Ce réveil dominical fut terrible!
- Alors « feignasse », on s’accorde une grasse matinée?
- mais euh. Non mais.
- il est 10H et tu n’as pas envoyé de mail ce matin comme tu devais le faire à 6H
- Pardonnez moi Maîtresse Ana, je n’ai pas entendu le réveil je me…
- t’as aucune excuse si tu veux discuter avec une autre jusqu’à 5h du mat, tu assumes et tu obéis ou tu arrêtes tout !
Je ne sais plus où me mettre je me confonds en excuse. Mais comment sait-elle pour ma discussion au téléphone? Est-ce que la serveuse lui a déjà envoyé un mail? Serait-elle effectivement une de ses complices? Mille et une question s’entrechoquent dans ma tête et j’avoue ne plus écouter ses réprimandes.
- T’es encore là salope ?
- Euh si si oui Maîtresse Ana, je vous écoute. Je suis sincèrement désolé de ne pas m’être levé ce matin
- Pfff. Je vais devoir sévir… tu donnes mon mail sans mon accord à la première venue et tu ne te réveilles pas. Je ne pensais pas devoir agir aussi vite mais tu me donnes deux bonnes occasions pour le faire ! T’es toujours en tenue ?
- Oui Maîtresse Ana, je porte toujours les sous-vêtements…
- Garde les bien interdiction de mettre autre chose, même pas un peignoir. Tu n’auras qu’à rester loin des fenêtres. dit-elle en rigolant. Et si par hasard quelqu’un arrive, je t’ordonne d’ouvrir la porte. Tu te débrouilles comme tu veux mais tu réponds !
Et elle coupa net la communication comme souvent pour éviter mes jérémiades.
Obligé de rester en sous-vêtements féminins dans mon appartement!
J’ère dans mon appartement pendant plusieurs heures. N’osant m’approcher des fenêtres, je reste devant l’ordinateur ou je regarde la télévision mais je n’arrive, vraiment, pas à me concentrer. Ensuite, je mange sur un coin de table. Mon esprit est accaparé par cette Maîtresse qui se joue de moi et qui me manipule comme son jouet. Cela m’angoisse mais au fond de moi, je suis terriblement satisfait de vivre cela! En fait, je suis heureux d’être obligé de rester en sous-vêtements féminins aujourd’hui, car j’ai l’espoir, d’être prochainement à ses pieds si je suis bien obéissant.
Je vais faire une sieste en début d’après midi en me remémorant toute la soirée d’hier quand la sonnette me tire de ma somnolence. C’est bien ma veine, personne ne vient en général à l’improviste. Je vais regarder par le judas et je découvre « ma serveuse d’hier »!
Cette apparition à propos, est-ce une manigance de ma Maitresse ? Ainsi, je me souviens de sa dernière phrase « ouvrir quoi qu’il arrive » mais je n’ose pas. Je me glisserais dans un trou de souris si je le pouvais.
Elle insiste! Je prends une grande inspiration et passe la tête par la porte.
- Bonjour Mlle, je suis surpris de vous voir ! Dis-je en asseyant de cacher mon corps.
- Bonjour, c’est votre amie, pardon votre Maîtresse qui m’a donné votre adresse, je voulais vous voir car vous m’intriguez.
- Vous savez je ne suis pas très visible aujourd’hui et je suis relativement fatigué après notre discussion d’hier. Essayais-je de dire pour noyer le poisson et la décourager.
- Laissez moi entrer, je ne vous dérangerais pas longtemps, me dit-elle en m’envoyant un sourire charmeur.
- Je vous préviens. Je ne suis pas un fou mais vous risquez de vous moquez de moi.
Arrivée impromptue de la serveuse de la pizzéria
J’essayais de la préparer à ma vision.
- Je vous promets que je ne ferais aucune remarque.
J’ouvre la porte et la laisse rentrer, elle se retourne vers moi.
- ah oui en effet je comprends mieux pourquoi vous vous cachiez ! Vous faites cela souvent ?
- Non, comme je vous l’ai dit au téléphone hier, j’obéis juste à cette femme.
- Mais vous la connaissez ? me demanda-t-elle
- Disons que j’ai beaucoup discuté avec elle et que je veux la satisfaire, elle me plait beaucoup, et je suis heureux pour le moment.
- Donc je n’ai aucune chance avec vous ? me dit-elle sans détour et s’approchant de moi
- Euh Euh… non, je ne veux pas m’attirer le courroux de ma Maîtresse, vous êtes très désirable mais je souhaite être un soumis et je ne pense pas que c’est ce que vous cherchiez !
Elle insiste, je m’écarte. Mon sexe trahit une certaine excitation sous le peu de tissu qui le cache mais je lui dis que pour le moment, je veux tenter ma chance avec cette Maitresse et que je ne désire rien d’autre.
- Très bien, je ne te dérange pas plus alors, dommage pour toi, ta Maitresse m’avait donné l’autorisation de jouer avec toi. J’en avais très envie mais comme tu ne veux pas.
- C’est pas que je ne veux pas. C’est que de mon coté je n’en ai pas l’autorisation. Et que je ne ferais rien sans cela !
- Cela n’a pas du t’arriver souvent de voir une jeune femme s’offrir à toi. Tu es con de pas en profiter. Mais c’est ton choix. Tiens ta maitresse te fait un cadeau. Elle m’a dit de te le remettre juste avant mon départ, mais tu ne dois pas l’ouvrir. Vous êtes étrange tous les deux, mais je l’envie un peu. Tu es un mec fidèle toi…
Appel téléphonique de Maîtresse Ana
Et elle repart sans plus d’explication. Je reste comme un con au milieu de mon salon, le sexe gonflé par l’excitation et mon abstinence de presque 2 semaines, le cadeau entre les mains. Je vais me réveiller c’est sûr. Ce week-end est un rêve. Je vais me réveiller c’est sur ! Un coup de téléphone me sort de ma léthargie la plus complète.
- Allo mon soumis ?
- Rebonjour Maîtresse Ana
- comment vas-tu ?
- euh je ne sais pas Maîtresse, j’avoue que je ne sais plus où j’en suis et qui je suis. ?
- Tu veux tout arrêter ?
- Oh non non pas du tout, mais ce que je viens de vivre ce week-end est totalement fou
- Et tu apprécies ou tu te forces pour faire cela ?
- j’apprécie Maîtresse Ana, je vous remercie de me faire vivre cette expérience, j’avoue que c’est excitant d’être manipulé sans connaître sa Maîtresse mais je sais pourquoi j’accepte tout cela !
- Ah bon et pourquoi fais-tu cela, ma salope ?
- Pour votre plaisir Maîtresse, pour avoir la chance de devenir votre soumis réel et de vous servir.
- C’est toujours ce que tu veux ?
- Oh oui Maitresse Ana. Je le veux toujours
- Humm très bien mon soumis, je vais te dire que je suis très fière de toi pour le moment, hormis pour ce matin. D’ailleurs as-tu apprécié mon cadeau ?
- Je l’ai dans les mains et je ne l’ai pas encore ouvert Maitresse.
- Non je parlais de la serveuse, elle avait tellement envie de toi que je te l’ai offerte, as tu pris ton pieds ? me demanda-t-elle dans un éclat de rire.
- Maîtresse Ana, je n’ai pas accepté ses avances.
Ordre m’est donné d’ouvrir le paquet laissé par la serveuse
- Ah bon ? Feint-elle d’être surprise, pourquoi n’en as tu pas profité ?
- Tout simplement parce que je n’avais pas de consigne de vous et que je ne voulais pas me mettre en faute par rapport à vous. (Ne lui avouant pas que j’étais persuadé que c’était un piège qu’elle m’avait tendu).
- Hummm tu es docile mais je te soupçonne d’être aussi malin et que tu as anticipé mon test ? Avoue ?
Démasqué. !
- Oui Maîtresse Ana, je pensais que c’était un piège pour me punir et que cette jeune femme était une de vos complices.
- Dommage pour toi car tu aurais pu te vider les couilles, chose qu’à présent tu ne feras plus sans mon consentement ! me dit-elle et elle reprit sans me laisser le temps de répondre
- As-tu le cadenas ?
- oui Maitresse! il est sur ma table de chevet.
- Va le chercher et ouvre ton paquet.
J’obéis mais je ne vois toujours pas le rapport entre le cadenas et le cadeau. Je réunis les deux et je m’assois sur mon canapé.
- C’est bon tu as tout, alors ouvre le paquet, mon soumis, ma chose.
Je l’ouvre et une nouvelle fois mon cœur explose, que suis-je bête, pourquoi cela ne m’était pas venu à l’esprit… une cage de chasteté et le petit cadenas c’est pour la fermer !!!
Découverte d’une cage de chasteté et de son cadenas
- Alors ça te plait.
- Maitresse, je ne sais pas quoi dire.
- Dis merci impoli !
- pardon Maitresse, merci Maitresse Ana pour ce cadeau.
- Tu vas la mettre ainsi que ton cadenas puis tu t’enfermes pour que ceci n’appartienne plus qu’à moi.
- oui Maitresse Ana, mais en cas de problème, comment ferais je pour l’ouvrir.. ?
- Crois-tu que ta maitresse ne pense pas à tout ?
- C’était juste une question Maîtresse, je ne doute pas de vous.
- Donc pour te réconforter, tu as le droit de m’appeler maintenant, saches que tu progresses dans ta formation, peu de soumis ont eu ce privilège. Si tu as le moindre problème avec ta cage et uniquement pour cette raison tu m’appelles… n’importe quand. Mais uniquement pour cela sinon tout s’arrêtera la.
- Oui Maitresse, mais si vous êtes loin de moi ou indisponible.
- He il t’arrive souvent d’avoir des problèmes à ce niveau la ? Et ne crois-tu pas que je n’ai pas tout prévu ? Non ? Alors tais-toi et obéis, .enfile la, fais moi une jolie photo et tu vivras avec aussi longtemps que je l’aurais décidé, car ce n’est plus toi qui décide. Tu as accepté de te confier à moi donc tu assumes. Maintenant soit tu la mets, soit tu arrêtes là mais sache qu’en portant cette cage tu deviens officiellement ma chose.
- Maîtresse Ana, j’accepte de porter cette cage, j’ai trop envie de vous servir.
- c’est bien ma petite salope, enfile cette cage, reste en sous-vêtement. Dommage pour toi que tu n’es pas voulu te vider les couilles avant, à bientôt.
Ordre d’encager mon « oiseau »!
Elle raccrocha me laissant seul devant mon avenir.
Prenant le mode d’emploi, je regarde cet objet avec appréhension et commence à me le mettre. Brrr que c’est désagréable de faire cela seul, assez humiliant même! Après une heure de bataille et d’essais pour être le plus à l’aise possible, je ferme, avec appréhension, la cage et mon destin. Me voilà au point de non retour, fini les fantasmes, je plonge dans du sérieux. Je me prends en photo avec et je l’envoie de suite par mail à ma Maîtresse.
La journée finit en passant très lentement, une multitude de questions s’entrechoquent dans ma tête. Comment vais-je réagir au travail, comment vais je arriver à faire mon sport, est ce que je vais la supporter, combien de temps vais je la garder… ?
Dans la soirée, je reçois un mail de ma Maîtresse qui me félicite d’avoir réussi à encager mon oiseau. Elle me dit également qu’elle prend un immense plaisir à jouer avec moi.
Très agréable. Y aura-t-il une suite?