Homme soumis à sa voisine femdom (9)

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voisine femdom

Journal de dressage du soumis

 

Madame Charlotte ne laissait rien au hasard. J’appris bien plus tard qu’elle tenait un journal de mon dressage, jour par jour. Tout était étudié, rien ne se faisait dans la précipitation, ni sans contrôle. Je ne doutais pas un instant que cette femdom avait une envie folle de me corriger avec Bertha, même si je n’avais fais aucune bêtise, mais juste pour le plaisir de fouetter un mâle, d’entendre crier son chien, de voir naître des zébrures sur ma peau blanche. Mais ce n’était pas le moment. J’étais en apprentissage. Pour l’instant, Bertha était là pour m’éduquer. Ce n’est que bien plus tard que j’apprendrais à crier sous la badine, non pas par punition, mais pour le simple plaisir des femmes, celle qui tenait l’instrument et celles qui regarderaient. Ce n’était pas la même chose que d’être repris à l’ordre et offrir du plaisir.

Les protocoles avaient changé comme à chaque étape que je franchissais. Sitôt rentré du travail, je devais prendre ma douche, puis revêtir ma nuisette mes bas et mon porte jarretelle. Je commençais à prendre plaisir à la douceur de la lingerie féminine. J’ouvrais la porte de son appartement, puis je restais dans l’entrée, à genoux, les mains dans le dos et la tête bien baissée. Quand elle arrivait, le rituel était toujours le même, au mot près, à l’attitude identique.

Elle s’arrêtait près de moi, m’observait du silence solennel marquant nos positions, puis elle me tendait le dos de sa main. Je déposais alors des petits baisers, doux et révérencieux. A sa convenance, elle tournait son poignet et je léchais le creux de sa main jusqu’à ce qu’elle me caresse la joue pour marquer son contentement. Alors seulement, elle m’adressait la parole.

– Bonjour Olga.

– Bonjour Madame Charlotte

 

Efficacité de Bertha pendant le dressage

 

Puis je passais à la vénération de sa personne, c’est à dire l’embrassade de ses pieds, ses bottes ou ses chaussures. C’est d’ailleurs à cette occasion que je fis un peu mieux la connaissance de Bertha, et surtout de son efficacité dans le dressage. Lors d’une séance où j’apprenais à me prosterner, je l’entendis à peine siffler avant qu’une brûlure me traverse la fesse droite. Puis alors que je cherchais de l’air, le sifflement recommença, et cette fois, la fesse gauche hurla à son tour.

– Je ne t’ai pas dis d’arrêter, ni de faire des simagrées, me lança-t-elle de sa voix douce et ferme, mais de lécher ma botte correctement, la langue bien sortie, pleine de salive et d’amour. Bertha va t’apprendre à te déshumaniser, pour te rendre le plus servile possible. C’est ton âme qui doit ramper à mes pieds, et crois-moi, tu dois ressentir le plus grand bonheur à être autorisé à lécher mes chaussures. C’est compris Olga ?

–  Oui, Maîtresse Charlotte. Je vous remercie vous Maîtresse Charlotte, ainsi que Bertha pour avoir la patience de m’inculquer la bonne attitude à votre encontre.

Maîtresse Charlotte ne laissait rien passer. L’esthétique chez le mâle soumis était tout aussi important que l’attitude et l’intention qu’on y mettait. Peu importe l’ordre que tu reçois, m’expliquait-elle, ce qui est important, c’est de mériter et de respecter l’éducation que tu as reçu, et de prouver à chaque instant l’amour que tu portes à ta propriétaire.

 

Etre digne de ma Maîtresse Femdom !

 

Je buvais ses mots, ses phrases, et si Bertha me corrigeait aussitôt, la voix de ma Maîtresse me donnait la force et l’envie de m’abandonner à sa volonté. Elle savait donner à l’acte qui paraissait avilissant une beauté incroyable. Le mot vénérer prenait tout son sens.

 

– Tu dois être beau à regarder, insistait-elle. Je dois ressentir une grande fierté à voir mon homme à sa place. L’homme que j’ai choisi, recueilli chez moi, dressé entièrement. Tu sais le temps et l’énergie que ça prend pour t’éduquer correctement, pour faire de toi un bon chien ?

–  Oui, madame Charlotte, j’en suis bien conscient, et je veux vous mériter…

–  Alors mets du coeur à l’ouvrage, offres moi ton humiliation, ton avilissement… Donnes-toi entièrement, sinon, ça ne m’intéresse pas. Tu dois être un vrai homme, celui qui sert de paillasson à sa Femme, qui lèche le parquet, là où sa Dame va poser son pied nu… Tu assimiles Olga ?

–  Oui Maîtresse, parfaitement.

– Alors regarde cette table… elle ne te fait pas envie ?

 

Obéir sans réfléchir !

 

Je me sentais d’un coup pris au piège, ne sachant quoi répondre, même si bien évidemment, je savais que je devais dire oui. Mais je ne savais pas quel genre de oui, et véritablement quelle envie je devais éprouver… Mais Maîtresse Charlotte savait mieux que moi ce que je ressentais. Cela faisait partie de sa méthode.

–  Mate ce pied en bois vernis, tu ne désires pas lui donner du plaisir ?

–  Oh oui Maîtresse, j’en ai envie maintenant.

–  Alors ne sois pas timide, approche, renifle, communique lui ton désir, et lèche le !

J’ai obéi sans réfléchir. Je commençais à comprendre ce qu’elle voulait, et je m’abandonnais complètement à ma tâche. J’avais appris à être du mobilier, et cette table était maintenant de ma famille, ma race, et je me devais de lui faire l’amour. Mais Bertha en voulait toujours davantage. Je n’ai pu m’empêcher de crier quant elle s’abattit sur moi.

–  Concentre-toi sur les dix centimètres près du sol, prosterne-toi et lèche moi ça correctement.

Un autre coup fusa..

–  Le cul en l’air, et à l’air quand on se prosterne. Je ne vais pas te le répéter…

 

Subjugué par sa voix autoritaire !

 

Je relevais ma nuisette pour bien dégager mes hanches, puis me cambrais au maximum, taillant une belle pipe à ce pied de table.  Cinq bonnes minutes à lécher, même si j’aurais préféré le prendre dans ma bouche pour mieux sucer. Puis Bertha frappa encore. Cette fois, Maîtresse Charlotte m’attrapa par les cheveux, puis me releva pour m’amener jusqu’à son visage. Là encore, je fus subjugué par sa voix autoritaire, mais douce et chaude. Elle était envoûtante, décuplant vos envies de lui donner entière satisfaction. Maîtresse Charlotte savait dresser un mâle, non pas par la violence ou la menace, mais par l’amour du dépassement de soi pour elle.

–  Tu te moques un peu de moi Olga ?  Avoue ?

–  Non Maîtresse, je vous assure, je veux être le meilleur pour vous…

–  Tu en es loin à ce que je vois… Tu crois que cette table est heureuse ?

–  Non Maîtresse, je n’en fais pas assez…

–  Bien. Dans ce cas précis, nous n’avons pas besoin de la boniche, et encore moins du chien… Tu comprends Olga ?

–  Oui, Maîtresse parfaitement…

–  Alors, de qui avons-nous besoin ?

–  De la pute Maîtresse…

–  Parfait. Alors ne me dis pas que tu as déjà tout oublier. Je sais que les hommes son mono tâche, mais tout de même… On ne va pas reprendre de zéro…

–  Non Maîtresse.

–  Alors, baise avec cette table. Je veux l’entendre gémir, bander comme un taureau. Soit une bonne pute, comme tu dois l’être. Et pense à ton arrière train qui doit être ouvert et présentable si un monsieur honnête passe derrière toi… Tu resteras là tant que je ne verrais pas ce pied de table éjaculer dans ta petite bouche de chienne…

Je me suis appliqué, sans retenue. En effet, je voulais qu’elle soit fière de moi, de l’éducation qu’elle me donnait, sur son temps. Je devais mériter cette Femme.

Je suis devenu la femelle de cette table, et Bertha me faisait faire des miracles. Grâce à elle, j’ai appris à faire l’amour à un meuble.

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2 réflexions au sujet de “Homme soumis à sa voisine femdom (9)”

  1. bonjour
    tres Jolie histoire. tres bien écrite
    Un vrai récits de domination éclairée
    J’ai hate de lire la suite.
    bien à vous
    SG

  2. Bravo j’adore Votre histoire.
    Maitresse Charlotte est une Maitresse exceptionnelle.
    Comme j’aimerais être dressé par Elle.
    J’adore Sa façon de se faire obéir Er d’imposer sa domination à son soumis.
    Tout est dans l’acceptation et l’obeiséance.
    Merci à vous
    Philippe

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