Professeur soumis à ses étudiantes dominatrices (27)

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Le jouet de mes dominatrices !

Je hurle de douleur et mes jambes cèdent. Seule Maîtresse Christelle, en me tenant les bras dans le dos,  m’empêche de vraiment m’effondrer sur le sol. Je suis tétanisé et j’ai peur. La violence de mes Dominatrices vient de franchir un cran. Et je bascule dans un autre monde, dans lequel je réalise pleinement ce que je suis : un jouet. Que l’on martyrise pour s’amuser. Peu importe ce que je peux ressentir, mon ressenti n’a justement pas sa place, il n’existe pas aux yeux de mes Maîtresses d’un soir. Effet de groupe ? De l’alcool qui coule à flots ? Sadisme communicatif ? Leur excitation semble croître de concert avec ma douleur.

La soirée sera longue, douloureuse, et je redoute vraiment ce que mes Maîtresses dominatrices vont inventer, tant la notion de limite me parait inexistante ce soir. Nadia se penche vers moi :

-Alors ma petite chienne…. on a mal à ses petites couilles, hein ?

Elle explose de rire avant de tirer à son tour un gage.

-Hmmmm intéressant, dommage que je ne sois pas tombée sur celui là ! Le gage suivant est…… 10 minutes de sodomie ! Et je désigne….. Christelle !

-J’ai le choix de mon arme ? répond l’intéressée.

-Bien sûr… Chloé, montre-lui ta collection s’il te plaît. Je suis sûre que tu as le gode-ceinture parfait pour baiser notre salope…

-Hmmm je crois que je sais lequel Christelle va choisir.

Début du gage !

Nadia a vu juste. Christelle ne prend que quelques secondes pour faire son choix. Elle jette son dévolu sur le plus beau et le plus gros. Maîtresse Caroline ne m’a prise que rarement avec celui-là. Et Maîtresse Chloé ne l’a utilisé qu’une fois. Noir, luisant, un gland énorme… Maîtresse Christelle s’harnache avec l’aide de Céline.

-Ma pute, tu vas goûter au plaisir de te faire prendre par ta Maîtresse. Enfin, peut-être que le plaisir ne sera que pour moi…En position, à quatre pattes sur la table basse, et offre bien ton cul, je te veux cambrée comme une chienne qui a envie de se faire saillir. Aller, ta petite chatte n’attend que cela j’en suis sûre… »

Je me positionne selon les ordres de Maîtresse Christelle. Je me cambre au maximum, espérant secrètement que mon obéissance parfaite rendra Maîtresse Christelle plus clémente. Mais j’en doute, connaissant sa capacité à se montrer sans pitié. Mes 5 Maîtresses m’entourent, elles sont toutes sous l’euphorie de l’alcool et totalement désinhibées. Je sens leurs mains sur mon corps, je ne sais plus laquelle appartient à qui. Une main se glisse sur mon torse et me travaille le téton, l’autre ouvre mes fesses pour mieux offrir ma petite chatte à Maîtresse Christelle, une autre empoigne mes couilles et les étire ce qui me fait gémir de douleur, je n’ai pas encore récupéré des coups infligés par Nadia.

J’implore la pitié de mes dominatrices !

Maîtresse Chloé pense cependant à me préparer :

-Attends Chris, faut le lubrifier correctement, sinon tu vas le déchirer… Et Caro va me pourrir si jamais je lui abîme son jouet préféré..!

Je sens l’embout de la bouteille de lubrifiant forcer mon anneau, et le liquide froid couler abondamment. Plusieurs fois, elles me massent, s’enfoncent, m’ouvrent sans aucune douceur. Je gémis et me tortille, tentative vaine pour échapper à mes tourmenteuses. Je prends une série de claques sèches sur mon cul, pour me faire tenir tranquille. Puis le silence se fait. Maîtresse Christelle caresse mon anus avec le gland de son gode-ceinture. Mes cinq Maîtresses retiennent leur souffle.. Nadia murmure ses encouragements, non pour moi, mais pour Christelle : »

-Hmm vas-y Chris, baise le bien, force encore.. regarde, il commence à s’ouvrir… C’est fascinant, je crois que c’est le plus beau spectacle du monde, le cul d’un soumis qui accueille le sceptre de sa Maîtresse !!! Eclat de rire général…. L’excitation te rend poète Nadia ! rigole Maîtresse Chloé.

Maîtresse Christelle s’impatiente, elle a beau forcer, le gland est trop gros, et mon anneau refuse de céder. Je gémis de douleur, je suis à la limite de craquer. Je fonds en larmes et j’ose implorer la pitié de mes Maîtresses… erreur. Maîtresse Chloé rentre dans un colère noire :

-Ta gueule sale chienne, personne ne t’a autorisé à t’adresser à nous. Tu es là juste pour notre plaisir, t’as pas encore compris ? Tu n’es rien ! Un esclave, une chose pour qu’on s’amuse ! Christelle, baise-le, vas-y. défonce moi cette sale petite pute, qu’elle comprenne une bonne fois pour toutes ! Attends qu’on se retrouve toutes les deux, salope, tu m’as fait honte devant mes amies, tu vas prendre une bonne raclée pour t’apprendre le respect. Crois-moi. Vas-y Chris, encule-le !

Mes Maîtresses dominatrices déchainées !

Maîtresse Christelle n’hésite pas. Elle appuie plus fort et force. Je hurle en sentant mon anneau céder. Mes Maîtresses encouragent Christelle comme si elles étaient au stade , alors que Maîtresse Nadia déclenche le chrono:

-Top, c’est parti ! Vas-y, à fond, défonce-la… encule-la plus profond cette salope… Encore, baise-la au maximum… Allez Christelle, allez Christelle, allez Christelle !!!

Elles se laissent griser, emporter dans leur délire sportif. Maîtresse Christelle s’enfonce jusqu’à venir coller ses hanches contre mes fesses. Je crie sans discontinuer, à moitié étouffé par le string trempé de liqueur que Maîtresse Céline a fourré dans ma bouche. Je pleure de douleur, le corps tremblant, tétanisé par cette sodomie brutale. Maîtresse Christelle se retire entièrement et me force à nouveau. Insoutenable. Je suis au bord de l’évanouissement, totalement ailleurs, assommé par la douleur, les cris de mes Maîtresses, l’humiliation jamais ressentie.

Maîtresse Christelle joue avec mon cul, se retire, rentre, alterne lenteur et baise brutale. Commentaires crus des spectatrices, claques sur mon cul, ordres qui fusent en tous sens…

-Cambre toi la pute, empale toi bien sur sa queue… hmmmm mais c’est qu’elle aime ça regardez les filles, elle est bien ouverte notre chienne… vas-y Chris, baise là encore plus fort… il te reste 3 minutes, défonce la !

-Top ! Terminé !

Maitresse Christelle se retire une dernière fois. Je ne sens plus mes reins, je me sens béant, comme anesthésié… je tiens à peine en appui sur mes bras et mes genoux.

Pause champagne pour tout le monde !

-Debout esclave, nos verres sont vides, allez… abreuve tes Maîtresses !

L’ordre vient de Chloé, et ne souffre aucune rébellion. Je me relève, chancelant, j’ai mal et je peine à me diriger vers la cuisine, prendre du champagne au réfrigérateur. Etonnamment, je bande. Dur. Les deux pilules bleues que mes Maîtresses m’ont déjà fait avaler font leur effet. Ma queue se dresse comme jamais, ce qui fait hurler de rire mes Maîtresses…

-Regardez les filles, elle en veut encore notre salope, elle est toute excitée… va falloir qu’on s’en occupe : rigole Sophie.

-T’inquiète Soph, il reste encore un gage…. tu vas voir, on va se régaler ! La soirée n’est pas finie ! : commente Maîtresse Chloé.

Je reviens chargé de champagne frappé et j’assure le service, en prenant bien garde de n’en renverser une goutte, sous peine de punition. Et dans l’état de déchainement de mes Maîtresses, je ne sais ce qu’elles seraient capables de m’infliger. Maîtresse Christelle demande le silence :

-Chères amies, je crois que notre soumis a droit lui aussi de boire un coup. Et je crois que Céline a très envie, n’est-ce pas ?

-Oui… je n’en peux plus. Le champagne me fait un effet terrible, j’ai trop envie là… !

-Allez la chienne, va chercher une coupe pour toi !

Je reviens avec une flûte à champagne propre et la tend à Maîtresse Céline.

-Vas-y Céline, soulage toi. Notre petite salope a très soif, n’est-ce pas ?

Je tarde un peu trop à répondre, et Maîtresse Chloé me cingle le reins d’un coup de cravache.

-Oui Maîtresse, j’ai très soif, je vous remercie de m’offrir à boire votre champagne !

Dégustation du champagne de ma dominatrice !

Céline a rempli mon verre et le dépose sur la table basse du salon. Entouré de mes Dominas, je viens à quatre pattes boire mon dû. Humiliation maximale. J’ai un haut le coeur, je n’ai jamais aimé l’urine, cela me dégoutte. Maîtresse Caroline affirme qu’un bon soumis doit déguster le champagne de sa Domina, il doit l’adorer, l’espérer, c’est un honneur que de le boire. Mais je n’arrive pas à m’y faire. Sauf que je n’ai pas le choix.

-Allez, ne fais pas ta mijorée.. avale et remercie comme il se doit Maîtresse Céline !

J’avale d’un trait, tant bien que mal et je remercie Maîtresse Céline pour sa liqueur précieuse. Je ne me sens plus rien, je ne suis plus rien. Rien d’humain à mes yeux. Je suis brisé, du moins c’est ce que je ressens. J’atteins un stade où je suis prêt à subir n’importe quoi, plus rien ne m’importe. Ni ma condition, ni la souffrance, ni les conséquences. Maîtresse Chloé me regarde longuement puis lance le départ du dernier gage, un gage non limité dans le temps précise t-elle, qui marquera la fin de la soirée. Je n’ai plus aucune idée de l’heure qu’il peut être. Une nuit sans fin, à souffrir pour le plaisir de mes Déesses.

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