Elle et son amant s’assoient sur le lit, devant moi, le cocu soumis. Béa vient se frotter contre moi, elle appuie sa cuisse gainée de cuir contre mon sexe, me caresse ou griffe ma poitrine.
– alors le cocu, on gicle sans ma permission ? fait elle avec un regard vers les deux autres.
– Je pense qu’il faut le punir, il ne sait vraiment pas se tenir, renchérit ma Maîtresse. Moi je vais encore m’amuser avec Steve, fais en ce que tu veux.
Elle prend sa queue et le masturbe doucement. Steve se met en arrière, en appui sur les coudes et se laisse faire.
Béa revient avec une cordelette et un petit fouet. Elle s’accroupit et entreprend de me ficeler les testicules et la base de la verge. Pour y avoir déjà eu droit, je sais que cela va augmenter considérablement la sensibilité de mon sexe et ralentir, voire empêcher toute éjaculation. Je bande terriblement et je sens déjà les battements dans ma tige, mes couilles gonflent. Puis elle prend le fouet, me caresse le sexe avec la lanière et dis aux autres :
– il faut reculer un peu pour que je puisse bien le fouetter.
Maîtresse et Steve s’installent confortablement en tête de lit, calés entre les coussins. Ma femme, cuisses ouvertes, offre sa chatte à la main caressante du garçon et continue de lui masser doucement la bite.
Béa commence par quelques petits coups sur ma poitrine, histoire de prendre la mesure, puis elle accentue la force et la cadence. Ça brûle, je grogne. Elle vise les tétons, elle est plutôt adroite. Steve est aux anges, ma femme aussi, elle branle son amant un peu plus vite ; il est vraiment endurant le bougre, je dois le reconnaître. Béa descend doucement et me cingle le ventre, puis elle remonte de nouveau. Ensuite elle me frappe les cuisses. Chaque coup me pique terriblement, mais c’est supportable, ça ne laisse aucune trace. Ça reste un jeu.
– alors cocu soumis, tu aimes être fouetté ? me demande Maîtresse
– oui Maîtresse
– tu as aimé comme Steve m’a baisée ?
– oui Maîtresse
– tu en veux plus ?
– oui Maîtresse
– allez Béa, vas y carrément. Tu as entendu le cocu soumis, il en veut plus le salaud, dit elle en rigolant.
Ma femme et moi nous savons que durant nos jeux j’aime être humilié, elle ne se fait pas prier.
Béa entreprend alors de me fouetter le sexe. Elle vise la hampe, puis le gland. Elle alterne avec des coups de bas vers le haut sur les testicules. Maîtresse suce à présent Steve, je connais ses talents, le gars est au septième ciel. Moi aussi d’ailleurs. Les coups de fouet de ma tortionnaire sont précis. Je sens mon sexe gonfler encore, ça chauffe terriblement. Maîtresse est de nouveau en train de se faire baiser par Steve, en missionnaire. Elle tourne la tête de notre côté, Béa frappe fort à présent.
Steve se met sur le dos et ma chérie le chevauche, à l’envers, toujours tournée vers nous. Elle gémit sans arrêt son plaisir en regardant Béa me fouetter; Steve est chevauché à une cadence infernale, puis maîtresse agite son bassin d’avant en arrière, collée sur son amant. Elle fait coulisser la verge dans son vagin, ses yeux sont chavirés de bonheur. Je suis pratiquement en transe. Je tremble de plaisir et d’excitation, la vue de ma femme qui baise ainsi me transporte dans une autre dimension.
Ces deux femmes sont, à mon avis, exceptionnelles. Les orgasmes de Maîtresse se succèdent, Steve crie son plaisir et les deux amants retombent de part et d’autre. Steve caresse ma femme sur tout le corps et la couvre de bisous reconnaissants. Béa arrête le fouet, se colle à moi et me met des câlins partout.
– c’était super, me glisse-t-elle.
Je ne sais pas si c’est une question ou un compliment, je suis vidé.
Elle me détache et m’ordonne de m’allonger sur le lit.
– tu vas me lécher, cocu soumis.
Elle se positionne au dessus de mon visage, ouvre la fermeture éclair de sa combinaison en cuir. Son sexe luisant de plaisir vient se coller sur ma bouche. Je lèche ce cadeau avec reconnaissance. Je sens un autre corps se coucher sur mon ventre et me caresser. Béa se presse fort sur moi, sa chatte est adorable, j’y avais déjà goûté à une autre soirée. Elle ondule doucement du bassin et un filet de mouille me coule dans la bouche. Je bande comme jamais. Le corps au-dessus de moi commence à s’agiter en cadence.
– c’est ta maîtresse qui se fait masturber, me dit Béa
Elle se frotte sur mon visage jusqu’à ce qu’un orgasme puissant la fasse exploser. Des jets de mouille m’inondent, je bois ce que je peux.
Béa se dégage et ma femme se met à sa place. Elle s’agenouille sur mon visage, trempée, ouverte comme je ne l’ai jamais vue. Steve se met debout devant elle et elle le suce en me baisant la bouche.
Ensuite Steve se colle derrière elle, je vois sa queue entrer dans son vagin, ses testicules sont sur mes yeux et mon nez.
– tu es aux premières loges me glisse Béa.
Elle s’allonge contre moi m’enlève la cordelette et me suce doucement.
– tu l’as bien mérité, fait-elle.
Steve baise ma femme au dessus de mon visage, elle s’écrase sur moi, je comprends que je dois lécher. Ma langue trouve le clito, je fais ce que je peux.
Béa calque sa fellation sur les ébats des amants au dessus de moi. Steve procure plusieurs orgasmes à Maîtresse, les gouttes de son plaisir tombent sur mon visage ; sur la fin elle jouit sans arrêt en hurlant son bonheur. Je crois même percevoir des sanglots de plaisir. Sur une dernière série de coups de reins, violents, rapides et profonds, Steve explose en criant. Béa qui m’avait maintenu au bord de l’orgasme me suce sans retenue et branle ma verge à toute vitesse. Je jouis interminablement dans sa bouche, elle n’en perd pas une goutte ; Steve s’est retiré, ma femme écrase sa vulve sur ma bouche et s’allonge sur moi. Je nettoie avec ma langue.
Steve et Béa sortent se rafraîchir, ma femme se love contre moi et plonge son regard dans le mien, sa main vient me caresser la joue dans une infinie tendresse. Des larmes, de bonheur j’espère, lui embuent ses jolis yeux.
– Merci, merci mille fois mon chéri.
Je ne réponds rien, anéanti, je suis sur un nuage.
Nous nous collons l’un à l’autre, plus rien n’existe autour de nous.
Le retour de Béa nous redescend sur terre, Steve s’est éclipsé. C’était convenu ainsi.
J’ai quitté mon statut de cocu soumis, les femmes celui de dominas. Mais nous échangeons comme d’habitude nos impressions.
Comme il est tard et que nous avons deux heures de route pour rentrer, Béa nous propose de passer la nuit chez elle. Ce serait plus sûr, vu l’air épuisé que nous avons.
Nous acceptons volontiers, elle nous indique la chambre d’amis et tout le monde va se coucher.
Une belle orgie D/s 🙂
voudrait bien me faire cocufie et dresser