Mise à l’épreuve, par Madame, Maîtresse domina (7)

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Mise à l’épreuve, par Madame, Maîtresse domina (6)

 

Durant le reste de la journée, je m’évertue donc à exceller dans les tâches ménagères qui me sont confiées. Madame a commandé chez un traiteur. Ma Maîtresse domina a sans doute deviné que j’étais un piètre cuisinier. Je dispose donc méticuleusement la nourriture dans divers plats, dresse la table, dispose différentes bouteilles sur la table. Ensuite, je nettoie la salle à manger de fond en comble. Cela ne semble pas compliqué en apparence mais je peux vous assurer qu’avec un plug de taille respectable dans le fondement, les va et vient sont très rapidement pénibles. Je ne peux m’empêcher de grimacer régulièrement et j’opte pour de petits pas.

Une chance, Madame passe l’essentiel de son temps au téléphone, il ne lui prend donc pas l’envie d’appuyer sur cette maudite télécommande.

Préparation pour la soirée!

A la nuit tombée, alors que j’ai fini l’essentiel de mes tâches, ma Maîtresse domina, daigne enfin s’intéresser à moi. Après avoir jeté un bref coup d’œil à la table dressée puis à l’ensemble du salon, elle semble satisfaite.

  • C’est bien, tu commences à apprendre. Viens, suis-moi, je dois te préparer pour ce soir.

Me préparer ? Je pensais déjà l’être.

Elle m’entraine donc dans la pièce lui servant de donjon.

  • As-tu envie d’aller aux toilettes, me demande-t-elle ?

J’hésite à répondre.

  • J’aimerais uriner Madame.

L’envie est même pressante.

  • Et la grosse commission, ajoute-t-elle ?

Je n’ai presque pas manger aujourd’hui. Le spectacle des victuailles m’a d’ailleurs plus d’une fois fait grogner le ventre. Je n’ai donc pas très envie de déféquer, je ressens juste une légère pression au-delà du plug.

  • Par contre je te préviens, poursuit Madame. Si tu vas pour la grosse commission, tu nettoieras ton plug avec la langue avant que je puisse te le réintroduire.

Du coup, cela me coupe totalement l’envie.

  • Non, juste uriner.
  • Très bien. Je vais en profiter pour retirer ta cage.

Libéré, temporairement, de ma cage de chasteté, par Maîtresse domina

Domina

J’en suis très surpris. En fait, je pourrais très bien uriner au travers mais je ne dis rien. Madame fait jouer la petite clé dans la serrure et libère mon petit oiseau qui se dresse immédiatement à la vue de l’énorme décolletée de ma Maitresse domina.

Il faut dire que pour enlever ma cage, elle a posé un genou à terre, faisant bruyamment crisser ses bas au passage. Le son du nylon associé à la vision de ses seins prisonniers de son soutien-gorge sous le chemisier ont réussi à susciter une excitation incontrôlable de ma part.

Et voilà que mon sexe se gonfle immédiatement et se raidit à quelques centimètres du visage de Madame.

Elle ne peut s’empêcher de rire.

  • Le petit oiseau est heureux d’être libre, dit-elle. Je te préviens, pas question de te masturber aux toilettes.

La tentation est grande. Malgré les épreuves, je n’ai cessé d’être excité depuis que je suis arrivé ici. Plus d’une fois, du sperme a coulé lamentablement de mon gland emprisonné. Mon sexe est tendu et rendu extrêmement sensible. Je crains d’ailleurs que ma Maîtresse domina ne le touche, ce qui risquerait de provoquer une éjaculation puissante et immédiate.

Elle n’en fait rien.

  • Tu vas te soulager porte ouverte, me dit-elle, que je puisse te surveiller de loin. Allez ! Dépêche-toi.

Puis nouvelle cage de chasteté et camisole!

Je m’exécute, m’obligeant à penser à autre chose pour débander et pouvoir uriner sans en mettre partout. Cela prend un peu de temps mais j’y parviens. Une fois terminé, je reviens vers Madame qui vient de sortir une autre cage de chasteté qu’elle m’installe immédiatement avant que mon sexe ne s’érige à nouveau.

Cette cage enserre la base du gland tout en maintenant mon petit oiseau tassé dans son nid.

  • Je veux que ton gland soit accessible pour les invités. Elles pourraient avoir envie de jouer avec. Évidemment, la moindre érection sera assez douloureuse puisque ton sexe sera immédiatement étranglé et ne pourra pas grossir. Je vais également te rajouter des électrodes sur les testicules, activées par d’autres boutons sur la télécommande.

Son sourire lorsqu’elle m’explique cela est à la fois effrayant et terriblement excitant. Elle a de belles dents blanches et un rouge à lèvre très rouge ce soir, ce qui la rend absolument délicieuse.

  • Tu vas enfiler cette camisole maintenant, passe tes bras dans les manches.

Elle me présente un gilet en cuir aux manches pendantes.

  • J’aimerais pouvoir attacher tes bras très serrés mais hélas, cela poserait un problème à la circulation du sang. Cette camisole fera l’affaire.

Objet de plaisir ou poupée à martyriser pour les invités!

Une fois mes bras à l’intérieur, elle ramène mes mains dans le dos en croisant mes bras. Ensuite, elle les attache de manière à ce qu’ils soient enroulés autour de mon ventre. Je suis désormais dans l’incapacité de faire quoi que ce soit à part marcher.

  • Tu n’auras pas à nous servir ce soir, dit-elle. Tu seras juste un objet de plaisir pour mes invités ou une poupée à martyriser, selon leurs désirs. Si tu te montres enthousiaste et endurant avec ta langue et courageux face aux moindres de leurs caprices, tu auras passé le test. Tu seras alors à mon service. Ce qui te donnera la possibilité d’avoir accès à mon intimité, non pas pour ton plaisir bien sûr, uniquement pour le mien. »

Je n’ai encore jamais vu son sexe, ses fesses ou ses seins. Elle ne s’est jamais dévêtue devant moi. Donce, la perspective m’affole.

  • Je serais à la hauteur Madame, dis-je.
  • Très bien, je vais t’attacher sur ce banc à roulettes pour les accueillir. Tu ne passeras pas forcément la soirée dessus, ce sera juste pour commencer. Je vais disposer une lunette de WC au-dessus de ton visage pour qu’elles puissent s’asseoir confortablement sur ta bouche si l’envie leur prend. Pendant l’apéritif ou le repas. Ne soit donc pas surpris.

Un meuble parmi les meubles!

L’idée m’inquiète autant qu’elle m’excite. J’ignore qui sont ces femmes. Et si l’une d’entre elle est vieille et laide ? Si elle ne s’est pas lavée ? Tout est possible après tout. Mais que puis-je y faire ? J’ai déjà accepté.

Je m’allonge donc sur le banc et je regarde Madame resserrer de solides sangles en cuir autour de mes chevilles, de mes genoux, de mes cuisses, de ventre et enfin de ma poitrine. La position n’est guère confortable avec mes bras repliés dans le creux de mes reins, me forçant à surélever mon ventre.

D’où je suis, la vue est merveilleuse. Je peux regarder à loisir le gros fessier de ma Maîtresse domina rouler sous sa jupe serrée pendant qu’elle me tourne autour. Ensuite, je regarde ses jambes et ses cuisses moulés de nylon. Je les entends crisser encore à chaque fois qu’elle se baisse pour resserrer une sangle. Elle pose parfois l’un de ses escarpins vernis sur le banc pour assurer une bonne tension lorsqu’elle tire la sangle vers elle.

Je suis comme un gigot prêt à mettre au four.

  • Je ne te bâillonne pas, dit-elle, pour des raisons évidentes mais je ne veux pas entendre le moindre mot. Tu n’es qu’un accessoire c’est bien compris et un accessoire ne parle pas. Pas question de crier non plus, je t’autorise juste à gémir parce que mes amies adorent entendre un homme gémir sous leurs mains. Est-ce bien clair ?
  • Oui Maîtresse.

Elle me fait ensuite rouler dans le salon, là où j’ai dressé de quoi prendre l’apéritif. Je deviens alors un meuble parmi les autres meubles dans l’attente de mon sort.

A suivre…

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