Sous le joug de mes deux Maîtresses dominas !
Je fus méthodiquement flagellé pendant un long moment. Cependant, j’eus l’impression que mes deux Maîtresses dominas avaient retenu leurs coups et ce afin de pouvoir encore m’utiliser le reste de la nuit. Ensuite, elles me remirent dans ma position antérieure, à savoir sous le lit avec ma tête ressortant sur le matelas. Maitresse Tina ramena une cassette SM et les deux dominas décidèrent de la visionner. Elles attachèrent tour à tour leurs pieds à mon visage et je dus lutter pour trouver de l’air. Je souffrais mais j’étais vraiment heureux d’être sous le joug de si belles femmes avec des pieds qui tourmentaient mon visage.
Je sentais dans ma position les réactions nerveuses de mes deux Maîtresses dominas à la vision du film bdsm. Ainsi, je remarquai que Maitresse Marisa réagissait fortement lorsqu’un esclave était vraiment humilié verbalement et par les pieds. Maitresse Tina, semblait préférer nettement les punitions physiques infligées aux esclaves. Je compris donc qu’elles étaient très complémentaires. De mon côté, être sous le joug de pieds féminins me convenait parfaitement. J’avais vraiment peur que les envies sadiques de Maitresse Tina prennent le dessus et que je ne puisse assumer mon statut.
Prêt à signer un contrat d’appartenance !
A ce moment précis, j’étais prêt à signer un contrat d’appartenance à Maitresse Marisa, mais pas encore à Maitresse Tina qui me faisait peur. Cependant, je me demandais comment cela allait finir. En effet, j’étais persuadé que cette dernière irait parler à sa sœur aînée pour lui dire que j’étais de nature fétichiste et soumise.
J’étais justement dans mes pensées lorsque Maitresse Tina conseilla à Maitresse Marisa de me faire signer un contrat d’appartenance. Elle lui indiqua que j’étais un esclave tout-à-fait respectueux et endurant. Cela faisait maintenant plus de 10 heures que j’étais sous leur joug. Elle précisa que je n’aimais pas et que je ne supportais pas bien la douleur physique. Cependant, cela n’étais pas si grave et que cela se travaillait. Ainsi, dans quelques temps, je pourrais même trouver du plaisir à souffrir pour mes Maîtresses bien-aimées.
pas mal mais trop court