Cela fait des heures que je suis debout à attendre ma divine Maîtresse, revêtu de mon collier de chienne avec ma médaille « S47 soumis de Maîtresse Pamela », une cagoule de latex n’ayant qu’un trou au niveau de ma bouche obstruée par un bâillon boule, une cage de chasteté sur mon sexe, les bras et les jambes écartés, attachés avec des chaînes, un lien aux couilles avec des poids.
J’ai le corps meurtri par les coups de badine d’une dominatrice inconnue qui a joué avec mon corps. Je ressens encore les coups sur mes fesses, mon torse, mes couilles alourdies par les poids. Je ne bouge plus pour éviter que les poids se balancent.
J’entends la porte s’ouvrir. Qui est ce?
J’espère que c’est ma divine Maîtresse car je commence à souffrir le martyr. Pas une parole. J’entends qu’on marche.
Arrivée de ma divine Maîtresse et de Mélanie
Puis les voix de ma divine Maîtresse et Mélanie résonnent.
– Il a été adorable de nous attendre. – Effectivement Mélanie mais je ne pense pas qu’il pouvait en faire autrement. Bon ma salope nous allons te détacher, tu pourras ainsi nettoyer toutes ces saloperies de cire sur le sol.
La dominatrice inconnue, m’a travaillé à la cire puis a ôté la cire à la badine. Mon corps s’en souvient encore.
On me détache les bras et les jambes ainsi que le lien autour des couilles. Immédiatement, je tombe à genoux. Je me prosterne. Maîtresse Pamela enlève mon bâillon et ma cagoule. Je suis aveuglé par la lumière. Les deux femmes rigolent de ma condition.
– Je suis contente de ta prestation avec dame Sophie, ça mérite une récompense car elle ne t’a pas ménagé.
Récompense de la part de ma divine Maîtresse
Je mets un nom sur la dominatrice inconnue, tandis que je nettoie la cire sur le sol. Maîtresse reprend.
– Comme je suis contente de toi, ce soir tu auras le droit de m’accompagner à une soirée.
– Merci Maîtresse
– Tu dois te rendre compte que c’est un réel honneur de pouvoir être à mes côtés pour cette soirée.
– Oui Maîtresse
– Parfait, de toute manière tu n’as rien à dire. Mélanie va te préparer pour la soirée. Suis la dans la salle bain comme un bon petit chien.
A quatre pattes, je suis Mélanie vers la salle de bain. Elle me demande de me mettre dans la douche. J’ai droit à une douche froide puis à un nettoyage de tout mon corps avec les produits pour femme que j’ai achetés. Elle me demande de m’essuyer et de me raser le visage puis de m’asseoir sur une chaise. Ensuite, elle commence à inspecter mon épilation intégrale. Elle semble satisfaite. Après, elle me coiffe et met du gel sur mes cheveux bruns. Elle prend le maquillage et commence à me le passer. Mes sourcils puis mes cils sont revêtus de maquillage. Elle me met du fond de teint et pour finir du rouge à lèvres.
– Tu deviens craquante comme cela ma salope. Allez suis-moi on va rejoindre ta Maîtresse.
Me tirant par le collier, elle m’amène devant ma maîtresse qui me regarde.
– Bien comme cela, elle commence à devenir une salope charmante. On va parfaire sa condition de femelle. De toute façon, avec sa cage, elle ne peut plus bander la chienne.
Préparation pour la soirée
Sur un geste autoritaire elle me désigne les sous-vêtements et vêtements qu’elle veut que je porte.
Devant les deux femmes dominatrices, j’enfile les bas et le porte jarretelle. Un tanga noir complète mes sous-vêtements. La cage remplit le devant du tanga. Je sens le tissu rentrer entre mes fesses. Je mets un soutien gorge noir assorti avec le tanga. Mélanie arrive avec deux ballons de baudruche remplis d’eau et me demande de les mettre dans le soutien gorge pour faire du volume pour ma poitrine pas encore trop féminine.
Les deux femmes rient en me voyant ainsi et Mélanie me prend en photo.
Puis je dois enfiler une jupe en cuir noir très courte ainsi qu’un chemisier blanc avec un large décolleté laissant apparaître ma poitrine, mon soutien gorge. Des hauts escarpins complètent ma tenue.
– Hum, je crois qu’on a fait du bon travail Mélanie, une vraie salope est devant nous. Je crois qu’elle va avoir du succès ce soir.
Tout en me prenant en photo elle répond :
– Oui je le pense aussi.
– Ce soir par contre, tu ne porteras pas ton collier, viens que je te l’enlève.
Ma divine Maîtresse déverrouille le cadenas et enlève le collier.
– Maintenant tu vas nous suivre, nous allons chez moi car je dois me changer. Par contre, tu vas porter nos achats jusqu’à la voiture.
Maîtresse ferme la porte à clé. Portant les sacs, je suis les deux femmes. J’ai du mal à marcher. Nous arrivons à la voiture Mélanie monte coté conducteur, tandis que je m’installe derrière avec ma Maîtresse. La voiture démarre et nous nous dirigeons vers la demeure de ma Maîtresse.