Calvaire du jeune esclave
Le jeune garçon, le visage toujours enfoui dans le cul de sa Maîtresse, impitoyable dominatrice, sentit la main de celle-ci empoigner sa bite et se mettre à la frotter énergiquement. Alice était en train de violemment masturber son esclave, sans aucune douceur, lui tordant le pénis douloureusement à chaque mouvement.
-Je te préviens, le menaça Alice. Si tu jouis sans mon autorisation, je double ta punition, et crois-moi elle est déjà sévère !
Les poumons emplis des divers parfums qui flottaient dans l’anus de sa maîtresse, la bite en feu, secouée, pressée et frottée à l’extrême, l’esclave gémit et finit par n’en plus pouvoir. Après dix minutes de ce calvaire, à se retenir autant qu’il put, il éjacula directement dans les doigts de sa Maîtresse.
L’impitoyable dominatrice sourit, amusée, car elle avait bien évidemment prévue de branler son esclave jusqu’à ce qu’il jouisse, sans jamais lui donner l’autorisation de le faire. Tout cela avait bien entendu pour but de justifier la correction magistrale qu’elle lui réservait.
Alice quitta sa position assise et libéra l’esclave du poids de son cul, écrasant sa figure. Biscotte se mit à inspirer bruyamment, reprenant son souffle après tout ce temps passé à s’asphyxier à moitié. Il contempla la main couverte de sperme de sa Maîtresse et déglutit.
Punition exemplaire !
Alice put lire distinctement la peur dans ses yeux. La peur de ce qui allait fatalement arriver.
-Je t’avais prévenu, dit Alice en essuyant calmement sa main sur son oreiller. Tu étais conscient de ce qui t’attendait, mais tu as délibérément choisi de te soulager, comme ça, sans ma permission. Qu’as-tu à dire pour ta défense ? Parle.
-Je vous en supplie, Madame, gémit l’esclave en balbutiant. Je n’en pouvais plus ! J’ai atteint ma limite ! S’il-vous-plait, je vous promets que ça ne se reproduira plus !
-Vraiment ?
-Oui, vraiment ! s’exclama le garçon avec une teinte d’espoir dans la voix. Je vous le jure.
-Tant mieux, cela me fait plaisir à entendre. Cela dit, tu mérites quand même ton châtiment. Une punition exemplaire.
L’espoir s’effaça complètement de l’expression du garçon. Sa Maîtresse le détacha et le conduisit jusqu’à une pièce qu’il n’avait pas encore visitée. Alice l’avait préparé expressément pour le jour où elle allait s’acheter un esclave. Elle l’avait meublée elle-même et avait dépensé une grosse somme d’argent pour s’offrir tout le matériel nécessaire. Aussi, les outils qui avaient été offerts par le Centre aux Esclaves étaient bien inutiles, car elle possédait déjà tout le nécessaire chez elle.
La salle des corrections
L’esclave vit avec horreur la porte de la pièce s’ouvrir sur vaste salle aux murs rouges et au sol noir, remplie d’objets de torture divers et variés. Des chaînes pendaient au plafond, faites pour pouvoir y suspendre un homme. Il y avait une rangée de cages de plusieurs tailles dans un coin, plus adaptées pour contenir un animal qu’un être humain. Sur une table en inox étaient étalés des dizaines d’accessoires sexuels, godes en tout genre, plugs multicolores, pinces, aiguilles, bougies, masques et cagoules… Fixés au mur, pendaient des fouets en cuir, des lanières, des martinets, des cravaches et des paddles. Il aurait fallu des heures pour décrire en détail chaque instrument dont disposait Alice dans ce qu’elle avait nommé sa « Salle des Corrections ».
-Tu vas inaugurer cette salle, esclave, dit Alice d’un ton enjouée, car elle parvenait mal à dissimuler son excitation. Tu as de la chance dans ton malheur car tu vas expérimenter une punition terrible, mais avec un matériel d’une grande qualité.
L’esclave tremblait de tous ses membres. Il avait instantanément cessé de bander.
Alice le conduisit jusqu’à un carcan métallique, au centre de la pièce, qu’elle ouvrit rapidement. L’esclave s’y plaça, y mit sa tête et ses bras, puis sentit le carcan se refermer. Cela fait, Alice lui écarta les jambes et maintint l’écart entre les deux grâce à une barre de fer dont chaque extrémité était fixée à une cheville du jeune garçon. Alice recula et admira son œuvre.
L’esclave était ainsi penché péniblement en avant, emprisonné par le carcan et totalement immobilisé.
Fouetté par l’impitoyable dominatrice
Ses jambes écartées lui offraient une position précaire qu’il maintenait difficilement. Ses deux cuisses étaient ouvertes sur un petit anus rosé, encore vierge, offert à toutes les sévices que pourrait lui infliger sa propriétaire. Pour parfaire le tout, Alice enfonça brutalement un gag-ball dans la bouche ouverte de l’esclave et en serra fortement les lanières autour de sa tête.
Elle s’avança vers un mur de la pièce et en décrocha un long fouet noir à l’aspect menaçant.
-Autant que je te l’avoue, petit esclave, admit Alice avec une voix faussement coupable, je n’avais aucune intention de t’autoriser à éjaculer. J’aurais très bien pu t’emmener ici sans aucun prétexte, juste parce que l’envie m’était venu de te fouetter, mais cela aurait été moins drôle, non ?
L’esclave s’agita, les yeux grands ouverts. Il tremblotait, devinant ce qui allait se passer.
Alice se mit à le fouetter énergiquement. La lanière de cuir siffla dans l’air et s’abattit sur les fesses du garçon, claqua contre ses cuisses et dessinant une longue marque rouge sur sa peau. L’esclave tressaillit et gémit de douleur. Alice continua à le molester avec des gestes parfaitement maîtrisés. Elle zébrait le dos, les jambes et le cul de Biscotte à chaque coup. L’esclave fut ainsi copieusement fouetté pendant près d’une heure. A chaque coup, Alice faisait une pause d’une minute ou deux, parfois plus longue ou plus courte pour que le jeune garçon ne sache jamais à quel moment il allait en recevoir un nouveau.
L’impitoyable dominatrice s’éclate !
Cela était très plaisant de voir son esclave se trémousser inutilement dans son carcan, comme si, en s’arcboutant, il allait pouvoir éviter les coups. Alice écoutait avec attention les grognements de douleur et les ahanements de l’esclave, savourant son supplice avec délice. Ses gémissements et ses suppliques étouffées par le gag-ball sonnaient à ses oreilles comme une agréable mélodie.
Alice se rendait compte qu’elle était un peu sadique sur les bords. Cette pensée l’amusa.
-Je sais que c’est très difficile à vivre pour toi, dit Alice à son esclave entre deux coups de fouet, crois-moi, je ne voudrais pour rien au monde être à ta place. Mais tu dois l’endurer, car désormais, la souffrance fera partie intégrante de ta vie. Je compte te fouetter ainsi au moins une fois par semaine. Pas pour te punir, juste pour me faire plaisir et me relaxer. C’est important d’avoir un défouloir sur qui passer ses nerfs et son stress. Ce sera ta correction gratuite hebdomadaire. Qu’en dis-tu ?
L’esclave gémit. Alice sourit et repartit de plus belle dans son manège.
Alice s’arrêta à la fin de l’heure, laissant retomber la lanière de cuir. Le dos et le cul de l’esclave étaient recouverts de lignes violacées, traçant des motifs complexes et même artistiques sur sa chair. Alice alla poser le fouet sur une étagère et s’empara d’un gode-ceinture.
-Maintenant, on passe aux choses sérieuses !
De plus en plus folle et acharnée, Alice à eu un bon rôle dans cette fiction. Mais tu avais pourtant préciser qu’Alice aimait le fétichisme, donc pourrais-tu en faire un peu plus?
mooi een zeeker goede rool
De plus en plus cruel et sadique! Alice n’a aucun scrupule. Assistera-t-on à l’humiliation extrême (grosse commission) ?
Superbe histoire !!