Désir de soumission à une domina!

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Je ne sais pas comment m’y prendre. Tout ce que je sais, c’est que je brûle d’être possédé par cette domina, réduit à néant par sa beauté. Je veux qu’elle me gifle, qu’elle me jette  à genoux, qu’elle plaque mon visage au sol et qu’elle me pénètre avec une rage qui lui fera exorciser les pires heures de ces dernières années.

  • Tu me fais chier. Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? me lance-t-elle, agacée. 

Elle n’a pas envie de jouer. Moi non plus. Je me réfugie dans la salle de bains, baisse mon pantalon et plante mes ongles dans mes fesses. Les griffures calment mon agitation.

La dernière fois, elle m’a demandé d’une voix douce si je voulais qu’elle me pénètre avec le gode-ceinture. « Oui ». Pendant les minutes qui avaient suivi, tandis que je haletais à quatre pattes sur le canapé, les yeux révulsés, j’étais au septième ciel. Ses hanches s’était balancées de plus en plus rapidement, j’avais commencer à crier et à  mordre dans un coussin. Ses propres soupirs décuplaient mon plaisir. Comme à chaque fois que je sens sa présence derrière moi, j’avais cambré le dos pour lui signifier mon désir de soumission.

J’avais fini par lui demander d’arrêter, non pas par lassitude mais plutôt parce que je savais que si elle continuait, les voisins finiraient inévitablement par être alertés de nos ébats. J’aurais voulu sentir la boule du bâillon écarter ma mâchoire de force, ses doigts délicats prendre ma gorge en étau pour bloquer ma respiration, et le gode pénétrer mon anus avec une brutalité croissante.

A genoux, aux pieds de ma domina!

 

Nous venons de finir de dîner. Sa voix me tire de ma rêverie.

  • Bon.

Elle retire son pantalon en ajoutant : 

  • Déshabille-toi complètement et mets-toi à genoux.

Je réponds après quelques secondes d’hésitation.

  • D’accord.

Je m’exécute et l’observe, gêné, à genoux à ses pieds. 

  • Tu es trop gras, dit-elle en haussant les sourcils d’un air dédaigneux.

Piqué au vif, j’ai à peine le temps de répondre un « toi aussi » qu’elle me décoche une gifle brutale sur la joue gauche. Sonné, la face brûlante de douleur, je commence à protester :

  • T’es malade, putain…

Elle se penche aussitôt vers moi en agrippant mes cheveux et en coupant d’une voix impérieuse :

  • Quoi ?! Parle-moi encore une fois comme ça et tu en prends une autre. Les mains dans le dos quand tu te tiens à mes pieds !

Mains dans le dos, picotements dans la joue. D’accord.

  • J’allais te permettre de te toucher, mais là franchement j’ai plus envie. T’es soumis que quand ça t’arrange. Dégage !

Puni par ma domina!…

 

domina

 

Ma première réaction est de disparaître dans la pièce d’à côté en claquant la porte, mais je décide finalement de mettre mon orgueil de côté. Je baisse le regard, contrit. 

  • Pardon, je n’aurais pas dû réagir comme ça. C’est vrai, je suis trop gras, et toi tu seras toujours ma déesse, je n’ai pas le droit de te parler comme ça. 

Je me penche vers elle et dépose un léger baiser sur sa cuisse.  Sa main agrippe à nouveau mes cheveux et pousse mon visage en arrière, puis vers le sol. Je suis le mouvement. Puis je sens un de ses pieds se poser sur ma nuque et appuyer pour me river au sol. 

  • Reste comme ça jusqu’à ce que je te permette de bouger.

 

  • Oui, ma domina. 

Elle ne m’a jamais demandé de m’adresser ainsi à elle, mais je n’ai pas pu réprimer ce désir de lui dire ma soumission. Elle a dû comprendre que je prenais finalement un certain plaisir à la situation, car je l’entends soupirer alors qu’elle s’allonge sur le canapé en se tournant vers l’écran de son téléphone. Mais dans cette inconfortable position, mon plaisir est de courte durée. Au bout de quelques minutes, je ne peux m’empêcher de remuer pour atténuer la douleur des crampes. 

  • Je t’ai dit de bouger ? me demande-t-elle sur un ton agacé.

 

  • Non. Pardon.

 

…qui est très en colère!

 

Sa main frappe mollement mes fesses. J’échoue à réprimer un petit rire face à cette tentative de correction inefficace. Cette fois-ci, c’est elle qui est vexée, mais contrairement à moi elle peut se permettre de laisser libre cours sa rage. Elle se lève d’un bond et file dans la chambre en claquant la porte. Je me redresse, découragé par ma bêtise. Elle ne supporte pas que je rie d’elle, et je le sais suffisamment bien pour ne pas commettre ce genre d’erreur stupide.

Au moment où ma colère commence à se retourner contre elle, la porte de la chambre s’ouvre à la volée, et Elle apparaît, pleine de colère, dans le salon, le gode-ceinture arrimé à la taille.

 

  • Tu veux le gode-ceinture, c’est ça ?

Je ne sais comment réagir à ce retournement de situation.

 

  • Oui, ma domina, finis-je par répondre, plein d’espoir.

 

Elle s’avance vers moi et agrippe une nouvelle fois mes cheveux.

 

  • Et tu penses que c’est en te foutant de ma gueule que tu vas le mériter ?

 

  • Non.

 

Nouvelle gifle.

 

  • Ça n’arrivera pas ce soir, ni demain, ni après-demain, je te le garantis. Je me démène pour te faire plaisir, et ce que tu trouves de mieux à faire, c’est de m’humilier en riant de ce que je fais… 

 

  • Mais non, mais… 

 

Elle me coupe la parole avec une nouvelle gifle, plus brutale encore.

  • Tout ce que tu mérites, c’est de me supplier de te pardonner ce que tu viens de faire.

 

  • Je suis désolé, pardon…

 

Nouvelle gifle. 

 

  • J’appelle pas ça une supplication !

 

  • S’il te plaît, ma domina, pardonne-moi, j’ai été stupide… parviens-je à murmurer.

 

Filmé par ma domina!…

 

Un bref silence s’installe. Je ne peux m’empêcher d’esquisser un mouvement de la tête vers le gode, pour le toucher du bout des lèvres. La seule pensée de goûter à l’objet excite en moi un début d’érection. Mon mouvement est stoppé net par une nouvelle gifle qui enflamme mon désir comme un brasier.

 

  • Donne-moi ton téléphone, m’ordonne-t-elle.

Je ramasse le téléphone sur la table, le déverrouille et le lui tends. Elle tapote sur l’écran, puis oriente l’objectif vers moi et appuie à nouveau sur l’écran. Elle est en train de filmer. 

 

  • Redis-moi de quoi tu as envie.

Comment peut-elle me demander de faire ça ?  

  • Allez, dis-le.

Quelques secondes passent. Elle voit l’indécision sur mon visage, et me gifle à nouveau de sa main libre en répétant :

  • Dis-le!

C’est sa riposte : plutôt que de consentir à accéder directement à mes fantasmes d’humiliation, elle veut que je me charge moi-même de m’humilier devant cette caméra.

 

  • J’ai… envie de… de te sucer…

 

  • De sucer quoi ? demande-t-elle en haussant la voix sur un ton joueur.

 

  • Ton gode-ceinture.

 

  • Commence par demander gentiment, alors.

 

 

Pas besoin d’avoir un miroir pour savoir que mon visage est totalement cramoisi. Je prends une inspiration et j’articule péniblement : 

 

  • Est-ce que je peux le sucer… s’il te plaît ?

 

  • C’est pas comme ça que tu t’adressais à moi tout à l’heure, non ? Comment tu t’adressais à moi, quand tu voulais avoir ce que tu voulais ? 

 

  • S’il te plaît, ma domina, laisse-moi le sucer.

 

…qui me demande de la supplier face caméra!

 

Elle me gifle à nouveau. Tout mon visage brûle de honte. 

  • Ne me tutoies pas.

 

  • Puis-je sucer votre gode, domina ?

 

  • À une condition. Regarde la caméra, et supplie-moi!

 

  • S’il vous plaît…

 

Nouvelle gifle. 

  • Je veux que tu voies à quel point tu es pathétique en regardant cette vidéo.

 

  • Je… Oui, domina.

 

  • Bien. Qu’est-ce que tu désires vraiment ?

 

  • Je voudrais… vous faire une fellation. Sentir votre verge envahir ma bouche, écarter ma mâchoire et m’étouffer.

 

  • Continue.

 

  • Soumettez-moi à vous, s’il vous plaît… je voudrais que vous pénétriez mon visage sans retenue, jusqu’à ce que je n’arrive plus à respirer… Que vous me réduisiez à l’état d’objet, que vous m’insultiez, que vous me frappiez en riant de ma faiblesse…

 

  • À quelles insultes tu penses ? demande-t-elle sans l’ombre d’un sourire.

 

  • Soumis, par exemple.

 

  • Dis-le alors : je suis…

 

  • …  Je suis un soumis.

 

  • Bien. Quoi d’autre?

 

Le téléphone filme-t-il toujours ? Peu importe, j’ai largement dépassé le point de non-retour.

 

— Je suis… un jouet sexuel.

 

— Mouais. Je suis pas convaincue.

 

— Je suis une pute, une petite soumise.

 

Filmé avec le gode dans la bouche!

Un sourire traverse son visage, le temps d’un flash.

 

  • Quoi d’autre?

 

  • Une… suceuse de bites.

 

Après quelques secondes de silence, elle finit par tourner l’objectif du téléphone vers le gode-ceinture en le caressant de l’autre main :

 

— C’est ça que tu veux?

 

Puis elle le braque à nouveau vers moi. Je hoche la tête en pinçant les lèvres. Sa gifle m’arrache un petit cri de douleur, mais elle enchaîne immédiatement :

 

  • Réponds-moi quand je te parle ! 

 

  • Oui… oui, domina ! C’est ce que je veux.

Ses doigts enserrent soudainement ma mâchoire, les ongles plantés dans mes joues. Elle se penche vers moi en approchant le téléphone de mon visage et murmure:

 

  • Une femme qui accepte la brutalité de celui qui enfourne sa verge dans sa bouche comme un sauvage, comment vous appelez ça, vous, les hommes ? Dis-le : je suis…

 

  • Je suis une salope.

 

Elle me donne une autre gifle.

 

  • Bien. Ouvre la bouche.

 

Je m’exécute, tandis qu’elle place le gland du gode à quelques centimètres de mon visage. Je m’avance pour y poser mes lèvres, et au moment où ma langue touche la verge, elle agrippe mes cheveux et arrête mon mouvement.

 

  • Répète-le, encore une fois!

 

  • Je suis une sa… 

 

Elle a projeté le gode dans ma bouche d’un mouvement du bassin tellement brutal que ma tête est projetée en arrière, mais, tandis qu’elle continue de me filmer, sa main libre tient fermement mon visage en place. Elle le plaque contre son bassin, qui enfonce le gode dans ma bouche. Je ne m’attendais pas à ce qu’il soit si gros : je sens le gland de la verge appuyer contre ma glotte. Il me faudrait encore avaler un tiers du gode pour qu’il disparaisse dans ma bouche. Ma domina le sait, elle entame plusieurs va-et-vient rapides sans tenter de l’enfoncer dans mon gosier. Les bruits de succion et de ma respiration saccadée résonnent dans le silence de l ‘appartement.

 

Humiliation totale face caméra!

 

Après deux minutes, elle finit par lâcher mes cheveux et m’intime de continuer tout seul, en ajoutant de temps à autre un mouvement du bassin qui manque de me faire vomir. 

 

  • Mains dans le dos, menace-t-elle une première fois.

 

La seconde fois que j’étouffe, elle retire le gode de ma bouche et me gifle violemment.

 

  • Quelque chose à dire?

 

  • … Merci, domina.

 

  • Bien. Recommence. Cette fois-ci, je veux que tu l’avales complètement, et que tu regardes la caméra pendant tout le temps, ajoute-t-elle en plaçant l’appareil photo à la hauteur de son visage.

 

Immédiatement, je m’exécute. Le visage déformé par la largeur du gode qui écarte ma mâchoire et emplit ma bouche, je lève mes yeux vers elle et tente vainement d’enfoncer le gode dans ma bouche. Elle finit par replacer sa main sur ma nuque et appuyer de nouveau. Impossible de respirer. Des larmes emplissent mes yeux et brouillent ma vision.

 

  • Regarde-moi ! aboie-t-elle en secouant mon visage. Tu n’es vraiment qu’une merde.

 

Lorsque je commence à vraiment étouffer sous son emprise, elle m’en libère finalement, sans arrêter de me filmer pour autant. Elle me laisse, quelques minutes, pantelant sur le tapis taché de ma propre salive, puis revient, toujours le téléphone à la main et la caméra braquée sur moi. 

 

  • Puisque tu es une petite suceuse, tu vas me mettre ça maintenant. Après, tu pourras continuer.

 

  • Oui, domina.

 

Je prends le string et l’enfile en tremblant, pendant qu’elle m’observe en souriant.

 

  • La prochaine fois, je veux te voir complètement épilé. Allez, recommence maintenant !

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3 réflexions au sujet de “Désir de soumission à une domina!”

  1. J’appelle pas ça un soumis ><
    Il ne mérite qu'unevchose : être foutu à la porte, à la rue même.
    Quel manque de respect, de considération….

    • Elle ne lui impose que ce qu’il veux et non l’inverse, ce n’est pas vraiment un soumis mais plutôt un fantasmeur et elle exécute son fantasme, y prend elle du plaisir au moins ? 😌

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