Soubrette mâle au service de jeunes dominatrices (8)

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jeunes dominatrices

Corrigé par Maîtresse Anais

Maîtresse Jessica, une des jeunes dominatrices, sortit de son silence pour dire:

-mais ma chérie, nous avons tout notre temps. On compte sur toi pour que la juste punition soit exécutée dans les règles de l’art. Tu as fait tes preuves d’ailleurs dans ce genre d’exercice. Cependant, comme il s’avère que Delphine est particulièrement indisciplinée et a vraiment tout à apprendre, tu es consciente qu’il va falloir investir dans quelques outils supplémentaires pour mener à bien notre noble tâche.

Rien de tel pour me mettre cette fois dans les dispositions optimales pour éviter le pire ! Alors que la cravache était posée sur le sofa à portée de main de la fesseuse, je me demandais s’il s’agissait juste d’un instrument de mise en condition ou bien si j’allais tâter de cet instrument redoutable jamais employé sur ma personne.

Et un « merci Maîtresse Anais « , deux « merci Maîtresse Anais » et trois « merci Maîtresse Anais », les coups se succédaient, à une cadence régulière avec la même intensité. Au dixième coups, je commençais à sentir les effets cuisants sur mon postérieur. Sans idée sur la durée de la séance, je me demandais comment j’allais réagir si on dépassait la vingtaine, ce qui au demeurant était plus que probable vu la tournure prise par les évènements.

Petite pause pendant la punition !

Je serrais de plus en plus les dents pour ne pas crier, tout en gardant l’énergie nécessaire pour formuler les remerciements obligatoires à chaque coup porté. Les coups étaient de plus en plus violents, et administrés à une cadence qui avait atteint un rythme de croisière soutenue. La tortionnaire alternait sur chaque fesse, puis privilégiait une seule, pour passer à l’autre sans transition.

Les claques étaient vraiment dures, carrément insupportables et le bruit était impressionnant. Aucune de ces jeunes dominatrices ne voulait perturber cette séance en manifestant la moindre remarque. Je résistais du mieux que je pouvais pour articuler.

-50, « merci Maîtresse Anais « 

J’eus le secret espoir que l’on allait en terminer sur ce chiffre rond, qui correspondrait à ma limite d’endurance.

Maîtresse Anais aurait-elle lu dans mes pensées pour finalement faire preuve d’un peu de compassion face à mon supplice?

Une pause ! je ne rêvais pas!

Cependant, je me gardais bien de modifier ma position sur les genoux de Maîtresse Anais. Celle-ci avait laissé une main presque apaisante sur ma peau meurtrie.

Las, pauvre de moi, il ne s’agissait que de à faire l’état des lieux, pour mieux viser les territoires qui auraient été jusqu’à présent oubliés. En effet, Maîtresse Camille rompit le silence en disant de façon sarcastique :

-bravo ma chérie, tu es vraiment une experte ! Tu as su faire passer les fesses de la demoiselle de blanches au rouge écarlate en peu de temps !

Dans le même temps, plusieurs flash se déclenchèrent, ce qui indiquait que ces jeunes dominatrices voulaient garder des traces de cet épisode douloureux, et aussi extrêmement humiliant.

Maîtresse Anais apprécia le compliment à sa juste valeur, en brisant mon infime espoir en répondant :

-Merci, ma chérie, tu sais combien la phase d’entrainement est primordiale, avant de passer au vif du sujet.

Suite de la punition !

J’étais abasourdi en entendant ses paroles. Il ne s’agissait donc que d’un prélude à plus de souffrance. Je me sentais au bout du rouleau.

En vraie sadique, en prenant un ton soudainement suave, Maîtresse Anais me dit :

-Delphine, je vais être gentille, je ne te demanderai plus à partir de maintenant, de devoir compter les coups et de me remercier !

Cependant, je n’eus pas le temps de profiter de l’effet de soulagement. En effet, elle poursuivit:

-ta bouche aura certainement une utilité !

Là, je compris que je devais prendre mon courage à deux mains. En effet, dans une telle posture, je me voyais déjà poser mes mains en guise de protection si les coups dépassaient le tolérable.

Dès le premier coup porté, il était évident que la fessée prenait une autre dimension. Maîtresse Anais avait redoublé de vigueur, et l’excitation des spectatrices enthousiastes aidant, l’une d’entre elles décida de déclencher la video pour pouvoir en jouir à postériori .

Rien ne me sera épargné, ces demoiselles étaient impitoyables sur toute la ligne. Elles ne laissaient rien passer pour augmenter mon tourment, alliant avec maîtrise, la douleur physique et l’humiliation psychologique.

Très vite, je ne pus plus retenir mes gémissements, qui se transformèrent en cris de douleur. J’essayai, également, avec mes mains de m’opposer à la suite du châtiment. Manifestant une vive contrariété, Maîtresse Anais, s’interrompit et s’adressa à ses complices :

-dois-je continuer, mes chéries ?

Alors, Maîtresse Jessica, jusqu’à présent assez discrète, d’une voix coupante, intervint :

-Oh, que oui, Anais, Delphine mérite une très sévère punition. Nous l’avons jugée. En conséquence, pour son bien, la punition devra aller jusqu’à son terme, et tu as carte blanche pour ce faire !

La cravache dans la bouche

Tout le côté sadique de Maîtresse Anais s’exprimait une fois de plus. Avait-elle voulu me faire croire que dans un soudain esprit de compassion elle avait été prête à me faire grâce ?

Franchement, je n’attendais rien de la sorte de sa part, tant elle était férocement attachée à conduire sa mission avec la plus extrême fermeté. Elle profita de cette nouvelle courte pause pour saisir la cravache et me la mettre dans la bouche en riant :

-cela devrait modérer ton ardeur dans tes cris de fillette. Bien entendu, tu ne dois pas la laisser tomber. En effet, je veux qu’elle reste intacte pour  le moment de te la faire goûter. Elle n’est pas là à titre décoratif, je n’ai pas l’habitude de traîner avec moi des choses inutiles. J’aime autant te prévenir que si elle tombe une seule fois, il ne s’agira plus d’une simple fessée, tu te mettras au coin, debout, mains sur la tête, et ma cravache te zébrera tout ton dos !

Le ton était très dur. Je prenais ça au sérieux. Elle changea de nouveau de ton. Son côté retors refaisait surface :

-bon, comme je suis dans un jour de bonté, n’est ce pas, je ne dépasserai pas les 50 coups de cravache!

Sans commentaire ! j’avais pris la dimension de cette personne, assurément cruelle .

Un nouveau défi donc, m’attendait. De plus, comme pour montrer qu’aucun membre de l’assistance ne voulait être en reste, Maîtresse Nadia décréta qu’il fallait me lier les mains pour m’empêcher de protéger mon postérieur dans ma nouvelle épreuve. Elle accomplit cette tâche avec dextérité et solidité. Ainsi, j’étais dépourvu de tout moyen de défense pour affronter la suite du châtiment.

Soumis complètement brisé

A chaque coup, je ne pouvais que battre des jambes, m’agitant dans tous les sens. Je prenais soin de ne pas laisser tomber cette inquiétante cravache, que je maintenais en serrant les dent. Les coups me tiraient des grognements de plus en plus assourdissants. Puis, pourquoi mentir, je ne pus retenir mes pleurs, et si j’avais pu ouvrir la bouche, j’aurais sans honte supplié ma tortionnaire d’en finir .

Je tins bon quand même pour la cravache, l’effet de dissuasion, vu la conséquence promise, joua à plein. Cependant, j’étais complètement brisé, lorsque Maîtresse Anais déclara :

-debout et va au coin, à genoux !

Je me relevai, et docilement tel un funambule je me plaçai à l’endroit désigné. La cravache me fut retirée de la bouche. Ma tortionnaire s’amusa à l’agiter en tapotant sur ses mains, pour me signifier qu’elle allait l’appliquer sur un corps déjà bien malmené.

Je ne restai pas longtemps ainsi. Je reçus un nouvel ordre :

– debout, mains sur la tête !

Mes mains furent déliées pour cette nouvelle phase dont j’attendais le pire. D’ailleurs ne s’y trompant pas, Maîtresse Jessica sortit de son sac un bâillon conséquent pour le fixer dans ma bouche, anticipant ma réaction.

Et la comédie vicieuse du jeu du chat et de la souris recommença avec les nouvelles paroles de Maîtresse Anais, prononcées d’une voix très douce :

-Delphine, je sais que cela va être très dur, mais tu sais que tout cela est pour ton bien. Comme il s’agit d’une initiation, je me contenterai de 10 coups pour cette fois. Tu vois, je ne suis pas si méchante !

L’assistance qui n’avait pas perdu une miette du spectacle depuis le début pouffa de rire.

Maîtresse Anais félicitée !

Au premier coup, je sautai, comme frappé d’une décharge électrique. Au cinquième, je n’en pouvais plus et je sanglotai sans aucune retenue. C’était Maîtresse Anais cette fois, qui comptait les coups d’une voix calme, totalement insensible à ma souffrance. La douleur était insoutenable. Sans le bâillon entravant ma bouche, des hurlements stridents en seraient sortis. Les larmes me brouillaient la vue et les sens. J’étais submergé par la douleur et la honte.

Ensuite, ma tortionnaire, après le neuvième coup, décida « dans sa très grande bonté  » de m’épargner le dernier coup. Cependant, en échange, je devais la remercier chaleureusement pour cet élan de bonté et ce de façon convaincante.

Naturellement, je ne pus qu’obéir. Ainsi, j’avais bu le calice jusqu’à la lie!

Maîtresse Anais fut félicitée pour sa brillante prestation, préliminaire salutaire, pour donner à leur soumise une excellente éducation. Maîtresse Nadia, en tant que « directrice des études  » estima que « l’éducation anglaise » avait fait ses preuves en la matière. Elle ne fit pas mystère qu’elle devrait y recourir en cas de besoin, et que je serais traitée comme une écolière d’un établissement strict.

Punition filmée par les jeunes dominatrices

Puis elle me fixa, d’un regard plein de détermination et me demanda :

-mademoiselle Delphine, me suis-je bien fait comprendre ?

-J’espère pour elle qu’elle a bien compris : susurra Maîtresse Anais, car dans un contexte purement scolaire, il faudra qu’elle tâte de la cane anglaise!

Et Maîtresse Nadia ne contredit pas son amie le moins du monde. Au contraire, elle appuya cette remarque, en me saisissant le menton et elle répéta sa question :

-est ce que je me suis bien fait comprendre, mademoiselle Delphine ?

Je n’eus guère le choix quant à ma réponse. Cependant, cette nouvelle promesse me fit froid dans le dos.

Maîtresse Camille gloussa :

-vu la sévérité avec laquelle tu notes les devoirs Nadia, il va falloir s’en procurer un bon stock,hihi!

J’étais resté debout lors de ces échanges. « Généreusement », Maîtresse Jessica me donna la permission de m’asseoir, ce qui, au lieu du soulagement espéré, contribua à mettre en évidence mon infortune, tant mes fesses étaient brûlantes.

Maîtresse Camille, perfide au possible, percevant ma grimace, me dit alors :

-delphine, si tu préfères, je t’autorise à rester debout !

J’avais subi une correction mémorable, c’était le but recherché, et durant cette phase, la video avait continué de tourner. Les jeunes dominatrices avaient désormais un sacré document entre leurs mains, et nul doute que ça en faisait un instrument redoutable concrétisant bien leur emprise sur moi.

 

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