Soumis humilié par ma logeuse dominatrice (4)

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Soumis humilié par ma logeuse dominatrice

À partir de ce jour, nos relations changèrent radicalement. Elle prit beaucoup moins de précautions avec moi et ne se gênait plus pour me donner des ordres et pour profiter abusivement de mes services sans même m’en remercier. Et j’étais heureux de lui obéir servilement et d’être un soumis humilié par elle.

Les jours passèrent et je devenais à moitié fou de ne pas pouvoir soulager la tension sexuelle qui m’obsédait. Je lui avais demandé plusieurs fois de m’aider, elle avait répondu que je n’avais qu’à mieux me contrôler.

Un samedi matin, alors que j’insistais encore une fois pour qu’elle me laisse enfin jouir, elle me fit me déshabiller et mettre les mains dans le dos, puis ayant été chercher son sac à main, elle ouvrit le cadenas qui scellait ma cage et la retira délicatement. Mon membre enfin libre gonfla immédiatement, sans être vraiment en érection.

-Tu vas rester comme ça tout le week-end, et je t’interdis de te toucher ! Tu m’entends, je te l’interdis !

-Entendu Madame !

Je commençais à prendre mes vêtements pour me rhabiller.

-Qu’est-ce-que tu fais?

-Je me rhabille.

-Non, je t’ai dit que tu resterais comme ça, tout le week-end, nu !

Je passais donc le week-end entièrement nu. Elle ne se privait pas pour saisir ma queue et me masturber un instant sitôt que je passais près d’elle. À un moment, j’étais au bord du plaisir et un filament translucide pendait au bout de mon sexe en érection. Elle le cueillit d’un doigt et me le mit dans la bouche. C’était visqueux, légèrement salé.

Le dimanche soir, elle m’appela dans le salon, elle était assise dans la banquette.

-Viens là, à genoux les mains dans le dos !

Je m’approchais et me mis à genoux devant elle.

-Je vais t’autoriser à te masturber et à jouir mais, il y a un prix à payer. Tu vas jouir sur mon pied et ensuite, tu le lécheras pour le nettoyer. Tu as compris !

-Oui Madame

Se penchant, elle retira ses escarpins.

-Vas-y, tu peux commencer !

Je commençais mon va-et-vient, humilié comme jamais je ne l’avais été de faire ça devant elle qui ne perdait pas une miette de ma caresse.

-Attends, tu as été sage alors je vais te faire un cadeau.

Elle se leva et sortit du salon, quand elle revint, elle avait une boule de tissu à la main.

-Tiens…sniffe un coup !

Elle me tendit une culotte blanche en coton. je la saisis et la portai à mon nez. L’odeur musquée, légèrement acide me transporta et ajouta encore à mon humiliation. je sentis le plaisir monter.

-Tu me préviens quand tu vas jouir !

Cela ne fut pas long avant que je ne sente les premiers signes de l’explosion.

-Je vais jouir Madame.

Elle avança alors un pied vers moi et immédiatement, de longs jets de sperme vinrent éclabousser le collant noir qu’elle portait. Je crus que je n’arrêterai jamais d’éjaculer. De longues traînées d’un sperme épais s’étalaient sur le dessus de son pied et sur sa cheville. J’avais toujours le nez dans sa culotte et la respiration rapide qu’avait entraîné ma jouissance ne faisait qu’accroître son odeur intime qui me faisait tourner la tête.

-Bon ! maintenant, c’est le temps du nettoyage !

Je me penchais dégoutté vers ce pied enduit de ma semence et commençais à donner des petits coups de langue hésitants. Un goût acre m’envahit le gorge, mais plus que le goût, c’est la consistance glaireuse qui me donna des hauts le cœur.

-Mets y un peu plus d’enthousiasme !

Je donnais alors de grands coups de langue pour enlever toute trace de mon plaisir sur son collant. Au bout d’un moment qui me parut interminable, ma langue ne rencontrait plus que nylon humide.

-Bon ! c’est bien, relève toi !

Sitôt debout, elle réinstalla la cage de chasteté sur mon pénis redevenu flasque.

Le début de la semaine suivante se passa sans incident notable, Hélène se montrait de plus en plus autoritaire et s’amusait visiblement de mes réticences à exécuter certains ordres. Elle me demandait de plus en plus souvent de rester nu quand elle était là et je commençais à m’habituer à cette pratique humiliante.

Elle sortit le mercredi soir et ne revint que vers huit heures du matin le lendemain pour se changer. Je passai une nuit blanche à épier son retour. Plus le temps passait et plus j’étais frustré, plus je me sentais amoureux d’elle et l’idée qu’elle couche avec Bertrand m’était insupportable.

Le samedi matin, j’étais nu dans la cuisine en train de ranger la vaisselle. Hélène entra en tenant à la main un petit gobelet en plastique à moitié plein d’urine. Elle trempa dedans une languette de carton dont elle observa la couleur. Voyant mon regard interrogateur, elle me renseigna.

-J’ai une tendance au diabète, alors périodiquement, je vérifie où j’en suis.

Me tendant le gobelet, elle ajouta avec un sourire moqueur.

-Tu veux goutter?

Par défi, pour la surprendre et lui prouver mon amour, je pris le gobelet tiède et l’approchais de ma bouche. L’odeur âpre me fit hésiter un instant mais j’avais été trop loin et je bus le contenu du gobelet en fermant les yeux. Le goût fade, légèrement acide ne me déplut pas tant que je l’aurais cru, et par-dessus tout, le caractère totalement dégradant de ce que je faisais pour elle m’excitait prodigieusement. J’étais devenu un soumis humilié par une femme dominante.

Je rouvris les yeux. Hélène me fixait avec un regard étonné puis ses yeux descendirent sur mon sexe. Je baissais les yeux pour observer mon érection qui luttait contre les barreaux de ma cage.

-Tu as aimé ça?

-Euh…je ne sais pas…

-Apparemment en tout cas, ça te fait bander de boire ma pisse.

Je devais bien me rendre à l’évidence et je baissais les yeux comme un gamin pris en faute.

-Oui Madame.

Elle quitta la cuisine, me laissant là, avec le gobelet vide dans la main et un goût d’urine dans la bouche.

Je me dirigeai vers le réfrigérateur pour prendre un verre d’eau et me rincer la bouche de cette saveur aigre. J’étais perturbé, j’avais bu son urine et j’avais un peu de mal à assumer un acte aussi avilissant, mais je ne pouvais nier que ça m’avait excité. Je me demandais ce qu’elle en avait pensé, si je ne l’avais pas dégoûtée en faisant cela. Avait-elle au moins compris que c’était un acte d’amour?

Et c’est la tête pleine d’idées confuses que je repris mon rangement.

La semaine suivante redémarra sur les chapeaux de roues. J’avais un examen à préparer et Hélène était très occupée de son côté par le lancement d’un nouveau produit. Nous ne nous vîmes pas beaucoup et ce fut toujours entre deux portes. Seul le repas du soir nous permettait de nous détendre un peu et d’échanger les nouvelles de la journée.

Le lundi, elle rentra assez tard du travail. Nous mangeâmes comme d’habitude dans le salon-salle à manger. Il était maintenant passé dans les habitudes que sitôt rentré de l’école, je me déshabillais entièrement et je passais toutes mes journées à la maison vêtue seulement de ma cage. j’étais donc nu, en train de dîner tranquillement en face d’une femme habillée en tailleur. Ce contraste me mettait mal à l’aise surtout pendant nos repas.

Ayant fini de manger, elle se leva de table et partit s’asseoir sur la banquette pour allumer la télévision.

-Tu débarrasses quand tu as fini !

Je notai à nouveau qu’elle me donnait des ordres de manière de plus en plus sèche, sans s’encombrer d’un s’il te plaît comme elle le faisait il y a encore quelques temps.

Je revins dans le salon, après avoir débarrassé la table et chargé le lave-vaisselle et me dirigeai vers la banquette. Elle leva les yeux vers moi et tendit son doigt vers le sol devant elle.

-Allonge toi là !

Surpris par cet ordre inhabituel, je m’allongeai sur le sol, me rappelant la fois où elle m’avait fait jouir de cette façon.

« Enlève mes chaussures »

Sitôt que j’eus enlevé ses escarpins, elle posa ses pieds sur ma figure. Je fus à nouveau plongé dans cette odeur chaude et envoûtante qu’ils avaient après une journée passée enfermés dans les chaussures. Je sentis mon sexe s’écraser contre les barreaux de sa cage dans sa tentative d’érection.

Elle s’en aperçut aussi et y donna un petit coup de pied comme pour me le faire remarquer. Le temps s’écoula. Elle regardait la télé et moi j’étais perdu dans mon monde de sensations, un pied sur la bouche et l’autre sur les yeux. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je tendis une langue hésitante. Le goût était léger, salé, un peu amer. M’enhardissant, je commençais à lécher carrément la plante de ce pied qui m’écrasait la bouche.

Elle se laissait faire sans rien dire. Après un instant, elle bougea son pied pour me présenter son talon que je léchais maintenant avec ferveur. Le goût salé et le nylon du bas qui absorbait ma salive commençaient à me donner soif. Enfin, elle enfonça dans ma bouche ses orteils dont les ongles vernis m’écorchèrent le palais. Je perçus un goût plus marqué, plus aigre aussi tandis que j’essayai de passer ma langue entre ses doigts de pieds à travers le voile du bas.

Son émission terminée, Hélène se releva lentement et fixa avec un sourire la cage de laquelle mon membre gonflé cherchait à s’échapper par chaque interstice.

-Je vais me coucher. C’était bien ce que tu m’as fait. Cela te fait mal?

-Euh…oui Madame !

-C’est juste de me lécher les pieds qui te met dans un état pareil !

-Oui !

-C’est ce qui s’appelle ‘avoir un homme à ses pieds’ !

Elle partit d’un rire gai.

Cette scène se reproduisit souvent dans les semaines qui suivirent. Parfois, Hélène retirait son bas pour me laisser sucer son pied nu. C’est avec délectation que je passais alors ma langue entre ses orteils, savourant le goût salé qui m’emplissait la bouche, suçant chacun comme je l’aurais fait d’une sucette, sentant le contact lisse de ses ongles contre ma langue.

C’est au cours de l’un de ces repas qu’Hélène m’annonça une nouvelle qui me glaça le sang.

-Bertrand vient manger samedi.

Je reposai la fourchette que j’avais à la main. Je sentais mes pulsations cardiaques accélérer, de la sueur me monter au front.

-Euh ! Hélène, je préférerais vous laisser seul. J’ai beaucoup de travail et je resterai dans ma chambre si ça ne vous dérange pas.

-Non, comme tu veux…Tu viendras quand même lui dire bonjour?

-Oui, bien sur.

Elle me fixa un instant, l’air songeur puis nous reprîmes notre conversation futile. J’avais au fond de moi une boule à l’estomac qui ne me quittait pas.

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