Un fétichiste des pieds et sa nouvelle dominatrice (2)

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nouvelle dominatricePremière nuit avec ma nouvelle dominatrice

Une fois Lauren partie, Victoria me laissa seul au salon, sans me dire un mot, et se dirigea vers la salle de bain. Je ne savais si je devais la rejoindre, attendre au salon ou encore remettre mon collier. Après réflexion, je décidais de l’attendre sur le canapé. Après un dizaine de minutes, je la vis réapparaitre, simplement vêtue d’une nuisette verte. Ma nouvelle dominatrice s’approcha de moi et brusquement me mit une claque.

– Tu crois que la place d’un soumis est sur le canapé ?

– Non Maîtresse, répondis-je en descendant et en me mettant à genoux.

A cet instant, je compris que pour les prochaines 24 heures, je devrai constamment être en position de soumis.

– Je vais me coucher. Débarrasse le salon et ensuite rejoins moi au pied du lit ! Tu dormiras sur le tapis au pied du lit.

Après avoir effectué les corvées, je rejoignis la chambre dont la porte avait été laissée entre-ouverte. Victoria semblait dormir. Au pied du lit, je vis un oreiller et un drap sur le tapis. Je m’installai tant bien que mal en essayant de ne pas faire trop de bruit. La nuit fût assez inconfortable. En raison de mauvaises positions, je me réveillai à plusieurs reprises. Lorsque le réveil sonna, j’étais encore bien fatigué et j’avais des courbatures. Cependant, je me levai en toute hâte pour aller préparer le déjeuner de mon hôte.

Les courses avec ma nouvelle dominatrice

Une fois prêt, je l’apportai à Victoria au lit. Elle me remercia et m’indiqua qu’elle avait quelques courses à faire ce matin et que j’allai l’accompagner. Elle m’autorisa à prendre un petit déjeuner, dans la cuisine, avant de me préparer et de l’attendre devant la porte. Pendant que je mangeais, je m’interrogeais sur le type de courses qu’elle souhaitait faire et m’inquiétais un peu qu’elle puisse vouloir exercer sa domination en public. Malgré mes doutes, je finis de me préparer et me plaçai à genoux devant la porte. De ma position, je discernais ses préparatifs.

Au bout d’un moment je l’entendis arriver :

– C’est bien, tu as compris quelle position tu dois adopter en m’attendant. Lève-toi et prends les sacs !

En me retournant, je pus apercevoir qu’elle était habillée de manière tout à fait conventionnelle, ce qui me rassura. Nous quittâmes l’appartement en discutant de tout et de rien. Hormis le fait, que je l’attendais devant les boutiques, rien ne laissait supposer que Victoria était ma Maîtresse.

Après deux bonnes heures de courses, nous retournâmes à l’appartement.

Féminisation du soumis

A peine la porte franchie, les rôles furent reposés :

– A quatre pattes et va me faire couler un bain !

Alors que je finissais ma tâche, elle me rejoignit et me tendit un sac :

– Tiens ce sera tes habits pour le reste de la journée. Va te changer.

Toujours à genoux, j’attrapai la lanière du sac avec ma bouche et me dirigeai vers la chambre pendant que Victoria se déshabillait.

Une fois la porte fermée, j’ouvris le sac pour regarder ce qu’il contenait. A l’intérieur, se trouvaient un petit haut noir, une jupe en cuir, un soutien-gorge, un shorty et une paire de bas. A côté de la porte j’aperçus également une paire de chaussure à talons, trop grande pour être à madame Victoria. Je n’avais jamais porté de vêtements féminins et je n’étais pas à l’aise avec cette idée. Comme la veille, je me suis demandé si j’étais sûr de vouloir aller plus loin ou s’il ne valait pas mieux tout arrêter maintenant.

En effet, cette histoire était rapide et je ne savais pas jusqu’où Victoria pourrait m’emmener. Néanmoins, son comportement depuis la veille me donner envie de lui faire confiance. Je saisis donc les vêtements et commençai à les enfiler. Les matières étaient agréables au toucher. Cependant, les chaussures étaient assez inconfortables. Une fois totalement habillé, je me plaçai dans la glace. Je me trouvais totalement ridicule dans cette tenue.

La soubrette prépare le déjeuner

D’une démarche hésitante, je pris ensuite la direction de la salle de bain. Quand Victoria m’aperçut à l’entrée, elle esquissa un grand sourire. Elle me demanda de m’approcher et de tourner sur moi-même. Ensuite, elle en profita pour me toucher et me palper. Elle me rembourra ensuite le soutien-gorge pour me dessiner une petite poitrine.

– Tu es parfaite dans cette tenue, va préparer le déjeuner ma soubrette.

Une fois prête, Victoria me rejoignit dans la cuisine. Elle avait changé de tenue par rapport à ce matin. Fini la tenue classique. Elle avait revêtu un bustier, un string, des bas et de longues cuissardes à talons. Je la trouvais magnifique et elle s’en était rapidement aperçue à mon expression.

Elle s’assit à table et me permit de me joindre à elle pour partager le repas. Le déjeuner se passa normalement, malgré l’incongruité de nos tenues. Le plat n’était pas de très grande qualité, mais Victoria était tout de même satisfaite. A la fin du repas, elle me demanda de débarrasser, puis de la rejoindre au salon. Je me dépêchai de débarrasser la table, mais je manquai plusieurs fois de perdre l’équilibre à cause de mes talons. Une fois la cuisine rangée, je pris la direction du salon. Victoria s’était équipée d’un gode ceinture d’une taille plus imposante que celui de la veille.

– Viens, approche et montre-moi, comme tu es une bonne chienne !

Orgasme pour ma nouvelle dominatrice

Je me mis à genoux et m’approchai de Victoria.

– Suce ma bite, prends la à pleine bouche.

Je sortis ma langue et commençai à la lécher, puis la pris en bouche. Victoria posa ses mains sur ma tête pour rythmer la cadence et m’obliger à le faire entrer le plus profondément possible dans ma bouche, ce qui eut pour effet de faire couler quelques larmes de mes yeux.

Je dûs la sucer ainsi de longues minutes. Lorsque Victoria estima que je commençais à fatiguer, elle me permit de me retirer.

Elle se leva, me fît installer à genoux sur le canapé et saisit du lubrifiant posé sur la table. Elle descendit ma culotte, releva ma jupe, versa du lubrifiant sur le gode et entreprit de me sodomiser. Comme la veille, la pénétration fût douloureuse. Je n’étais pas encore habitué à cette pratique. Victoria m’indiqua que le gode était équipé d’un embout qui était dans sa chatte et qu’elle me prendrait jusqu’à qu’elle ait joui. Les allers retours se multiplièrent à des cadences variables. Je sentais son corps contre le mien à chaque mouvement. Je prenais énormément de plaisir malgré la douleur. Au bout d’un moment, je sentis les mains de Victoria m’agripper les hanches avec plus de fermeté, suivi d’une pénétration plus puissante qui s’accompagna d’un gémissement, m’indiquant que Victoria avait joui.

Elle posa ensuite son corps sur mon dos et me caressa délicatement la bite. Après cette pénétration intense, je fus ravi de ce moment de tendresse que je vécus comme une récompense.

Le plug

Victoria me posa un baiser dans le cou, puis se retira doucement en me demandant de rester en position. Elle revint et écarta mes fesses pour y introduire, ce qui me semblait être un plug. Il entra très facilement. Elle me remit ensuite mon shorty.

Je la vis ensuite saisir un téléphone et me prendre en photo. Aussi, je fus pris de panique, mais elle me rassura en me montrant qu’il s’agissait me mon propre téléphone.

– Je veux seulement que tu montres à Lauren lundi comme tu étais belle pour moi aujourd’hui.

Elle se posa ensuite à genoux sur le canapé à côté de moi :

– Tu as trois minutes pour te branler et jouir. Je veux que tu éjacules sur mes fesses.

C’était plus que ce que j’avais besoin. Je m’approchai de ses fesses et me masturbai. Je jouis rapidement sur elle. Ma semence s’étala sur ses fesses et s’engouffra jusque dans sa raie. Je savais pertinemment qu’elle allait me la faire lécher, mais j’espérais qu’elle me laisserait un échappatoire. Pour autant, il n’en fût rien.

– Maintenant, viens me nettoyer avec ta langue.

– Maîtresse, je l’ai déjà fait hier et je n’apprécie pas vraiment cette pratique.

Elle se leva et me retourna une gifle mémorable.

– Ce n’est pas toi qui décide, quand je te donne un ordre tu obéis. Il est hors de question de gâcher ton sperme et ce n’est pas moi qui vais m’y coller. Mais ne t’inquiète pas, j’ai de nombreuses recettes pour varier les plaisirs.

Fin du week-end

Devant mon hésitation, elle me mit une seconde gifle :

– Dépêches-toi.

Elle se remit en position et je commençai à lui lécher les fesses. Heureusement, la quantité était moins importante que la veille. Je glissai ensuite ma langue dans sa raie et finis par son anus. A sa réaction, je compris qu’elle appréciait. J’insérai donc légèrement ma langue à l’intérieur. Pendant ce temps, Victoria se caressait, ce qui lui permit de ré-atteindre assez rapidement l’orgasme.

– Tu as encore à apprendre pour être un bon soumis, mais je pense que tu vas me plaire. J’ai quelques choses de prévu ce soir, tu as 10 minutes pour te changer. Garde le plug, tu l’enlèveras chez toi.

Je me remis à quatre pattes pour prendre la direction de la chambre. Après m’être changé, je suis allé retrouver Victoria dans la cuisine où elle me proposa un rafraîchissement. Elle en profita pour me questionner sur mes impressions et mes envies. Je pus lui exprimer mes craintes et mon souhait de poursuivre l’aventure. Elle en fût ravie et m’assura que l’on se reverra très vite. Avant de prendre congé, elle me tendit une culotte et me dit :

– Je veux que tu la portes lundi au boulot. J’en informerai Lauren qui vérifiera que tu respectes bien mes ordres.

Je pris la culotte en dentelles, la plongea dans la poche de ma veste et quittai ma nouvelle Maîtresse.

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