Esclave de pied génétiquement modifié (5)

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Esclave de pied

Utilisation de l’esclave de pied

Biscotte rapporta le plateau chargé de nourriture à sa Maîtresse. Celle-ci avait allumé la télévision et se prélassait devant une émission amusante. En voyant cet esclave de pied docile arriver, avançant difficilement sur les genoux et tenant le plateau en équilibre à bouts de bras, elle sourit. Le garçon déposa le petit déjeuner à ses côtés.

-Maintenant allonge-toi sur le sol et tais-toi jusqu’à nouvel ordre ! : dit Alice. Je te veux absolument silencieux et immobile.

Biscotte obéit. Il eut à peine le temps de s’allonger qu’il vit une paire de pieds se placer au-dessus de sa figure, puis aller se poser directement sur elle. Alice positionna son pied gauche sur les yeux de l’esclave, lui forçant à fermer les yeux et le plongeant dans le noir complet. Son autre pied alla écraser son nez et sa bouche. C’était à peine s’il pouvait respirer.

Alice fut surprise de constater que Sylvie disait vrai : En tant qu’esclave de pied, le visage de Biscotte épousait parfaitement la forme des pieds de sa propriétaire. Ses traits semblaient s’adapter et se déformer dans le but d’optimiser le confort des pieds de sa Maîtresse. Alice avait vraiment l’impression d’avoir un coussin chaud et doux sous les voûtes plantaires, plutôt qu’une figure humaine.

Dressé pour satisfaire sa Maîtresse

La femme sortait tout juste du lit, aussi avait-elle particulièrement transpirée. Ses pieds étaient chauds et moites, poisseux de sueur. Leur odeur était si forte qu’elle arrivait jusqu’aux narines d’Alice. Intérieurement, elle ne put s’empêcher de se sentir navrée pour son esclave. Elle était assise confortablement dans un canapé, à savourer des toasts grillés délicieux, trempés dans du lait chaud, à regarder la télévision. Lui était allongé sur le parquet dur et froid du salon, nu, deux pieds extrêmement odorants posés sur son visage. N’ayant ni le droit de parler, ni le droit de bouger, il était contraint de respirer profondément la senteur épicée et étouffante de la paire de pieds qui lui écrasait le nez.

La vie n’était décidément pas facile pour tout le monde. Enfin, Alice ne se plaignait pas. Elle n’était pas l’esclave de pied, dans l’histoire. C’était elle la maîtresse. Biscotte avait été dressé pour la satisfaire, elle n’allait tout de même pas commencer à s’intéresser à ses états d’âme.

La matinée passa ainsi. Alice se prélassa sur le canapé en profitant de l’adorable sensation d’avoir un coussin de chair humaine sous les pieds. Parfois, elle plongeait son pied dans la bouche de l’esclave et lui ordonnait de lui suçoter les orteils. Le garçon s’exécutait alors et les suçaient un par un, les débarrassant de leur sueur. A d’autres moments, elle lui faisait lui lécher la plante de ses pieds afin de les nettoyer des diverses saletés qui s’y étaient accumulées pendant la nuit : Poussières, peaux mortes, crasse, transpiration…

Totalement à la merci de sa Maîtresse

Aux alentours de midi, elle décida qu’il était temps pour elle de passer aux choses sérieuses. Elle mena l’esclave jusqu’à sa chambre et le ligota aux quatre coins du lit, bras et jambes écartés. Là, il était totalement à sa merci. Cette situation la fit presque instantanément mouiller.

-Profite bien de ce qui va suivre, mon petit esclave, et applique-toi, murmura-t-elle à l’oreille du garçon.

Sur ces mots, elle s’assit à califourchon sur le visage de l’esclave, plongeant sa figure dans son entrejambe, la bouche écrasée par sa chatte. Elle était déjà humide, aussi ses fluides s’étalèrent sur la face du garçon et la fit luire légèrement, comme si on l’avait lubrifié.
Alice entreprit de se frotter contre le visage du garçon, l’asphyxiant avec ses effluves. Elle se stimula frénétiquement le clitoris et agrippa l’esclave par les cheveux, tout en accélérant progressivement la cadence de ses vas-et-viens.

-Allez esclave, lèche ce que tu peux et n’en perds pas une miette, gémit Alice.
-Oui, Mad…

Alice se stoppa brusquement et asséna au garçon deux sévères claques en travers de son visage qui lui laissèrent deux larges marques rouges sur les joues. Elle avait frappé fort et le son de la deuxième gifle avait raisonné dans toute la pièce.

Giflé par sa Maîtresse

Le garçon la regarda, hagard, ne sachant pas pourquoi il avait été claqué ainsi.

-T’ais-je donné la moindre autorisation d’ouvrir la bouche pour autre chose que me lécher la chatte ? s’enquit Alice sur un ton glacial. As-tu le droit de parler ?
-Non, Madame.

-Je t’avais prévenu. Tu as enfreint l’une des règles principales que j’ai fixée dans cette maison. Je vais donc te punir très durement tout à l’heure. Pour l’instant, tâche de me donner un maximum de plaisir afin de ne pas aggraver ton cas. Et en silence !

Le garçon pâlit, comprenant qu’il allait recevoir un châtiment qu’il n’oublierait pas de sitôt, et se mit à titiller le clitoris de sa maîtresse avec ardeur et dévotion, s’imaginant que cela lui permettrait peut-être de se faire pardonner. Mais Alice ne l’entendait pas de cette oreille. S’arrêtant parfois dans ses vas-et-viens, entre deux soupirs de plaisir, elle abattait sa main sur le visage du garçon et le giflait de toutes ses forces.

Au bout d’une demi-heure, sa figure était entièrement maculée de cyprine et, en-dessous du fluide, ses joues étaient rouge vif à force d’avoir été frappée.

Alice se retourna et posa ses fesses sur le visage de l’esclave. Elle prit bien soin de positionner son anus directement au milieu de sa figure. Elle sourit en sentant le nez du garçon s’enfoncer, avec un léger bruit de succion, dans son rectum. Quand elle fut sûre que son esclave avait les narines plongées dans son trou du cul, elle l’écrasa de tout son poids et enfoui la figure de Biscotte entre ses cuisses.

Etouffé par sa Maîtresse

-Voilà ta deuxième recharge, esclave, dit-elle Inhales-en autant que tu le peux. Je veux t’entendre renifler !
L’esclave étouffait mais cela n’était guère le problème de sa Maîtresse. Celle-ci se contenta de saisir un magazine qui traînait sur la couverture de son lit et de le parcourir d’un œil distrait.

Deux minutes entières passèrent avant que l’esclave ne commence à avoir des spasmes. Il ne pouvait tout simplement plus respirer. Alice consentit, avec agacement, à lever légèrement les fesses pour que le garçon puisse aspirer une bouffée d’air frais. Il inspira bruyamment, haletant comme un chien après une course.

Alice ne l’autorisa à respirer qu’une poignée de secondes, après quoi elle se rassit sur lui. Elle fut satisfaite de l’entendre renifler profondément l’odeur de son anus. Pour s’amuser, pendant que son esclave se rechargeait en humant les senteurs qui s’échappaient de son cul, Alice se pencha un peu en avant et caressa le pénis du garçon.
Le membre frémit au contact de ses doigts. Il était déjà bien dressé depuis tout à l’heure mais elle ne lui avait pas encore prêté grande attention.

– Je me demande ce que je vais pouvoir faire avec ça, dit-elle d’une voix malicieuse.

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2 réflexions au sujet de “Esclave de pied génétiquement modifié (5)”

  1. Histoire toujours aussi passionnante. On espère que la punition sera à la hauteur du sadisme d’Alice.
    Bientôt des pieds sales à laver ? Ou la grosse commission? Vivement la suite!

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