Impossible d’échapper à 50 nuances de Grey, dans lequel Christian Grey et Anastasia Steele se livrent à des pratiques SM (sado-maso). Qu’entend-on exactement par sadomasochisme? …
Et si François Hollande nous cachait des choses ? D’après le député européen Europe-Ecologie Yannick Jadot, le président de la République préfère la fessée à l’engueulade. …
Le réalisateur Ace Norton signe presque un film par mois. Tellement prolifique qu’il y a peu nous osions le titre suivant pour le présenter : « Ace Norton, 32 ans, déjà légende et encore vivant ». Peu connu en France et peu exploité, c’est tout de même lui qui avait réalisé la fameuse vidéo de Sebastien Tellier, Divine ainsi que Ritournelle. Il possède plus de 80 clips à son actif (Foster The People, Norah Jones, Bloc Party…) ainsi que des pubs pour Coca, Mc Do, RayBan, plus un film de campagne pour Obama.
Aujourd’hui il revient sur le devant de la scène avec un film de mode légèrement pompé sur le film de Mickey Finnegan, que ce dernier avait réalisé pourMANSERVANTS (service internet qui rend possible la location d’hommes « valets » pour femmes en détresses).
Cela nous étonne d’Ace Norton qui a l’habitude de produire derrière sa caméra uniquement desconcepts originaux. Heureusement que c’est bien réalisé, ça nous permet de prendre toujours autant de plaisir à voir des jeunes femmes frêles humilier des hommes huilés aux biscotos soyeux.
Cette femme se transforme en dominatrice en l’absence de son mari.
Pour s’acquitter des tâches ménagères, cette femme au foyer a trouvé un moyen bien original. Elle se transforme en dominatrice et reçoit ses clients chez elle pour une séance de ménage. Wodka, une marque de vodka polonaise, a fait appel aux talents de communication de Chris Sanders pour élaborer sa nouvelle campagne publicitaire. Dans ce court spot publicitaire, il mélange tâches ménagères et actes sadomasochistes. Elle teste la soumission de ses clients.
Avant de partir au travail, ce mari attentionné qui voit que la maison est sans dessus-dessous, se propose de nettoyer. Seulement sa charmante femme, consciente que ce dernier doit se rendre au travail, le rassure en lui disant qu’elle s’occupe de tout. Si le ménage sera effectivement fait et le repas préparé, ce mari est loin de s’imaginer à quel point sa femme s’est démenée pour que tout soit prêt à temps. Au lieu de se fatiguer, cette femme a fait appel à plusieurs hommes, en quête de domination. Elle réalise donc leur fantasme sexuel pour forcer ces hommes à réaliser toutes ces petites tâches de la vie quotidienne. Dès leur arrivée, le ton est donné. Elle leur crie dessus, les frappe et tout cela pour un résultat impeccable. Ces hommes, totalement soumis, prennent plaisir à réaliser les moindres désirs de leur maîtresses. « J’ai bossé toute la journée! » La tenue noire en latex de la jeune femme et le fouet qu’elle tient en main ne laisse aucun doute sur le fait que c’est elle qui dirige. Tous ses clients sont à sa merci. Ils rangent, astiquent, récurent, et vont jusqu’à préparer à manger. Pour chaque tâche ménagère, elle a un client particulier.
C’est également pour cela qu’à la fin de la vidéo, on découvre une maison impeccable. Le dernier homme qu’elle attend est bien sûr son mari. Elle l’accueille avec des coupes de vodka en n’oubliant pas de préciser qu’elle a travaillé toute la journée. Elle fait même une petite référence subtile aux nombreux esclaves qu’elle a reçus au cours de la journée. Sans bouger le petit doigt, cette femme a donc réussi à tenir sa promesse. Mais son mari est loin de se douter du nombre d’hommes qui se sont succédés dans sa maison.
Dans le spot d’Agent Provocateur, Betty Sue joue à la dominatrice perverse avec un jeune homme qui semble tout juste sorti du séminaire, affublé d’un slip trop grand et d’oreilles de lapin, telles les Bunny Girls qui ont fait le succès de Playboy. Le jeune éphèbe est ridiculisé : il est d’abord enfermé dans un placard, comme puni, puis contraint de se trémousser devant une dizaine de caméras, dans une chambre qui semble destinée au tournage de films porno. Dans sa danse, il s’exécute très maladroitement et semble vraiment contraint.
Ce spot semble comme une sorte de revanche, un sourire narquois. La femme est montrée comme une prédatrice, au sang-froid toujours assuré, qui aime jouer avec la « nourriture ».
Pour prendre leur pied, ils adulent ceux de leurs partenaires. Qui sont les fétichistes des pieds, et comment comprendre cette forme d’addiction sexuelle? Explications et témoignages. Michel a été marié trois fois. Mais ce n’est qu’avec sa troisième -et actuelle- épouse qu’il peut vivre ouvertement sa sexualité: Michel est fétichiste des pieds. « Lorsque je regarde une femme, la chose qui m’attire le plus, ce sont ses pieds. C’est selon moi la partie la plus sensuelle, la plus attirante de leur corps. J’aurais du mal à trouver une femme jolie si elle avait de grosses chevilles. »
Si le fétichisme des pieds n’est pas chose courante, sa pratique a traversé les âges. Les premières traces de cet intérêt remontent à 1000 ans avant Jésus-Christ, en Égypte ou encore à Rome, où les prostituées avaient interdiction de porter des chaussures afin d’attiser le désir des hommes. On trouve cette fascination sexuelle pour les pieds dans la littérature -Octave Mirbeau, le marquis de Sade-, le cinéma -Quentin Tarantino, Pablo Almodovar- ou encore la photographie -Elmer Batters.
Le créateur de souliers Christian Louboutin, s’il réfute être lui-même fétichiste, a fondé son empire sur cette érotisation du pied féminin: « Quand je dessine, j’imagine les femmes nues. Le soulier doit déshabiller et non habiller. Un soulier réussi est un soulier qui laisse la femme nue. D’ailleurs, une femme dénudée avec des souliers n’est jamais ridicule », a-t-il un jour déclaré à Luxe Magazine.
Et pour un vrai fétichiste comme Michel, le créateur de chaussures, c’est l’Eldorado: « Chez lui, je suis connu comme le loup blanc. Je suis incapable d’entrer dans une de leurs boutiques sans repartir avec une paire pour ma femme. Elle en possède plusieurs centaines, que nous répertorions dans un document Excel. Certaines paires ont plus de 13 centimètres de talons. Autant dire qu’elles sont importables en dehors du lit. Mais c’est clairement pour cela qu’elles ont été dessinées! »
« Il ne supporte pas que je montre mes pieds »
Selon la psychothérapeute de couple et sexologue Mireille Dubois-Chevalier, le fétichisme se définit par l’érotisation d’une partie du corps au détriment du sujet -à savoir de la partenaire. « Il y a une dimension de soumission dans cette pratique. Pour voir le pied de l’autre, il faut se mettre au ras du sol. C’est la partie du corps la plus éloignée du sujet, incarnée par le visage. D’une certaine façon, c’est une forme d’évitement. »
Cette fascination sexuelle pour les pieds de femmes, très majoritairement chez les hommes, a intéressé Freud en son temps. Selon le père de la psychanalyse, le fétichiste a une peur profonde de la femme, due à son absence de phallus, ce qui provoque chez lui une angoisse de castration. Ne pouvant l’affronter directement, le fétichiste jouit de la femme de façon indirecte avec un objet de substitution.
Des analyses qui peuvent paraître sévères. Colombe, elle, vit avec un fétichiste du pied et s’en amuse: « Avec mon compagnon, lorsque nous faisons l’amour, mes pieds bénéficient d’une attention toute particulière, alors j’essaye d’en prendre soin. J’applique des masques hydratants sur mes pieds pour avoir la peau douce. Mais cela n’impacte pas l’équilibre de notre vie sexuelle. Au quotidien en revanche, c’est parfois compliqué. Il ne supporte pas que je montre mes pieds. L’été, il déteste que je porte des sandales. Pour lui, les pieds sont des objets intimes, complètement sexuels, et les exhiber relève de la faute de goût. Les tongs, par exemple, sont une aberration esthétique selon lui! »
Sexualité dysfonctionnelle ou simple jeu sexuel?
Si certaines femmes s’accommodent bien de cette « lubie » de leur partenaire, d’autres, au contraire, gardent un souvenir mitigé de leur relation avec un fétichiste. C’est le cas de Céline, qui, après une rupture l’ayant fragilisée, a été déstabilisée par une rencontre faite sur Internet: « J’étais un peu paumée, et il m’a proposé de l’argent en l’échange de… mes pieds. Je ne me suis pas rendue compte tout de suite que c’était un forme de prostitution. J’ai accepté car l’expérience était nouvelle », raconte-t-elle.
« J’ai mis mes plus beaux escarpins et je me suis rendue chez lui. C’était un bel homme, la quarantaine, bien élevé et avec une bonne situation, vu le standing de son appartement. Nous avons bu du thé puis il s’est mis à examiner mes pieds, à les caresser et à les embrasser. J’étais extrêmement gênée. Il m’a fait boire du vin ‘pour me détendre’, et il m’a demandé de l’attacher à un radiateur et de lui marcher dessus, pendant qu’il suçotait mes pieds. Tout cela a duré une bonne heure. Nous en sommes restés là. Je suis partie et je n’ai plus jamais répondu à ses appels. La pratique en elle-même, le fait d’avoir été payée… Tout ça était bien trop bizarre pour moi. »
Martin, lui, est « collectionneur de pieds ». Pour obtenir son témoignage, il a d’ailleurs fallu négocier: « Je ne répondrai que si vous m’envoyez une photo de vos pieds. » Le ton était donné. La photo envoyée, Martin commence son récit: « Pour moi, le fétichisme des pieds est un loisir. Un passe-temps, bien rangé dans mon jardin secret. J’ai un dossier sur mon ordinateur rempli de photos de pieds. Une bonne trentaine d’amies y participent, certaines en m’envoyant des photos, d’autres en entrant dans mes jeux. Parfois, je me caresse simplement en regardant leurs pieds. J’ai ainsi le sentiment des les posséder. Mais cela peut aller plus loin. Je peux prendre du plaisir avec des inconnues, juste en regardant leurs pieds dans la rue. Je suis marié, j’ai une vie de famille, mais ma femme ne sait rien de mes ‘extras’ avec les pieds d’autres femmes. Ce n’est pas la tromper, puisqu’elle n’est pas au courant! »
Pour Pascal de Sutter, professeur de psychologie, clinicien et chercheur, coauteur de L’addiction sexuelle, Idées reçues sur une souffrance méconnue (éditions Le Cavalier Bleu, 2013), le cas de Martin est à la limite de ce qu’il nomme une « sexualité dysfonctionnelle ». « Dans le développement psychique de ces fétichistes, le pied est l’objet d’une empreinte émotionnelle forte, qui remonte à l’enfance. En ‘collectionnant les pieds’, le sujet cherche à reproduire cet émoi sexuel ressenti petit enfant. On entre dans la pathologie lorsque la personne ne peut prendre de plaisir que grâce aux pieds de sa partenaire. Mais s’il est pratiqué entre deux adultes consentants, et que le fétichiste peut aussi jouir sans passer par ce biais, alors il ne s’agit que d’un jeu sexuel comme un autre. »
Lorsqu’on lui demande ce que lui inspire notre photo de pied, Martin répond, laconique: « Vous n’imaginez pas? Venez me rencontrer, et je vous montrerai… »
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Hier, lors du prégénérique de « C à vous », Michalak, Noël et Maubert, en mode SM, ont tombé la chemise sur un titre de Robin Thicke.
Ambiance très cuir, mardi soir, dans le studio de « C à vous » sur France 5. Pour le traditionnel prégénérique de l’émission, les chroniqueurs de l’émission Jérémy Michalak, Matthieu Noël et Emmanuel Maubert avaient troqué leur chemise contre… une laisse en cuir ! Anne-Sophie Lapix jouait les dominatrices sur le titre « Blurred lines ». Pourquoi une telle mise en scène ? « On vous explique tout de suite, on a Robin Thicke ce soir en live !« , a expliqué l’animatrice de l’émission, faisant référence au clip du titre où les rôles sont inversés.
Menottes, fouets, combinaisons en cuir… Le sadomasochisme (SM) est une pratique sexuelle plus que taboue. On se demande souvent comment certains parviennent à avoir …
Dominatrice expérimentée, Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …