Professeur totalement soumis à son étudiante (14)

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totalement soumis

Changement de vie

La pause de fin d’année fut à la fois un calvaire et une libération. Les aveux à ma femme, l’ambiance de Noël, en famille, alors que la décision de nous séparer était prise. Les contacts réguliers avec Maîtresse Caroline, qui acceptait de m’héberger dès la rentrée, en attendant que je trouve un logement. J’avais réussi à négocier plus d’heures de cours dès janvier. J’exercerai désormais mon rôle de professeur quasiment à plein temps, et vivrai donc à Paris, aux pieds de ma Maîtresse, totalement soumis à elle.

J’étais à la veille de repartir pour Paris. Au fond du trou même si je savais que ma libération, ma renaissance se ferait par mon appartenance à Maîtresse Caroline, par ma soumission à ses envies, par l’assouvissement de mes pulsions profondes. Je quittais la plus grande partie de ma vie. Cela  me laissait un goût amer, un goût d’échec personnel et j’avais du mal à encaisser. Me donner entièrement à Maîtresse Caroline, lui confier ma destiné, la gestion de mon temps à son service, cela m’aiderait à passer le cap. Ne plus réfléchir, mais juste obéir et m’en remettre à elle, en fait être totalement soumis à elle.

Voyage vers la nouvelle vie

Durant ces deux semaines, je n’avais pas osé interroger Maîtresse sur l’absence d’Ennia. Je souffrais du manque d’elle. Et ce manque me consumait de l’intérieur. Besoin d’elle, de son regard, de sa peau, de sa chaleur, de son odeur…. besoin. Soif. Faim. A en crever. Une vraie obsession. Si Maîtresse Caroline souhaitait repousser mes limites, je me savais d’ores et déjà capable de surpasser ses désirs, si cela me permettait de retrouver Ennia. Plus que quelques heures avant la gare de Lyon, et ma nouvelle vie.

Maîtresse Caroline avait dit qu’elle serait là pour m’accueillir… »A moins que je n’envoie quelqu’un d’autre prendre livraison de ma petite pute. D’ailleurs, pour ce dernier voyage, tu porteras bas et string. Et ton plug bien entendu. N’oublie pas de t’épiler… tu es libre maintenant, alors j’exige que ma pute soit lisse ». Ainsi, J’avais obéi. Et c’est en bas et string sous mon costume, le cul bien rempli par un plug, que le TGV me transportait vers ma seconde vie. Les kilomètres avalés par le serpent du rail me vidaient peu à peu de mon angoisse, de ma tristesse, de mes regrets. Pendant le voyage, je me pris à imaginer mon arrivée à la gare de Lyon, et surtout l’accueil de Maîtresse Caroline. Mes fantasmes divaguaient… mais rien ne se passa comme prévu.

Arrivée à Paris

Personne n’est là sur le quai à ma descente du train. Cependant, un peu plus loin, une femme d’une quarantaine d’années attend, tenant une pancarte avec mon prénom et le nom de famille « Lapute »… Les gens sont hilares, et se moquent de cet inconnu au nom importable. Je réduis donc l’allure de ma marche et je retarde au maximum ma rencontre avec celle qui m’attend. Car je sais que ce monsieur « Lapute », c’est  moi. Maîtresse Caroline a voulu frapper un grand coup pour mon arrivée, mon passage d’homme « libre » à « petite pute à pleine temps » de Maîtresse Caroline.

J’approche de la femme. Plutôt grande, un visage dur, et une classe qui fait se retourner sur elle les vrais hommes, dans la rue. Par vrais hommes, j’entends ceux sensibles à la vraie féminité, celle là même qui est le contraire de la faiblesse. Cette femme dégage une telle assurance, une telle puissance oserais-je dire. J’arrive donc à sa hauteur et prononce un discret « Bonjour Madame, je suis Victor », en regardant ses pieds. La réponse est, alors, immédiate, une gifle cinglante qui fait se retourner les passagers encore sur le quai. « Tu es en retard Lapute… ta Maîtresse en sera avertie, compte sur moi ». Le TGV a effectivement 10 mn de retard. Je rougis, voudrais disparaître. J’entends les moqueries des spectateurs de mon humiliation. « Suis moi la pute, et ne traine pas ».

Humiliation totale

La surprise, le fait d’être humilié ici, en pleine gare de Lyon, le plug qui me remplit le cul, les regards posés sur moi…. je suis à la limite de la rupture. Cependant, je suis Madame, sans un mot. Nous sortons de la gare pour rejoindre un véhicule garé dans une rue adjacente. Une berline noire, qui ressemble un peu à une limousine sans en avoir la démesure. Un chauffeur en sort, ouvre le coffre et dépose ma valise. Puis il ouvre la portière arrière. Madame se tourne vers moi et m’ordonne sèchement de monter à bord. La voiture démarre, et se glisse dans le flot de la circulation.

Les vitres arrières sont teintées, très foncées. « A poil la pute. Tu gardes tes bas et ton plug. Rien d’autre ». Je m’exécute sans discuter. Madame ramasse mes vêtements et s’adresse au chauffeur : « Ouvre la fenêtre ! ». Je la regarde. tétanisé, balancer le tout sur la chaussée. Je suis en dim-up, le cul remplit, sans plus aucun vêtement, à l’arrière d’une voiture qui m’emmène je ne sais où.

Désir d’être totalement soumis

J’ai peur et je me raccroche comme je peux à la seule chose qui existe encore à mes yeux : la confiance que j’ai en Maîtresse Caroline, et mon désir d’être totalement soumis à elle. Madame me bande les yeux, puis m’ordonne de m’allonger sur le sol. Elle se positionne au milieu de la banquette arrière, et ses talons se posent sur mon ventre. Le trajet dure, je ne vois rien et perd la notion du temps. Madame joue de la pointe de son escarpin avec ma queue. La situation, le contact du cuir, mon désir sexuel frustré… tout cela me fait bander, dur. « Tu es en rut… Ta Maîtresse va très vite te remettre en cage, crois-moi. Je vais devoir faire quelque chose, je ne permettrai pas que tu ne présentes à elle dans cet état. Tu ne voudrais pas non plus, n’est-ce pas, la pute ? ».

Séance SM dans la voiture

Madame a posé son escarpin sur ma queue, et elle accentue la pression, tout en m’interrogeant. Comme je tarde à répondre, la point de son talon s’enfonce un peu plus. Je gémis sous la douleur qui ne me fait pas bander moins, bien au contraire… « Non Madame, je ne voudrais pas me présenter à ma Maîtresse comme cela Madame ».

Elle fait rouler ma queue gonflée sous sa semelle, m’arrachant des gémissements de plus en plus intenses… « N’as tu pas appris à te taire la pute ? » Je cesse mes jérémiades et j’encaisse la douleur, par ailleurs délicieusement excitante. « Je ne vois qu’une solution, tu vas te branler. Allez…. tu as 3 minutes pour te vider les couilles et te ramollir… BRANLE TOI !!! Je veux que tu gicles sur mon pied, allez… C’est sans doute la dernière fois que quelqu’un t’autorise à le faire, avant longtemps. Peut-être même la dernière fois tout court ».

Je m’exécute immédiatement. Trop envie. Besoin. Désir… je ne réalise immédiatement qu’elle dit peut-être vrai. Que je me branle peut-être pour la dernière fois. Le plaisir monte rapidement. J’ai essayé de résister durant ces deux semaines, comme Maîtresse me l’avait demandé. Je ne me suis caressé que deux fois, je n’ai pas tenu l’abstinence totale. Je me masturbe rapidement. Le plaisir vient…. en même temps que ma prise de conscience de l’abandon de ma sexualité, du contrôle de ma sexualité. Contrôle que je vais remettre entre les mains de Maîtresse Caroline.

Début de la nouvelle vie de soumis

Je rends les armes. Par le renoncement à cette acte si simple, que je pratique depuis si longtemps, si animal… la masturbation… je rends les armes. J’abandonne, je m’abandonne donc à ma Maîtresse. Je jouis alors que les larmes perlent à mes yeux. Explosion de plaisir, jets de foutre sur le cuir qui gaine le pied de Madame. « Branle toi encore…. vide toi complètement la pute… Voilà.. c’est mieux… presse tes couilles pour être sûr qu’il ne reste rien… »

« Maintenant, sale petite pute, que tu as souillé mon bel escarpin, il va falloir le nettoyer…. LECHE ! » Madame écrase son pied maculé de foutre sur ma bouche.. Je surmonte mon haut-le-coeur et le léche, je nettoie… je ne suis plus qu’un esclave qui obéit. Je ne décide plus de rien. Mon libre-arbitre à la poubelle. J’appartiens, j’obéis, je sers. Rien d’autre.

Je sens que le véhicule quitte la route. Ralentissement. Sans doute une rampe. Nous descendons il me semble. « Voilà, nous sommes arrivés. Allez, descends la pute. Je dois te livrer à la Maîtresse. »

(A suivre)

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4 réflexions au sujet de “Professeur totalement soumis à son étudiante (14)”

  1. Merci pour ce récit , le plus addictif de ce site !! J’attend Toujours avec beaucoup d’impatience la suite …

  2. je viens sur ce site presque tous les jours pour suivre ce récit, j’adore, je suis un vrai fan ! Merci beaucoup pour ce travail 🙂

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