déesse Déborah, très belle, en sous-vêtements coquins!…

 

Sarah tend ses fesses, quand Déborah lui administre une véritable volée de gifles. Sarah contient des gémissements, puis Déborah s’arrête et montre ses fesses à Déesse Jessica.

  • Tu vois, ça rougit vite quand on s’y prend bien.

 

  • Elle a un très beau cul comme ça ! Tout à fait en harmonie avec le rouge de son bijou !

 

  • Haha oui, et maintenant frappe dessus, tu vas être étonnée de sa fermeté !

Déesse Jessica lui met une grande fessée, suivie de petits coups.

  • Incroyable, en effet !

 

  • Tu veux tester la cravache ? Ou tu préfères l’utiliser directement sur ta chienne ?

 

  • Montre-moi sur ta chienne, je m’occuperai de la mienne tout à l’heure. Elle est très bien pour le moment à s’occuper de mes pieds.

Déesse Déborah se relève et commence à se déshabiller.

  • Ça te dérange si je me mets à l’aise ?

 

  • Pas du tout fais comme chez toi ! Magnifique cette lingerie, tu l’as achetée où ?

 

  • Chez Paloma Casile, une boutique de luxe vers Invalides

 

  • C’est très beau, regarde, ma chienne est dans tous ses états !

 

…Invitation à la luxure!

Je rougis, honteux d’avoir été surpris en train de regarder Déesse Déborah. Mais l’ensemble de dentelle noire que porte celle-ci est magnifique, ses seins sont superbement mis en valeur. C’est une invitation à la luxure. Ainsi, ma queue est plus que jamais dressée en l’air.

  • Tu devrais lui bander les yeux à cette pute.

 

  • Tu as raison, je vais le faire, mais je veux d’abord qu’il observe comment tu punis ta chienne.

 

  • Bonne idée!

Déesse Déborah fouille dans son sac et en sort une cravache de cuir noir torsadé.

  • Bel objet!

 

  • Oui, et qui a déjà beaucoup servi crois-moi, pourtant regarde elle est à peine abîmée !

En disant cela, elle met un grand coup sur les fesses de Sarah, qui pousse un gémissement retentissant. Puis trois autres coups, très forts. Sarah a poussé des petits cris.

  • Elle fait toujours ce bruit ? C’est très pénible.

 

  • Eh oui j’ai eu beau la menacer de lui en mettre encore plus, cette chienne n’a jamais réussi à ne pas crier. Et encore ce n’est qu’une cravache, tu verrais quand je passe au paddle !

 

  • Peut-être faut-il lui mettre quelque chose dans la bouche ?

 

  • Si tu préfères, tu veux lui faire manger ta culotte ?

 

  • Non, je pense que la bite de ma chienne la remplirait mieux.

 

  • Excellente idée!

 

Coups de cravache pour la soumise Sarah!

Je frémis à cette évocation. Sarah va prendre ma bite dans sa bouche ! Je ne vais jamais réussir à me contenir !

  • Tu as entendu chienne ? me dit Déesse Jessica. Mets-toi sur le dos à mes pieds. Et interdiction de jouir, cela va sans dire.

Je m’allonge sur le dos, juste sous ma Maîtresse dominatrice qui vient immédiatement me remettre ses pieds dans la bouche. Déesse Déborah a attrapé Sarah par les cheveux. Elle vient lui coller la bouche sur mon sexe tendu à l’extrême.

  • Allez Sarah, ouvre grand la bouche, cette bite va te remplir jusqu’à la gorge. Et que je ne te surprenne pas à le sucer ! C’est un bâillon, rien de plus.

 

  • Oui, Déesse Déborah, répond Sarah en rentrant ma bite dans sa bouche.

Je ressens une tension sexuelle intolérable. Même si Sarah ne me suce pas, je sens sa bouche qui fait des va et vient au rythme des coups de cravache qui s’abattent sur sa croupe. Les deux Déesses sont hilares.

  • Regarde, elle est presque en sang, ça c’est un cul bien préparé ! On va s’éclater ce soir !

 

  • En effet, il commence à violacer ! Je vais essayer sur ma chienne. Je peux ?

 

  • Bien sûr, chérie!

 

Ma Déesse dominatrice, complètement nue!

Déesse Déborah donne sa cravache à ma Déesse dominatrice qui se déshabille à son tour. Sarah reste figée entre mes cuisses, mon sexe palpitant entre ses dents. Déesse Déborah la retire en tirant un coup sec sur sa laisse.

  • Lâche cette bite, salope!

 

  • Oui Déesse Déborah.

 

  • Je suis sûre que t’en as profité pour la pomper.

 

  • Non, Déesse Déborah, j’ai fait ce que vous m’avez demandé.

 

  • Tu vas me bouffer la chatte en attendant que ta chienne de collègue encaisse sa punition.

Déesse Déborah ne lui laisse pas le temps de répondre, elle s’est rassise en écartant les cuisses, plongeant la tête de Sarah dans sa culotte. Pendant ce temps, ma Déesse dominatrice s’est mise toute nue et ses seins pointés ne font que redoubler mon érection.

  • À quatre pattes, sale chienne!

Je me mets à quatre pattes, les fesses relevées comme elle me l’a appris.

  • Je voulais te vidanger avant cette punition car tu aurais eu bien plus mal je pense, mais ce sera pour la prochaine fois.

 

  • Je demande à Sarah de lui vider les couilles si tu préfères ? intervient Déesse Déborah.

 

  • Peut-être après, j’ai trop hâte de tester ton jouet.

 

Puni avec des coups de cravache, à mon tour!

Pendant qu’elle parle, je sens un coup de cravache tomber sur mon cul. Moins fort que ce que je redoutais. Fier de moi, je relève les fesses, mais c’est sans compter sur Déesse Déborah.

 

  • Alors là ma chérie si je puis me permettre tu y vas beaucoup trop doucement ! Comment tu veux marquer le cuir de son cul si tu tapes aussi légèrement ?

 

  • Tu trouves?

 

  • Évidemment regarde, il n’a même pas bougé et il relève son cul ! Tu dois mettre toute ta force et frapper bien à plat pour que le cuir imprime la fesse. Tu vas voir, il ne va pas réagir du tout de la même façon !

 

  • D’accord, je réessaie.

… et je sens un immense coup de cravache s’abattre sur mon cul. Je pousse un cri, de douleur et de surprise. Deux autres coups suivent, tout aussi forts.

  • Voilà, c’est beaucoup mieux ! Regarde comme il se contorsionne !

 

  • Tu as raison.

 

  • Et tu peux t’apercevoir que c’est une chienne douillette !

 

  • Oui, ça ne m’étonne pas de lui. Mais je vais lui apprendre à résister. Il a définitivement besoin d’être rééduqué.

 

  • Oui, c’est important de résister en silence. Chez une chienne femelle comme Sarah, c’est moins grave. Les cris et les larmes font partie du plaisir qu’on prend à les frapper, mais une chienne mâle doit savoir se tenir. Comment résisterait-elle au fouet sinon ?

 

Puni de plus en plus violemment par ma Déesse dominatrice

dominatrice

 

Tandis que Déesse Déborah parle, ma Déesse dominatrice redouble de violence dans ses coups. Des cris m’échappent. Je ne parviens pas à me contrôler. Des larmes coulent sur mes joues. Mais elle ne s’arrête pas, au contraire, mes cris semblent l’exciter davantage et les coups pleuvent.

  • Tu aimes ça on dirait ! rigole Déesse Déborah.

 

  • J’adore ! Regarde ses fesses, elles sont déjà violettes !

 

  • S’il faisait moins de bruit ce serait quand même plus agréable. Je n’arrive même pas à me concentrer sur le cunnilingus de Sarah.

 

  • Oui, tu as raison.

Déesse Jessica ramasse son string et vient le fourrer dans ma bouche sans ménagement.

  • S’il tombe de ta bouche, je te cravache jusqu’au sang !

 

  • Mmm…mmm…

Bizarrement, son string trempé de sa mouille m’apporte du réconfort. Avaler ma Maîtresse, sentir son odeur rend moins douloureux les coups qui continuent à s’abattre sur mes fesses. Mon érection, qui était redescendue avec la douleur, revient de plus belle.

  • Regarde Déborah, ma chienne commence à prendre du plaisir à se faire battre !

 

  • Mmm en effet, et Sarah me dévore magnifiquement la chatte, quelle chance nous avons !

 

  • Oh oui, une sacrée chance ! Et si l’on passait à table ? J’ai hâte de m’occuper d’eux ensuite !

 

  • Est-ce que ça te dérange si Sarah me procure un orgasme avant ?

 

  • Ce ne serait pas juste, je n’ai pas encore joui moi !

 

  • Laisse ta chienne s’en occuper, tu verras, on dînera dans de meilleures conditions.

 

  • Oui, tu as sans doute raison.

 

Au service du plaisir de mon épouse dominatrice!

Ma Déesse dominatrice s’affale dans le canapé, sa cravache toujours à la main.

  • T’es sourd ou quoi ma chienne ? Viens bouffer ta Déesse. Redonne-moi ce string.

Elle tend sa main dans lequel je relâche sa culotte.

  • Il est trempé, il t’a bien fait saliver on dirait !

 

  • Oui Déesse Jessica.

 

  • Tu n’es vraiment qu’une grosse cochonne !

 

  • Oui, Déesse Jessica.

 

  • Maintenant regarde ta collègue! Elle a de l’avance, alors applique-toi! Si tu me fais jouir avant Déborah, tu auras une récompense.

 

  • Tu as entendu Sarah ? dit celle-ci. Il est temps de libérer tout ton potentiel de grosse chienne !

Mais Déesse Jessica a dit ce que j’avais envie d’entendre. Une récompense ! Étant donné la douleur que j’éprouve sur mon cul, je ne peux pas laisser passer l’occasion. Alors je m’applique à faire le meilleur cunnilingus de ma vie. Ma Déesse me caresse les cheveux, elle joue avec ma bouche, gémit. J’entends, de l’autre côté, Sarah qui s’active aussi. Déesse Déborah est plus brutale. Elle lui met des gifles pour qu’elle s’applique.

  • Oh oui ma chienne, continue… tu me lèches bien… me dit Déesse Jessica avec une tendresse qui me fait redoubler d’efforts.

Je ne réponds rien, trop concentré à emporter la victoire. Soudain, je sens le corps de ma Déesse se contracter. Elle jouit dans ma bouche, dans un grand orgasme durant lequel elle me tire brutalement par les cheveux pour me coller à sa chatte.

  • Ouiii… ouiii… ouiiii ma chienne !!

 

Victoire pour moi!

Ensuite, elle me repousse brutalement de son entrejambe tremblante. À côté de nous, Sarah continue en vain à dévorer la chatte de Déborah.

  • Tu vas être punie, salope… fais-moi jouir maintenant, mais je te jure que tu vas passer une sale soirée…

Sarah continue à lécher Déborah tandis que Déesse Jessica tire sur ma laisse.

  • À quatre pattes ma chienne… voilà, bon chien…

Elle récupère sa mouille avec ses doigts et me les tend pour que je les essuie.

  • Mmm oui voilà mon bon chien… goûte ta Maîtresse, elle est délicieuse hein ? Tu en veux encore ?

J’approuve en léchant ses doigts avec avidité, tandis qu’à nos côtés, Sarah procure enfin un orgasme à Déesse Déborah. Celle-ci jouit dans sa bouche, puis la repousse en lui collant une gifle douloureuse.

  • Ça suffit salope… cet orgasme était indigne de toi. J’aurais pu jouir bien plus si tu t’étais appliquée.

 

  • Je suis désolée Déesse Déborah, dit Sarah d’une voix plaintive.

 

  • Tu peux l’être. Tu seras traitée en conséquence ce soir. Bon, Jess, on passe à table ?

 

  • Avec plaisir!

Les deux Déesses se relèvent et nous entraînent dans la salle à manger où j’ai déjà mis la table. En laisse, à quatre pattes, nous échangeons un regard avec Sarah. Elle semble inquiète de la tournure de la soirée. Moi, je sais que j’ai gagné une récompense. Je ne vais certainement pas la réclamer car je sais que ma Déesse dominatrice risquerait de me la retirer, mais je lui fais parfaitement confiance pour ne pas l’avoir oubliée.

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