Quelques jours plus tard, après une de nos séances dominante-soumis consentant, ma femme me demande mon avis sur la proposition de Béa. Je lui réponds que ça m’excite pas mal mais que je ne voudrais pas y aller sans elle. Elle me gratifie d’un grand sourire amoureux et me dit que c’est son avis aussi. Elle aimerait assister d’une façon ou d’une autre à la soirée, en voyeuse un peu perverse (c’est elle qui le dit). Elle va y réfléchir puis se mettre en rapport avec Béa. Elle me promet de me faire la surprise. Je n’en saurai pas plus mais comme d’habitude je sais que je peux lui faire confiance.
Ce matin, au petit déjeuner, elle m’annonce que c’est pour ce soir.
– tu sais, la soirée entre filles, chez Béa, c’est pour aujourd’hui. Nous irons un peu plus tôt, pour te préparer. Ça t’excite, je pense.
Et comment ! La journée ne passe pas assez vite, vers 20h nous nous présentons chez Béa. C’est grand, assez luxueux, une superbe maison.
Après les salutations classiques ma femme dit :
– allez, maintenant on joue !
– Oui Maîtresse !
Le jeu commence. Je deviens, immédiatement, le soumis consentant de ces dames, comme j’aime.
Elles m’emmènent dans une pièce, vers l’arrière de la maison. Les murs sont tendus de tissu sombre, les fenêtres occultées. Au centre de la pièce se trouve une espèce de brancard sur pieds, bas, étroit, semblable à ce qui se trouve chez les médecins.
– Déshabille-toi, va te doucher puis couche-toi ! C’est là dessus que tu passeras ta soirée (Béa). Avec ta femme, on prépare le reste.
Lorsque je reviens, il y a un fauteuil dans un coin de la pièce. Ma femme a revêtu une combinaison moulante en cuir noir et des escarpins rouges. Elle porte, aussi, un masque vénitien, très beau et une cape foncée avec une ample capuche qui lui recouvre la tête et entoure son corps. Personne ne la reconnaîtra. Elle m’ordonne de mettre le boxer qu’elles m’ont préparé. Mes fesses sont nues. Sur le devant, une ouverture permet de me dégager le sexe et les testicules. Je dois, moi aussi, mettre une cagoule de soumis en latex. Ma bouche, mon nez et mes yeux sont dégagés.
Puis Béa m’ordonne de m’allonger sur la banquette. Elles m’attachent les chevilles aux pieds de la couchette. Mes bras pendent de chaque côté. Mes poignets sont menottés par en dessous. Une lanière épaisse me fixe aussi sur cette espèce de brancard, au niveau de la poitrine.
– te voilà presque prêt ! : me dit Béa, on te mettra encore un cockring tout à l’heure, comme ça tu banderas bien toute la soirée pour mes invitées. Ta femme restera ici, masquée, en observatrice dans ce fauteuil. Mes invitées ont toutes reçu un petit « mode d’emploi », avec ce qu’elles peuvent te faire et ce qui est interdit. Ta femme veillera sur toi. On va te mettre le cockring maintenant, mes invitées vont arriver.
Elle va chercher le gadget, en fait c’est un triple. Aidée par ma femme, elle me fixe le truc. Le premier anneau va enserrer les couilles et la verge. Le deuxième anneau vient se mettre au bas de la queue et le troisième anneau sert à serrer les testicules. C’est un peu douloureux à mettre en place, je crois aussi qu’elles en profitent un peu. Mon érection est magnifique, le sexe dressé vers le ciel, les testicules gonflées par ces anneaux.
– te voilà paré pour la fête ! : me dit ma femme.
– voilà encore quelques outils pour te chauffer.
Béa dispose sur une petite table deux cravaches, quelques martinets, deux badines souples et trois petits fouets.
– je vous laisse, passez une bonne soirée tous les deux.
Les invitées arrivent, je le perçois aux bruits de voix, des déplacements, des rires. Ma femme a pris place sur son fauteuil, la lumière de la pièce est tamisée. L’attente me semble longue, je m’ankylose doucement, j’essaie de bouger, j’ai quelque latitude mais je suis bien attaché tout de même.
Béa fait une petite incursion.
– elles ont fini l’apéro, selon nos conventions elles peuvent maintenant venir te voir. Pour la plupart c’est une première. A bientôt.
Encore quelques minutes et la porte s’ouvre. Une dame, grande, queue de cheval, pénètre dans la pièce. Mon cœur s’accélère, je crois aussi que mon érection augmente, je sens osciller ma queue. La femme porte une jupe stricte, noire, des bottes et un pull foncé. Rien de spécial. Elle marque un temps puis s’avance vers moi, un rapide coup d’œil vers le fauteuil. Ma femme ne bouge pas.
L’autre tourne autour de moi et commence à promener ses mains sur tout mon corps, c’est sympa, j’aime bien. Elle s’enhardit et me tâte les nichons, elle regarde vers ma femme et commence à me les pincer, à les tourner. Je souffle un peu et m’agite, les petites chaînes qui m’attachent, tintent contre ma couche. Ca l’excite, elle pince plus fort, je gémis. Ma femme incline doucement la tête, comme pour l’encourager. Elle descend une main vers mon sexe et commence à me palper mes testicules bien gonflées, elle les fait rouler dans sa paume, ça fait mal. J’essaie instinctivement de m’échapper mais je suis bien attaché. De son autre main elle me saisit la verge, serre fort et me masturbe lentement, son pouce frotte mon gland. C’est bon, c’est fort, elle n’arrête pas. Je gonfle encore sous ses doigts. Elle me regarde, imperturbable, et arrête son jeu.
Elle s’éloigne et revient avec un martinet et une cravache. Elle commence avec des coups de cravache, sur les tétons, l’intérieur des cuisses, le ventre, ensuite elle me rougit au martinet.
Elle termine avec des séries de petits coups rapides sur les testicules, la verge et le gland.
Elle s’en va, sans un mot, ma femme vient me voir et retourne s’asseoir. J’essaie de récupérer un peu.
L’attente est courte, quelqu’un d’autre vient de rentrer. Je tourne la tête et je reconnais ma chef, une femme que je croise de temps en temps, boulot oblige. C’est quelqu’un que j’apprécie énormément, même si certains la jugent autoritaire. Que fait-elle chez Béa, mystère? Heureusement que j’ai un masque, ma femme aussi. Je sens qu’elle aussi l’a reconnue. Elle s’avance, vêtue d’une jolie robe moulante noire. Elle est presque timide. Elle nous regarde, j’entends son souffle s’accélérer.
– je peux le toucher ?
Ma femme lui fait signe de la main que oui, bien sûr.
Ma chef s’approche et me caresse doucement, timidement sur tout le corps. Elle effleure plusieurs fois ma queue, elle regarde vers ma femme. Un signe de tête l’encourage. Elle me prend la verge et commence une timide masturbation, son autre main se dirigeant fébrilement vers mes couilles qu’elle commence à triturer, de plus en plus excitée. Un regard vers ma femme qui lui sourit. Ça la débloque complètement et elle colle son visage contre ma queue, elle se la frotte contre la joue, lèche puis se la fourre en bouche. Elle grogne de contentement et me suce longuement. Heureusement que j’ai les cockrings. Je lance autant que je peux mon bassin vers son visage, elle pose ses mains de part et d’autre et se laisse faire. Je lui baise bien sa bouche, ma queue va frapper le fond de sa gorge. Ah ma chef ! Elle se dégage enfin, les yeux chavirés. Je pense qu’elle va nous laisser mais elle a l’air de se raviser. Elle s’approche de mon visage, j’ai peur qu’elle me reconnaisse, mais non. Elle se met derrière ma tête, relève sa robe et enlève sa culotte. Je l’entends chuchoter pour elle même « oh mon dieu, mon dieu », elle écarte les jambes et s’avance au dessus de mon visage. Je vois son joli cul, bien large, sa chatte poilue au-dessus de moi. Osera-t-elle ? Elle tient sa robe d’une main, de l’autre elle prend appui sur mon torse et doucement, timidement elle vient s’asseoir sur ma bouche. Sa chatte est humide à souhait, mon nez pénètre la raie de son cul. Je l’entends gémir « mon dieu, mon dieu ». Je prends l’initiative et je sors doucement la langue, je la fais tourner sur les lèvres de son sexe grand ouvert à présent. « oui, oui, mon dieu, mon dieu » souffle-t-elle. Je lui fourre ma langue dans le vagin et aspire ses lèvres dans ma bouche, puis je la suce. Elle râle de bonheur et commence à remuer les hanches, en rond, d’avant en arrière, de plus en plus fort, de plus en plus vite. De temps en temps elle s’arrête, j’en profite pour faire tournoyer ma langue sur son clitoris bien bandé. Elle commence à bien couler, je bois son jus. Elle pousse des petits cris rauques et continue un bon moment à s’astiquer sur moi. D’un coup elle se jette en avant, plonge vers ma queue et se la remet en bouche ; là c’est elle qui suce, elle me saisit la verge, me masturbe furieusement, me lèche le gland et la verge et me remet en bouche, aussi loin qu’elle peut. En même temps, elle se frotte violemment sur mon visage et ma bouche ; une série d’orgasmes la secoue, espacés de courts moments de répit. Elle m’inonde le visage de son plaisir. Je jouis fort dans sa bouche, elle n’en perd pas une goutte et m’avale complètement. Elle reste longtemps sur moi, à reprendre ses esprits, elle se relève, récupère sa culotte, se rajuste. Elle dépose un rapide baiser sur mes lèvres encore trempées de sa mouille et ressort, chancelante.
Ma femme se lève et vient me nettoyer la figure, mon masque, elle me lave aussi la queue.
Je suis prêt pour la suite.
hum très excitant tout cela ,
C’est le genre d’histoire que je souhaiterai vivre avec une Reine aussi vicieuse…être utilisé ainsi pour des amies…hum quel plaisir cela doit être…utilisé comme TOY.
Oui je le souhaite vraiment,si une Dame pouvait llire ce commentaire et que cela exciterai..
A votre entière …disposition!
A votre plaisir.
Sympathique, curieuse de voir la suite.
Bonsoir Madame…
Oui moi aussi très curieux et excité de lire la suite…
Au plaisir de vous croiser à nouveau,de vous lire Dame Asex.
soumiswill.