Une charmante dominatrice et son ex-professeur (3)

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Une charmante dominatrice et son ex-professeur (2)

 

Samedi, à 17h, je sonnai à la porte de ma Maîtresse dominatrice, le cœur battant. J’avais eu le temps hier soir de refaire le film de de tout ce qui s’était passé la veille, et de jouir intensément, mais aujourd’hui je me demandais encore si ce n’était pas un rêve et j’étais fébrile.

De retour, chez cette charmante jeune dominatrice

dominatrice

La porte s’ouvrit et Maîtresse Elsa apparut, encore plus belle, encore plus impressionnante. Elle portait un petit chemisier cintré qui mettait sa petite poitrine en valeur, une jupe moulante très courte avec des bas noirs qui s’avéreront être des Dim-up (ce que j’aime beaucoup) et des escarpins à talons. Moins cool qu’hier, moins jeune fille, mais plutôt femme fatale, et tellement féminine !…

J’étais admiratif et tellement reconnaissant de pouvoir être au service d’une telle beauté…

  • Bonjour, va dans la salle de bain te déshabiller et rejoins-moi dans le salon, à quatre pattes bien sûr!
  • Bonjour Maîtresse, bien Maîtresse!

Le ton était donné, aucun prélude, aucune perte de temps en fausse amitié, j’étais son soumis et rien d’autre, reste à savoir à quel rôle je devais me préparer mentalement, chien bien sûr, mais aussi souffre-douleur, esclave sexuel, WC humain ? Mais je le saurais bien assez tôt !

Je m’avançai vers elle à quatre pattes et elle me mit mon collier avec sa laisse.

Quelle ne fut pas ma surprise quand elle me fit monter sur le canapé et me guida dans une position que je devinai immédiatement.

Couché le ventre sur ses cuisses, je compris que j’allais prendre une bonne fessée.

Une bonne fessée…

Et la main de ma Maîtresse dominatrice ne tarda pas à me toucher les fesses. Non seulement la position était très humiliante, mais c’était la première fois qu’il y avait un contact entre les mains de ma Maîtresse dominatrice et des parties intimes de mon anatomie.

Elle touchait mes fesses, les pelotait sans ménagement, et commença à les claquer. Je n’imaginais pas que c’était aussi douloureux, je gesticulais et elle dû agripper mes cheveux avec sa main gauche pour me maintenir en place. Le bruit de sa main qui claquait mes fesses était excitant mais je subissais en serrant les dents.

Enfin elle me repoussa pour que je rejoigne le sol, et me plaça à quatre pattes, le derrière face à elle.

  • Hum t’as le cul bien rouge ! Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à l’élève qui fesse son professeur et ça m’a bien excitée !

Comme elle aimait le faire, elle se versa un verre de vin blanc, mais son attention était toujours sur moi, et je sentis sa main attraper mes couilles et les malaxer. En temps normal, sentir sa main sur mes parties m’aurait beaucoup excité, mais là c’était presque pénible car elle serrait, tapotait, claquait mes testicules sans ménagement.

Elle passa le bras en dessous pour atteindre mon sexe raidi. Elle me masturba un peu, serra mon sexe dans sa main.

  • Il bande dur mon soumis ! Allez retourne-toi et mets-toi à genoux, les mains dans le dos!

Je me doutais de la suite et elle ne tarda pas, je reçus une belle gifle.

  • Tu m’appartiens!

 

  • Oui Maîtresse!

 

  • Ecarte tes genoux!

…Puis des coups de pied!

J’écartai mes jambes, à genoux, mains dans le dos, je me sentais tellement vulnérable.

Je vis ma Maîtresse enlever une chaussure.

  • Regarde-moi dans les yeux!

Et je reçus un coup de pied dans les parties, pas trop fort, mais suffisamment pour me surprendre et me plier en deux.

  • Relève-toi, regarde-moi, résiste!

Un deuxième coup de pied remonta mes testicules et mon sexe, m’arrachant un gémissement de douleur. Je me pliai en deux à nouveau.

  • Allez, redresse-toi, ce n’est pas fini !

Je lisais sur son visage la satisfaction que je souffre pour elle, pour son plaisir.
Un troisième coup de pied, puis un quatrième, un cinquième, tous à la fois douloureux mais supportable. Malgré son jeune âge, Maîtresse Elsa maîtrisait tout à la perfection.

Elle mit fin à cette torture et, probablement excitée de m’avoir fait souffrir, me tira avec la laisse pour que je m’allonge sur le dos sur le canapé, et vint se placer au-dessus de mon visage, ce qui me permit de voir qu’elle ne portait pas de culotte.

La vue de son sexe m’excita tout autant que la veille, mais je fus surpris quand je la vis s’asseoir sur mon visage et frotter son intimité sur mon nez, ma bouche, laissant parfois peser tout son poids sur mon visage, m’obligeant à déformer ma bouche pour récupérer un peu d’air tant bien que mal.

Un magistral face-sitting, imposé par cette jeune dominatrice!

J’essayais de la lécher mais son poids écrasait souvent ma langue, parfois son sexe montait jusqu’à mon front, obligeant ma langue à passer dans sa raie et sur son anus. Un magistral face-sitting !

Elle remuait son bassin d’avant en arrière et d’arrière en avant avec frénésie, tout en frottant son clitoris sur mon petit nez, puis je l’entendis gémir et elle s’arrêta.

En deux temps trois mouvements, j’étais tiré à terre tandis qu’elle s’asseyait confortablement pour fumer sa cigarette.

Sans dire un mot, elle alla chercher de quoi se sustenter.

Elle m’approcha d’elle et recracha directement dans ma bouche deux ou trois fois les petits-pains au houmous qu’elle avait mastiqués.

charmante dominatrice

 

 

C’était impressionnant de voir son visage si près, de voir sa bouche presque toucher la mienne, comme pour un baiser, mais il ne s’agissait pas là de s’embrasser, mai que je récupère le contenu de sa bouche, un échange unique, intime, excitant et dégoûtant à la fois.

Puis elle poursuivit son dîner par un plat de pâtes avec des morceaux de jambon et de la sauce tomate. J’étais assis par terre et attendait qu’elle me nourrisse, mais rien ne vint.

Puis elle se leva et alla chercher une gamelle pour chien (elle avait donc tout l’équipement ?).

Obligé de manger ses reste dans une gamelle comme un chien!

Elle vida le reste de son assiette qu’elle n’avait pas mangé dans ma gamelle et me dit tout simplement

  • Mange mon chien!

Je notais intérieurement que je ne devais pas prendre à la légère ce qu’elle disait car apparemment elle allait réaliser tout ce qu’elle m’avait décrit.

Aussi, je plongeai donc ma tête dans cette gamelle et réalisai combien il était difficile de manger ainsi. Je devais appuyer mon visage dans le plat pour récupérer les pâtes et le jambon avec ma bouche. Mon nez, mes joues, ma bouche, mon menton, tout mon visage était maculé de nourriture.

  • Regarde-moi!

Je levai ma tête pour la regarder, le visage plein de nourriture, tâché de sauce tomate, j’avais l’air ridicule.

Elle se contenta de sourire et me dit :

  • t’es un bon chien, allez fini ta bouffe!

Je m’empressai de terminer et lorsque ce fut fait, je l’entendis me dire :

  • t’as bien mangé mon chien, c’était bon ?

Et au moment où j’allais répondre « Oui Maîtresse », elle me fit taire et déclara :

  • un chien ne parle pas il me semble ? Quand tu es mon chien, à moins que je t’y autorise, tu ne parles pas, tu aboies !

Là, je sentis mon cœur s’emballer, c’était trop, trop humiliant, elle n’allait quand même pas me faire aboyer, quelle honte, pitié !…

  • Regarde-moi et aboie!

…puis d’aboyer comme un chien pour communiquer!

Je ne savais plus où me mettre mais son regard insistant en disait long sur sa détermination, alors j’osai quelques petits jappements timides pour lui faire plaisir.

  • Je ne t’ai pas dit de japper comme un petit roquet, je t’ai dit d’aboyer comme un vrai chien, de me montrer ta reconnaissance pour ce bon repas.

Sortant de moi-même pour trouver la force de devenir vraiment un chien, je me mis à aboyer une fois, deux fois, trois fois, de façon suffisamment audible.

Mais je n’allais pas m’en tirer à si bon compte !

  • C’est mieux mais je veux que tu aboies comme un fou, très fort, sept ou huit fois, en me regardant dans les yeux!

Elle l’avait dit avec tellement de conviction, d’énergie, presque de véhémence, que je me lançai sans réfléchir et j’aboyai si fort que les voisins auraient pu m’entendre !

  • Ah enfin ! C’est bien, t’es un bon chien, j’aime t’entendre aboyer, il faudra qu’on établisse un code et tu aboieras de façon différente et un nombre de fois différent en fonction de ce que tu voudras.
    Par exemple, si tu as envie de faire pipi, tu aboieras deux fois coup sur coup, et je comprendrai. Si tu as envie de faire caca, ça peut arriver sur un week-end, tu aboieras successivement quatre fois bien fort. On établira d’autres codes au fur et à mesure. C’est compris ? Oui, c’est un aboiement !

 

  • whouah! »

 

  • C’est bien mon chien ! Viens dans la salle de bains!

A quatre pattes, tiré par la laisse, je la suivais.

  • Rappelle-toi, je te veux au pied!

Et je m’empressai de venir au niveau de sa jambe.

Fouetté pour le seul plaisir de cette jeune dominatrice!

Une fois dans la salle de bain, elle me passa un gant mouillé sur le visage, me nettoyant ainsi de toutes les souillures du repas avec délicatesse.
Puis nous retournâmes dans le salon.

A peine assise, elle déclara :

  • J’ai envie de te fouetter !

J’eus du mal à déglutir !

  • Ce n’est pas une punition, c’est simplement une envie, l’envie de me défouler, l’envie aussi que tu souffres pour mon plaisir, ça m’excite !

 

  • Oui Maîtresse!

 

  • Ne t’inquiète pas, il n’y a pas d’excès dans ma domination, je ne suis pas une sadique mais une dominatrice, donc il n’y aura pas de brûlures, d’aiguilles, d’électricité ou de marques indélébiles, mais j’aime fouetter avec un martinet. Malheureusement le fouet est excessivement douloureux et laisse des marques trop profondes, mais le martinet est efficace, il faut aussi pouvoir l’endurer, surtout si j’y mets toutes mes forces, sans aucune retenue, et que je te donne une centaine de coups !

Je tremblai comme une feuille intérieurement mais je dis fièrement

  • Je vous appartiens Maîtresse!

Ma réponse dut lui plaire car elle alla aussitôt chercher des attache-poignets et des cordes.
Elle me mit debout et m’emmena dans un coin du salon où étaient fixés en hauteur deux crochets pour y attacher les cordes.

Je me retrouvai debout, attaché par les bras en hauteur.

Le premier coup de martinet vint cingler mon dos et je grimaçai.

Un deuxième puis un troisième m’arrachèrent quelques gémissements car les 17 lanières en cuir du martinet étaient particulièrement mordantes.

 

Seul l’excitation de ma Maîtresse me permet de subir!

Heureusement, Maîtresse Elsa savait le manier. Elle évitait soigneusement les flancs où la peau est trop fine et s’en donnait à cœur joie sur l’arrière de mes épaules, mon dos, mes reins, mes fesses.

Je me tortillais, c’était vraiment douloureux, parfois au point de me donner envie de la supplier d’arrêter, mais je ne pouvais la décevoir, d’autant plus que ses « han » à chaque coup porté me motivaient.

Ma soumission est curieuse par rapport à d’autres soumis avec lesquels j’ai échangé. Eux prenaient plaisir à souffrir, moi non. Je supporte seulement la souffrance quand je suis témoin de l’excitation de ma Maîtresse.

C’est son excitation qui me permet de subir et me dépasser, mais je n’ai aucun plaisir à travers la douleur. J’en déduits que je suis très soumis, mais pas trop masochiste !
Les coups s’abattaient sur mon dos à une cadence effrénée, Maîtresse y allait de toutes ses forces, sincèrement, pas l’once d’une retenue dans ses coups, elle s’en trouvait essoufflée et eut besoin de faire une pause.

Je l’entendis souffler et boire quelques gorgées …

 

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2 réflexions au sujet de “Une charmante dominatrice et son ex-professeur (3)”

  1. Tout le récit est envoyé, c’est Dominamag qui décide de la fréquence des parutions…
    J’espère que les nombreuses suites vous plairont, c’est tellement personnel!..
    Puissiez-vous en retirer quelque plaisir dans ce qui s’accordera à vos envies…

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