Une charmante dominatrice et son ex-professeur (2)

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Une charmante dominatrice et son ex-professeur (1)

Nous sommes, enfin, arrivés dans l’appartement de cette charmante dominatrice.

Cet appartement est un deux pièces, décoré avec goût, épuré et intime à la fois avec ses éclairages tamisés. Il y faisait bon, même un peu chaud, ce qui n’était pas pour me déplaire.

  • Il me reste un peu de vin blanc, tu en veux un verre ?, me dit-elle comme si nous étions deux potes dans une soirée ordinaire !
  • C’est gentil, je veux bien, répondis-je pour gagner un peu de temps sur la suite des évènements !

Nous nous asseyions sur le canapé. Elle alluma la télévision et nous n’échangeâmes aucun mot, juste un moment de détente (enfin, pour elle, en ce qui me concerne le trac me donnait mal au ventre).

Début de la séance de tests!

Une dizaine de minutes plus tard, elle éteignit la télévision, se tourna vers moi et dit,

  • Bon Monsieur Rollin, il est peut-être temps de me montrer que vous êtes un bon soumis, qu’en pensez-vous ?

En une phrase à l’ironie bien placée, elle m’avait ramené à l’étrangeté de la situation. J’étais, de nouveau, Monsieur Rollin, ce professeur respecté qu’elle vouvoyait, et qui n’était ce soir qu’un pauvre soumis qui allait devoir montrer son obéissance.

  • Oui Maîtresse!
  • Alors lève-toi, mets-toi face à moi, à quelques mètres, et déshabille-toi!

Bien sûr je m’y attendais! Je l’appréhendais de toutes mes forces, aussi je me mis à trembler. Cette magnifique jeune femme, cette ancienne élève, allait poser son regard inquisiteur sur ma nudité, sur mon intimité! J’étais tellement honteux intérieurement, d’autant plus que je suis de nature pudique.

Cependant, ce bouleversement, ce trac, cette honte ne font-ils pas partie de l’excitation recherchée ?

J’avais, déjà, connu la soumission avec ma petite amie. Cependant, c’était très différent car nous nous connaissions déjà intimement. Les jeux étaient venus au fil du temps, mais là c’était brutal, soudain et humiliant. Cette jeune dominatrice était, en fait, une inconnue finalement, enfin presque! Il s’agissait tout de même d’une ancienne éléve. Ce détail renforçait ma gêne et mon humiliation!

Inspection, par cette jeune dominatrice, dans les moindres détails, du corps dénudé!

dominatrice

Je m’exécutai, commençant par les chaussures, la chemise, puis le pantalon. Elle me regarda de haut en bas et de bas en haut! Sa tête s’inclina d’un petit mouvement sur le côté avec un mouvement de sourcil qui signifiait un certain étonnement « hum, pas mal ». Il est vrai que je n’avais pas à rougir de mon corps entretenu, bien proportionné et sportif, mais la suite était compliquée.

Je mis un temps d’arrêt. Elle me fixait et semblait se délecter de la situation, son verre à la main, une cigarette dans l’autre. Son beau visage et son regard m’impressionnaient toujours autant, et surtout à ce moment précis où j’allais devoir baisser mon boxer. Je n’étais pas en érection mais je sentais que mon sexe était légèrement gonflé par l’excitation de la situation.

Puis je pris mon courage à deux mains (ou plutôt mon boxer !) et me mis à nu. Je me souviendrai toute ma vie de son regard qui se baissa immédiatement pour regarder mon sexe.

  • Monsieur Rollin la bite à l’air, c’est jouissif , dit-elle avec un petit air narquois.

Elle était tout sauf vulgaire, mais elle savait exactement quand employer des mots crus pour faire monter la pression. Je ressentais de la honte.

  • Tourne-toi!

Je sentais son regard sur mon dos, mes fesses mais c’était plus facile qu’être face à elle.

Ensuite, elle me donna un autre ordre :

  • Penche-toi et écarte tes fesses avec les mains, je veux voir ton petit trou!

Position très humiliante pour la suite de l’inspection!

Je m’executai et pris la position. Elle prit tout son temps pour regarder. Cette position était très humiliante. Cette jeune dominatrice faisait  durer à dessein, et cela me parut une éternité !

  • Mets-toi à 4 pattes, cambre-toi bien tout en écartant tes genoux au maximum!

Je ne savais plus où me mettre. Ainsi, je l’imaginais scruter les moindres détails de mon anatomie, voir mes couilles pendantes.

  • Reste à 4 pattes et lève une patte comme un chien qui va pisser.

Quelle perversité, l’humiliation était à son comble!

Je pris la meilleure position pour ne pas perdre l’équilibre et levai la patte comme un chien qui s’apprête à uriner. J’étais submergé par la honte!

  • C’est bien, retourne-toi et approche!

Sa voix, calme, normale, pleine d’assurance, me troublait.

Elle se leva et alla chercher quelque chose puis revint s’asseoir.

Premier rôle: Animal de compagnie, un chien!

J’étais maintenant à ses pieds, en attente. Elle mit un collier autour de mon cou et y accrocha une laisse.

  • Tu seras principalement mon animal de compagnie, mon chien. Cependant, tu auras aussi d’autres rôles que tu n’imagines probablement pas et pour lesquels je t’entraînerai. Parfois tu seras récompensé, et une des récompenses sera de te frotter à ma jambe pour te vider les couilles. Tu vas essayer maintenant, mais sans jouir.

J’étais comme hypnotisé par ses mots crus.

  • Reste à 4 pattes, je vais rester assise et tendre ma jambe entre les tiennes… comme ça… Resserre tes genoux pour prendre ma jambe entre les tiennes et frotte ton sexe sur mon tibia, mais l’important est que tu le fasses par petits coups de reins, comme un petit chien en rut qui prend une femelle.

Je me mis à me frotter, mais donner ces petits coups de reins me donnaient déjà envie de jouir sur sa jambe, sur son jean.

  • C’est bien mais regarde-moi dans les yeux tout en tirant la langue exagérément.

Je m’exécutai mais la regarder dans les yeux en me frottant tout en tirant la langue autant que possible était presque insoutenable d’humiliation.

  • Maintenant, halète bruyamment, inspire et expire, bouche grande ouverte, langue tirée, sans me quitter des yeux.

J’avais vraiment l’air d’une bête en rut, d’un chien, et je me sentais à la fois ridicule et terriblement excité.

  • Plus fort, je ne t’entends pas assez, halète très fort.

Giflé plusieurs fois, violemment, par cette jeune dominatrice!

J’étais à deux doigts d’exploser quand elle me dit soudainement d’arrêter.

C’était tellement frustrant que je continuai quelques secondes mes mouvements pour me faire plaisir. Cependant, elle coupa court à mes mouvements en tirant sur la laisse pour me remonter et me mettre à genoux. Enfin, elle  m’asséna une superbe gifle qui me calma immédiatement.

  • Quand je te dis d’arrêter, c’est tout de suite, sans réfléchir, sans me faire attendre. Tu mérites d’être giflé, mais celle que tu as reçue n’est qu’un échantillon, je veux voir si tu es capable d’encaisser comme je l’aimerais. Mets les mains dans le dos!

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De sa main droite, je reçus une gifle magistrale, puis une autre, et encore une autre, avec une violence dont je ne la soupçonnais pas capable. Puis elle fit de même avec la main gauche. Mais ce n’était pas fini, elle reprit de plus belle avec sa main droite, sept ou huit en prenant de l’élan. Ce n’était pas seulement sa main qui s’abattait sur moi mais toute la force de son bras. Ma joue était écarlate.

J’essayais tant bien que mal de maintenir ma tête droite mais c’était très difficile, puis elle reprit avec tout autant de violence avec sa main gauche.

Pour la première fois, je l’entendis gémir de plaisir, lâchant même de petits cris en accompagnant ses coups. Elle en était même essoufflée.

Deuxième rôle: Souffre-douleur

Quand elle arrêta, elle semblait épuisée. Aussi, elle s’adossa dans le canapé et alluma une cigarette.

  • Tu m’as étonnée, tu as bien résisté, c’est bien… Tu vois, ton deuxième rôle sera d’être mon souffre-douleur pour que je puisse me défouler quand j’en ai besoin. Il est probable que je te prenne comme soumis, mais ce n’est pas encore gagné, la soirée n’est pas terminée. En attendant tu peux t’asseoir, ici, par terre à mes pieds!
  • Merci Maîtresse.

Tout en fumant d’une main, elle me caressa la tête de l’autre main, avec une douceur qui contrastait avec la violence de ses gifles, et malgré une certaine appréhension sur la suite de la soirée, j’étais aux anges.

Maîtresse Elsa se leva et je sentis la laisse et le collier serrer mon cou.

  • Viens, on va faire un petit tour de l’appartement, ce sera comme une visite pour mon chien!

Je la suivis à 4 pattes un peu difficilement. Ainsi, je marchai un peu en retrait quand elle me dit en tirant sur la laisse :

  • Au pied ! Marche bien à côté de moi !

Nous visitâmes la cuisine, la salle d’eau, les WC et sa chambre. Revenus dans le salon, elle me tapota le flanc.

  • C’est bien!

Elle retourna s’asseoir sur le canapé pour y boire son verre.

  • Ouvre la bouche!

Léchage des bottines de cette Maîtresse Dominatrice

Elle s’approcha et me cracha dans la bouche. Je fus très surpris mais je ne montrai rien et avalai son crachat.

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  • Je ne vais pas te dire à chaque fois d’ouvrir la bouche, quand tu vois que je me baisse et que j’approche mon visage du tien, c’est parce que j’ai envie de cracher, point final, alors tu l’ouvres et tu avales, c’est compris ?
  • Oui Maîtresse!

Ce petit jeu dura un moment et je frémissais quand je t’entendais se racler la gorge.

Puis elle me montra du doigt ses bottines :

  • Lèche, nettoie-les !

Sans la moindre hésitation, je me mis à lécher ses jolies bottines noires, l’une après l’autre, consciencieusement, tandis qu’elle regardait la télévision sans me prêter aucune attention.

Puis elle enleva ses bottines et ses socquettes :

  • Continue!

Ensuite, elle partit dans la cuisine.

Lécher les bottines aux pieds de ma Maîtresse était humiliant mais les lécher toutes seules, sans la présence de ma Maîtresse, l’était encore plus.

Elle revint avec plein de petits tapas pour se régaler devant la télé.

  • Arrête, assieds-toi par terre sans bouger, pas devant moi, à côté pour ne pas me gêner!

Assis sur une fesse, adossé au canapé, je restai immobile, regardant de temps en temps avec envie les petites tartines appétissantes.

Mon repas, toujours aux pieds de ma Dominatrice!

Et puis sans dire quoi que ce soit, elle se mit à cracher par terre le contenu de sa bouche, une bouillie qu’elle avait mastiquée et mélangée à sa salive. Je n’osai pas bouger. Elle continua à manger puis cracha un autre morceau par terre, à l’aspect tout aussi infâme.

  • Mange ! Et nettoie bien le sol avec ta langue pour qu’il reste propre!

Malgré mes appréhensions, j’avais faim et je devais obéir.

Ma bouche vint récupérer à même le sol ce que ma Maîtresse dominatrice avait recraché bruyamment, et ma langue en nettoyait toute trace.

Je pus être nourri ainsi une dizaine de fois.

  • Ici, tu mangeras à mes pieds de trois façons différentes selon mon humeur : les restes de mon repas dans ta gamelle de chien, ou bien ce que je serai en train de manger et que je recracherai par terre ou directement dans ta bouche.
  • Bien Maîtresse!

Son repas terminé, Maîtresse Elsa se leva et enleva son jean. J’étais comme fou de voir ses jolies jambes nues. Quand elle retira sa petite culotte, j’en eus le souffle coupé. Elle sourit en me voyant ainsi ébahi, les yeux écarquillés, rivés sur son sexe.

Puis elle s’assit et écarta les cuisses. Je n’avais pas détourné mon regard une seule seconde de son sexe à la pilosité brune, à la fois naturelle et soignée.

  • Lèche ma chatte!

Troisième rôle: Esclave sexuel à disposition jour et nuit!

J’approchai mon visage avec envie. A ce moment précis, je me dis que je pouvais tout endurer pour un tel moment de bonheur, pour un tel privilège.

Mon nez vint s’enivrer de ses parfums intimes si délicats! Ma langue vint la goûter, très délicatement. Je ne pus retenir mon érection, j’étais tellement excité qu’elle en était presque douloureuse.

Maîtresse Elsa fermait les yeux, elle semblait apprécier.

  • Tu vois mon chien, en plus d’être mon souffre-douleur, tu seras aussi mon esclave sexuel, et tu feras tout ce qui me passe par la tête pour me donner du plaisir, d’un seul claquement de doigt, aussi longtemps que j’en aurai envie… Je te veux à disposition jour et nuit.

J’osai un rapide « Oui Maîtresse », puis enfonça mon visage dans son intimité, ma langue la fouillant de plus en plus profondément.

  • Applique-toi!

Elle prit ma tête pour me guider.

  • Là, voilà, lèche-moi doucement, délicatement, sans t’arrêter!

Je léchai son clitoris avec soin et application, alliant douceur et caresses un peu plus appuyées. Au gré de ses réactions, je poursuivais ce qui lui faisait le plus plaisir, et j’eus enfin l’honneur de la sentir jouir. Elle appuya ma tête, écrasa mon nez dans ses poils tandis que ma langue continuait à la caresser, et remua son bassin cherchant la position idéale. Puis elle se mit à gémir et se lâcha dans ma bouche, pour mon plus grand bonheur, et en toute franchise, pour ma plus grande fierté.

Elle me repoussa sans me montrer la moindre gratitude, s’assit et alluma une cigarette.

  • Tu m’as bien léché, c’est un bon début, mais il est temps que tu découvres ton 4ème rôle à mon service.

Quatrième rôle: WC humain personnel

Elle se leva et revint avec une chaise dont les pieds avaient été sciés de sorte que l’assise se trouvait à environ 60 cm du sol, assise sur laquelle était fixée une lunette de toilettes.

Une fois de plus, mon cœur battait la chamade.

  • Allonge-toi en dessous!

J’étais maintenant sur le dos, la tête sous l’assise, agité d’un léger tremblement de peur et d’excitation.

Maîtresse Elsa s’assit sur la chaise, m’offrant une vue imprenable et captivante sur son sexe et son anus…

  • Tu as compris je pense, tu seras aussi mon WC!

Et je vis quelques gouttes tomber aussitôt, j’ouvris la bouche pour les recueillir. Puis un jet plus fourni me remplit la bouche et je me dépêchai de déglutir. Heureusement Maîtresse Elsa était clémente, elle ne lâchait pas tout d’un seul coup mais attendait à chaque fois que je vide ma bouche.

Je fus surpris, le goût n’était pas si terrible, mais en grande quantité, quand ma bouche était remplie au maximum, j’avais quelques hauts le cœur en avalant.

La vessie de ma Maîtresse devait être pleine car cela dura un bon moment, et sur la fin j’entendis Maîtresse Elsa me dire :

  • Cette fois-ci je ne vais pas attendre que tu vides ta bouche, je vais me laisser aller et tu vas déglutir rapidement au fur et à mesure, sans en recracher la moindre goutte, je te préviens!

Les quatre tests réussis: désormais la chose, le soumis de cette jeune dominatrice!

J’essayai de toutes mes forces mais c’était difficile et ma bouche se remplissait trop rapidement au risque qu’elle déborde. Finalement, je compris que ça devait couler presque directement dans ma gorge, sinon je n’y arriverais jamais.

Même si j’en laissai couler un peu en dehors de ma bouche, sur mes joues, mon menton, mon cou, je réussis quand même à tout boire aussi vite que l’urine de Maîtresse me coulait dans la bouche.

  • Hum ça fait du bien, ma vessie était pleine ! Pour une première, je suis fière de toi, tu n’en n’as pas trop gaspillé !

Ses mots me comblaient… Avais-je réussi le test, allais-je devenir son soumis, lui appartenir ? J’en serais tellement heureux… Elle est tellement belle et perverse à la fois…

  • Viens, nettoie!

Je vins entre ses cuisses et commença à m’exécuter avec enthousiasme, jusqu’à ce qu’elle prenne ma tête entre ses mains pour frotter mon tout visage sur son sexe mouillé, comme pour me débarbouiller avec les restes de son urine. Ainsi, je sentais que j’étais sa chose et une telle intimité était divine.

Puis elle se leva pour s’asseoir dans le canapé et tira sur ma laisse pour que je m’asseye par terre à ses pieds.

  • Il est temps de conclure, M. Rollin le soumis !

 

  • Oui Maîtresse!

 

  • Je t’ai testé sur les 4 aspects de ta soumission et je suis satisfaite, même si je t’entraînerai pour que tu progresses… et si tu savais ce que j’ai en tête, je crois que tu ne serais pas fier ! A partir d’aujourd’hui, tu es donc mon soumis.

 

  • Oh merci Maîtresse!

Le Deal: Une appartenance S/M et non une relation « vanille »

  • Le deal est que je tiens à ma liberté, alors c’est moi qui décide de te faire venir quand j’en ai envie, de ton côté tu te tiens à disposition et attends que je te fasse signe, sans jamais me solliciter. La plupart du temps nos rencontres auront lieu le week-end, mais je n’exclus pas quelques exceptions. Avec le temps, si je suis satisfaite, nous pourrons éventuellement envisager une semaine de vacances pendant laquelle tu seras à ma merci 24h/24 et 7 jours/7, mais n’allons pas trop vite en besogne, ton apprentissage ne fait que commencer…
  • Je tiens à préciser que notre relation est une appartenance BDSM, pas vanille, je suis donc libre de mener ma vie privée comme je l’entends, et toi aussi. A toi de faire en sorte d’être disponible quand je te « siffle » ! Une exception ou deux sont acceptables, je respecte ta vie privée, mais j’aime l’idée que tu sois à disposition, dans l’attente de mon bon vouloir, alors fais le maximum pour te libérer quand tel est mon souhait. Est-ce que tu as bien compris ?

 

  • Oui Maîtresse, je ferai toujours de mon mieux pour vous servir!

 

  • Alors ce soir, tu vas rentrer chez toi, et tu reviendras demain en fin de journée. Tu passeras la nuit ici et tu repartiras dimanche matin.

 

  • Bien Maîtresse!

 

  • Allez, rhabille-toi et va te reposer, le programme est chargé pour toi ce week-end…

 

  • Oui Maîtresse, merci Maîtresse!

La parfaite Maîtresse dominatrice

Je m’habillai et vint lui dire au revoir en m’approchant maladroitement, comme pour lui faire la bise, elle fit un petit mouvement de recul :

  • Dépose un baiser sur chacun de mes pieds!

 

  • Bien Maîtresse, bonne nuit Maîtresse.

 

  • Bon retour, bonne nuit mon soumis!

Même ses pieds sentaient bon. Je repartis sur mon petit nuage.

Ainis, j’avais enfin trouvé une jolie Maîtresse. Physiquement, elle correspondait parfaitement à mes goûts. Cela compte beaucoup dans ma soumission! Elle était cérébrale, perverse, sévère sans artifices, et sans insultes. Je me sentais complètement soumis mais respecté.

Il y avait des moments de tendresse. Je n’étais jamais rabaissé. Pourtant les actes étaient bel et bien humiliants, avilissants même. Cependant, il y avait ce respect, cette complicité, cette affection qui me motivaient au plus haut point, bien plus que les insultes ! Car finalement, a-t-ton besoin d’être rabaissé pour être soumis ? Ne peut-on pas être un homme soumis, admiratif de la Femme et respecté en tant que tel ?

Sur ces réflexions, je m’empressai de retourner chez moi et faire exploser mon plaisir trop longtemps retenu…

La suite du récit demain…

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4 réflexions au sujet de “Une charmante dominatrice et son ex-professeur (2)”

  1. La première partie de votre histoire m’avait transporté…la deuxième est tout aussi excitante…Merci beaucoup! Désormais j’ai hâte de savoir comment Maîtresse Elsa va dresser son soumis…

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