Nouvelle délibération du tribunal féminin
J’étais, donc, moi la soubrette mâle, lamentablement réduit à attendre le bon vouloir de mes Maîtresses pour entendre l’énoncé de la sentence tant redoutée et élaborée par ce tribunal féminin. Je me trouvais le nez collé contre le mur suivant les ordres stricts, le corps bien droit, à genoux et les mains sur la tête. J’avais interdiction de gigoter. Bien entendu, j’étais entièrement nu. Tournant le dos à mes juges, je ne pouvais qu’entendre les rires non retenus. Mon inquiétude ne faisait que croître ainsi que mon humiliation.
Je ne pus, pauvre de moi, m’empêcher de laisser échapper quelques gouttes de sperme. Cela n’échappa pas à ces demoiselles qui s’arrêtèrent de rire pour prendre un ton outré, à l’unisson:
-quelle honte Delphine ! cochonne ! c’est du propre ça !
Mademoiselle Jessica, la présidente, déclara la première :
-les filles, il va falloir envisager un supplément de punition car ceci est inadmissible !
Puis à mon adresse :
– Delphine, on va délibérer une nouvelle fois , ce qui va prolonger ton petit séjour au piquet. Cela t’apprendra à te conduire comme une sale cochonne !
Cependant, Mademoiselle Camille, sans doute la plus extravertie dans le vice, bondit sur moi. N’y tenant plus, elle m’enfonça sa petite culotte dans la bouche déjà bien imprégnée de sa mouille. De plus, elle m’ordonna de ne pas la laisser tomber. Surpris par cette attaque imprévue, je me trémoussai un peu. Aussi, Mademoiselle Anais proposa que l’on place une règle sous mes genoux, pour rendre ma posture encore plus pénible.
Ainsi, je me trouvais dans un inconfort de plus en plus insupportable. Cependant, mes Maîtresses, résolument impitoyables, n’en n’étaient nullement affectées. Je n’avais certainement pas intérêt à me plaindre auprès d’elles.
Toujours dans l’attente du verdict !
J’étais, désormais, impatient d’entendre mon verdict car je voulais en finir avec cette mise à l’épreuve. Celle-ci avait sérieusement endolori mon corps, ce que ne manqua pas de remarquer, la facétieuse demoiselle Jessica, qui me susurra :
-ma chère Delphine, il faut toujours souffrir pour être belle !
Cette remarque sonna la fin de ce premier supplice. Ensuite, elle enchaina, d’un ton qui se voulait le plus dur possible, et ce afin de m’impressionner et de m’humilier à souhait :
-Delphine!! tourne-toi et présente-toi vers nous en gardant la posture réglementaire !
J’obtempérais rapidement, comme si je n’avais connu que ça toute ma vie. En effet, j’avais déjà intégré ce que cela voulait dire. Je n’avais pas besoin de le copier mille fois ! Bref, en restant à genoux, je courbais la tête pour qu’elle arrive au niveau des pieds de Mademoiselle la Présidente. Je n’avais toujours pas reçu la permission d’ôter la culotte de Mademoiselle Camille. Alors, pour solenniser davantage ce moment, Mademoiselle Jessica se paya même le luxe de dire :
-je vous en prie, Mesdemoiselles, un peu de silence !
Puis même, exaspérée d’un ton équivoque, elle rabroua Mademoiselle Camille toujours hilare.
-Mademoiselle Camille !
Cette scène m’a fait pensé à une Maîtresse et son élève dans une salle de classe. Ayant la tête baissée, je n’ai pas pu voir la réaction sur le visage de Mademoiselle Camille. Cependant, je compris que ce rappel à l’ordre avait eu un effet immédiat sur cette dernière. Cela m’étonna et me fit fantasmer sur la possibilité que dans ce groupe de dominatrices, il y avait peut-être une hiérarchie. Au sommet de celle-ci se trouvait Maîtresse Jessica. Ainsi, pourquoi ne pas imaginer, que des rapports de soumission existaient entre elles.
Soubrette mâle reconnue coupable d’insoumission !
Ce fut ainsi dans un silence total que Mademoiselle la Présidente signifia le verdict qui s’était fait si longtemps attendre. D’une voix volontairement glaciale, elle en énuméra les différentes clauses :
-Delphine, tu es reconnue coupable d’insoumission aggravée envers tes Maîtresses. Ces dernières avaient, pourtant, eu la bonté de te prendre en main pour t’apprendre où était ta vraie place. Tu les as offensées, gravement, toutes sans exception. Cela te vaudra de la part de chacune d’entre elles, moi compris, de recevoir tes châtiments que nous espérons exemplaires. Nous espérons que cela t’évitera à l’avenir de dévier de la voie que nous t’avons tracée.
Enoncé de la sentence et des punitions !
Tout d’abord sache que tu seras désormais soumise à notre autorité quasiment en permanence. Nous aurons un contrôle permanent sur tes activités qui seront gérées suivant nos décisions. De plus, nous allons établir un véritable contrat écrit de soumission qui précisera les exigences en ce sens. Cependant, tu comprendras que tu devras nous demander des permissions pour un maximum de choses. Notamment, tes sorties seront très sévèrement encadrées, et devront avoir l’aval de Maîtresse Nadia, ta directrice des études. En effet, c’est elle qui aura le plus le droit au chapitre car elle décidera suivant les résultats de ton travail.
Tu devras porter une tenue de soubrette mâle en permanence à la maison. Gare à toi si nous ne surprenons en flagrant délit de désobéissance. Nous allons t’imposer, prochainement, une tenue de soubrette mâle avec cadenas dont tes Maîtresses auront la clé. Cela te dissuadera de commettre des bêtises.
Sur Toutes tes tenues seront brodées en grosses lettres bien visibles « Delphine, soumise à ses Maîtresses Jessica, Nadia, Camille et Anais «
Maîtresse Nadia t’accompagnera chez une amie couturière, pour effectuer cette formalité. En effet, tu es incapable de le faire par toi-même. Cependant, sache qu’elle officiera également en tant que professeur et qu’elle t’enseignera la couture, avec les pleins pouvoirs dévolus à sa tâche.
-Pour commencer les punitions, tu vas recevoir une VRAIE fessée par les mains de Maîtresse Anais, qui devra rendre ton cul bien rouge ! Je n’en dis pas plus, réservant à celle-ci la primeur quant à la façon de t’administrer un châtiment corporel digne de ce nom !
-ensuite Maîtresse Camille se réservera le droit de te traiter en soubrette sexuelle à sa disposition et mettra en oeuvre tout son savoir faire en la matière.
Condamnée au port de la cage de chasteté !
Il n’en fallut pas plus pour que celle-ci se manifeste aussitôt par un visage expressif n’indiquant rien de bon pour moi.
-Maîtresse Nadia, a été particulièrement offensée de ta désobéissance à ses premiers ordres! Tu devras lui envoyer des mots d’excuses sur son portable, toutes les heures de la nuit de 22H à 6H du matin, et ils devront être convaincants !
Tu devras lui écrire un poème tout à son honneur et lui exprimer ta dévotion :
» MAITRESSE NADIA JE VOUS DEMANDE PARDON ET VOUS SUPPLIE DE M’ INFLIGER LA PUNITION QUE JE MERITE «
Tu devras apprendre par coeur, un joli texte écrit par un soumis qui décrit son devoir d’obéissance à sa Maîtresse. De plus, tu seras interrogé pour vérifier le sérieux de ton application.
-quant à moi, je te condamne au port d’une cage de chasteté. Je déciderai de ton activité sexuelle suivant mon bon plaisir. Moi seule aura la clé. Tu porteras des pinces à linge aux seins pendant une durée que je jugerai convenable quant tu seras chez toi. De plus, tu devras me vernir mes ongles de pieds et me servir de repose pieds à la fin de la séance.
Saches que nous pouvons te surprendre et te contrôler à tout moment. Nous avons des photographies pour te faire obéir si tu ne veux pas que nous les montrions à l’extérieur. Chacune d’entre nous, à tour de rôle t’apprendra à devenir une bonne soubrette capable de satisfaire une Maîtresse exigeante. Nous nous réserverons le droit de te placer chez des amies à nous plus âgées pour mettre en pratique les enseignements que nous te prodiguerons. Tu peux te préparer dès maintenant à devenir une obéissante femme de ménage chaque fois que l’une d’entre elle te convoquera.
Supplément de punition
Enfin comme supplément de punition pour ton comportement de cochonne, nous te condamnons à effectuer un balayage de ton salon, à quatre pattes, les mains liées au dos, avec une balayette bâillon dans ta bouche, ainsi que tes toilettes. Quant à la douche, tu la nettoieras avec une brosse à dents !
maintenant, ajouta-t- elle :
« exécution de la sentence « !
Aussitôt, Mademoiselle Anais qui piaffait depuis un bon bout de temps, se précipita sur moi, et cria :
-ici Delphine, relève toi, et mes toi sur mes genoux !
Je pus contempler alors le sourire triomphateur de ma future fesseuse, avide de passer à l’acte. D’ un geste autoritaire, elle m’ordonna de me mettre dans la position requise.
D’un ton sans réplique ,elle ajouta :
-à chaque coup, tu diras : »merci Maîtresse Anais « ,tout oubli entrainera une double punition !
J’allais donc recevoir pour la première fois de ma vie, une fessée d’une demoiselle, qui plus est, bien jeune, ce qui m’humiliait davantage. Quand je vis qu’elle sortait de son sac, une cravache, je compris que l’on allait passer aux choses sérieuses !