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L’immeuble (3) : la lopette soumise des jeunes garces

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lopette soumise

L’immeuble (3) : la lopette soumise des jeunes garces

J’hallucine. Voilà à quoi je vais être réduit : servir de langue servile à une mère de famille délaissée ? Mon dieu, mais qu’est-ce qui m’arrive ? Je prie en silence pour qu’il n’y ait pas d’autres voisins qui viennent dans la salle de bain tout en sachant bien que c’est illusoire. Je suis l’attraction de la soirée. Est-ce que d’autres mères de famille en manque vont ainsi débarquer ? En fait, je réalise vite que cet immeuble est à l’image de la ville : peuplé de créatures très différentes. La lumière s’allume à nouveau, et j’entends des rires, forts et aigus. Je pressens que plusieurs personnes pénètrent dans la pièce

-Ah la voilà la petite pute de Martine, dis donc, c’est un bel engin celui là !

-Ah, ah oui, regarde son gros cul, on va bien se marrer avec cette petite merde !

J’avais entendu juste, deux femmes venaient cette fois-ci de rentrer dans la salle de bain. Mais elles n’avaient pas du tout le style « mère de famille bohème » de la première. Elles étaient très jeunes. Une vingtaine d’années. Deux minces et fines filles aux cheveux blonds tombant sur leurs épaules. L’une avait une longue robe en mousseline beige ceinturée d’une fine cordelette. L’autre avait un mini short en flanelle sur des collants noirs en résilles, des talons hauts et un chemisier noir transparent. Elles respiraient la jeunesse et l’innocence. Des petits anges blonds qui allaient se révéler être de vraies démones.

-Bonsoir grosse pute, moi c’est Adèle et elle, c’est Anaïs : me lance la première en se fixant devant moi et me forçant à relever la tête pour la contempler, ce qui tire sur la laisse et me sert le cou, me faisant toussoter.

-Alors écoute bien, euh, Luc, Luc XX, c’est ton nom, c’est ça alors Luc XX nous sommes de vraies déesses et nous exigeons que tu nous servent comme telles. C’est bien compris, vieux débris ?

Elles abusaient de leur jeunesse. Jamais mes 45 ans ne m’avaient semblé être si vieux et rancis face à ces deux lumineuses petites garces. Je n’avais pas fait attention à la seconde lorsque j’entendis le déclenchement de l’appareil photo d’un Iphone. Elle le tenait tourné vers moi, rigolant de toutes ses dents blanches et immortalisant ma position de lopette soumise…

-Voilà de belles photos, bien réalistes, tu n’aimerais pas que tes enfants ou ta femme dont nous avons l’adresse et le numéro de téléphone les reçoivent, hein « papa ? 

Je sens alors des larmes venir à mes yeux, en quelques secondes, elles ont brisé l’homme que j’étais et en ont fait une lopette soumise prête à tout pour éviter cette humiliation sociale auprès de ce qui restait de ma famille. Les larmes coulent le long de mes joues rougies par la honte. C’est alors que la première fille empoigne mes cheveux pour tirer mon visage vers elle.

-Ecoute bien « Luc le dégueulasse », nous sommes de pauvres petites étudiantes sans le sous, nous cohabitons dans un petit studio au second étage. Tu comprends que nous avons besoin d’argent : lache-t-elle avec un sourire de petite fille modèle et une petite moue ingénue. Alors lundi, on va venir à ton agence bancaire et tu vas nous faire des virements mensuels depuis ton compte vers le notre. On verra aussi ce que tu peux nous accorder comme crédit etc. Tu vas banquer sale pute, je te jure que tu vas banquer ! Et si jamais tu refuses, n’oublies pas que l’on a ces photos que tes collègues et ta famille seraient ravis de voir !                                    Et puis, c’est pas tout, on a aussi besoin d’un homme de ménage. On a vu avec Martine, quand ton éducation sera faite, tu viendras une fois par semaine récurer notre appartement de fond en comble. Voilà, on va tout te prendre mais n’attends rien de nous en échange, nous sommes des princesses et toi une grosse merde de crapaud qui ne mérite même pas que nous la regardions : m’assène la fille à l’Iphone. Regarde comme il est gras du bide, le porc. Oui, c’est vraiment un gros porc, allez, pleure autant que tu veux, tu me dégoutes ! 

Sur ces mots la première s’assoie sur la cuvette.

-Attends ! j’ai envie de pisser moi. Tiens ! je vais quand même te faire un cadeau, grosse larve, regarde cette merveille de petite chatte que tu n’auras jamais.

A ce moment, elle soulève sa robe voluptueuse, descend un petit string en dentelle et dévoile un sexe tout lisse, ferme et parfaitement construit. Des petites lèvres rondes et rouges. Une pure beauté. Je vois les gouttes d’or jaune qui descendent dans la cuvette. Je bande comme un fou.

-Tiens tu as le droit de me nettoyer la chatte, sors la langue Luc, voilà, avale les dernières gouttes et essuie moi avec ta langue .

Je sens alors l’urine chaude qui dégouline des dernières gouttes dans ma bouche et la douceur soyeuse de cette chatte d’enfant sur mes lèvres. Cela pourrait être un délice si au même moment je ne sentais comme une aiguille me pénétrer l’anus ouvert !

-ahahahah regarde j’ai trouvé où ranger nos chaussures à talons ! Dans le trou du cul de cette grosse larve » rigole la fille à l’Iphone que j’imagine immortaliser en image le talon aiguille de ses stillettos qui entre et sort de mon anus sec. Je me tord de douleur au cul. Et de plaisir je lape une dernière fois cette chatte divine que l’on m’offre. Je déguste en affamé la douceur de cette chatte si douce, je ne veux pas que les dernières gouttes de pisse disparaissent car je sais qu’alors elle me retirera son sexe nettoyé. Et en même temps, je supporte d’être pénétré par l’autre petite garce qui se marre comme une enfant en enfonçant son long talon pointu dans mon orifice serré. Je souffre et je jouis en même temps de cette chatte si parfaite… Après quelques allez et retour, elle sort son talon de mon petit trou et je sens un liquide froid s’y déverser…

-Je te lave avec un peu de mon champagne lopette soumise, car je ne veux pas que ton petit cul soit inutilisable, tu vas voir qu’il y a des voisins à côté qui attendent que ça de s’y enfiler » par en rigolade ma jeune tortionnaire.

-Bon on y va, il faut qu’on révise nos partiels pour demain, tu sais bien ma chérie : lance la première, la plus angélique des deux, en remettant son string en place.

-Oui, de toute façon cette pute commence à me dégouter. Mais attends, fais voir son portefeuille, là sur ses affaires. Ah voilà, il y a quelques billets, 20, 30, 65 euros en tout, bon, on prends tout, c’est déjà ça, mais lundi il faudra être plus généreux avec les deux jeunes et gentilles demoiselles qui viendront te voir à la banque Luc XX. Allez, bon week-end en attendant grosse merde !

à suivre…

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