Ainsi, j’avais donné carte blanche à Jana. J’étais officiellement la chienne de cette jeune dominatrice, jusqu’à la soirée.
Elle s’écria alors :
- Quel choix judicieux ! Tu vas ressentir des choses inédites !
Je pensais lui dire :
- j’en suis ravi !
Elle me remit la culotte dans la bouche. Elle continua alors :
- Tu ne goutteras pas à ma chatte aujourd’hui mon grand. Je te garde cela pour plus tard. Mais ne t’en fais pas, je suis une jeune dominatrice, mais je tiens mes promesses. Je vais te faire jouir comme jamais tu n’as joui, et ensuite tu nous prépareras un bon repas.
Joignant l’acte à la parole, elle enjamba y collant son sexe humide que j’aurais volontiers léché sans cette culotte, et entreprit alors une fellation royale ! Elle allait ni trop vite, ni trop lentement. C’était parfait. D’autant plus parfait qu’une fois sur deux elle me faisait des gorges profondes. L’extase ! Je me sentais alors venir et ce assez abondamment ! Je tentai alors de la prévenir en faisant plus de bruits que lorsque je gémissais. Cependant, elle appuya son sexe sur mon visage pour me dire de me taire.
Surpris par la réaction de Jana!
Je jouis alors avec force dans sa bouche. Je ne savais pas à quoi m’attendre. Aussi, je fus très surpris de sentir dans sa gorge qu’elle avalait tout le sperme en ayant gardé mon sexe au fond de sa gorge. Ce fut tellement bon ! Je n’étais pas au bout de mes surprises quand elle se mit à reprendre des va et viens tout aussi ardents ! Je vivais comme un rêve éveillé
Même si j’avais fortement joui, je n’avais pas débandé et ce grâce au fait qu’elle continuait la fellation. Une fois assurée que je resterais dur, elle sortit mon pénis de sa bouche et se releva.
Elle me dit alors :
- Je vais te refaire jouir, cette fois j’utiliserai autre chose que ma bouche. Sache qu’une fois que tu auras joui, ce sera à mon tour de m’amuser. Alors profite bien de ce moment !
Pendant qu’elle me disait ça, je me posais toutes sortes de questions. Pourquoi assouvit-elle ses désirs sexuels avec moi ? Qu’entendait-elle par s’amuser ? Qu’allait-elle bien faire à présent ? Et ensuite qu’arrivera-t-il ? Pendant que je me posais ces questions, elle était sortie du lit pour faire je ne sais quoi. Elle s’appuya à nouveau sur le lit et prit mon sexe entre ses seins, ce qui eut pour effet de me faire gémir dans la culotte.
Je compris alors ce qu’elle avait fait : elle avait enlevé la partie haute de sa tenue et avait également enduit ses seins avec une huile de massage. Elle se mit alors à faire des va et viens et putain que c’était bon ! J’assistais à ma première branlette espagnole. Sentir sa poitrine généreuse enduite d’huile de massage masturber mon sexe tout raide ne manquait pas de me faire gémir.
Mis en laisse par Jana, jeune dominatrice impitoyable!…
Je me cambrai et bougeai énormément tellement c’était bon. Petit à petit, je me sentais venir. Je la prévins alors de la même façon que tout à l’heure. Mais elle n’eut pas la même réaction. Elle arrêta tout, se releva et me retira les menottes. Elle me prit ensuite par les cheveux et me redressa. Après m’avoir redressé, elle me remit les menottes, cette fois en me menottant les mains dans le dos. Je la sentis alors accrocher quelque chose à mon cou.
Quand elle eut fini, elle tira sur ce qui était en réalité une laisse et me fit m’agenouiller au sol. Je ne comprenais plus rien jusqu’à ce qu’elle posa ses pieds sans chaussures, mais toujours avec ses bas de latex, sur mon sexe pour me branler avec. Je ne tardai pas à jouir, ce qui apparemment, l’amusa beaucoup, au vue de son fort rire. Elle frotta son pied contre mon sexe. Ensuite, elle me retira le bandeau et je vis alors mon sperme qui avait en effet giclé sur ses bas.
Cette jeune dominatrice me dit alors d’un ton stricte :
- Tu vas nettoyer tout ça et avec ta langue !
Par la suite, elle me retira la culotte de la bouche et me présenta sa jambe gauche. J’étais affolé, apeuré. Elle tira sur la laisse, collant alors mon visage sur son pied. Je pleurai légèrement, m’étant résolu à laver ses pieds de ma langue. Le goût était amer et franchement pas bon. Mais je m’efforçai tout de même à le faire. Après avoir lavé ses pieds, je la regardai. Elle riait aux éclats. Elle sortit alors de son tiroir un outil qui me faisait peur : une cage de chasteté.
- Maintenant, je contrôle entièrement ta bite !
…Puis en cage de chasteté
Voici la dernière chose que j’entendis avant d’entendre le « clic » du cadenas qui enfermait ma queue dans cette cage de chasteté qui pesait sur mon sexe. Perdre le contrôle de cette partie de mon corps me faisait tellement bizarre… C’était vraiment humiliant. Enfin… la suite allait être tout aussi humiliante. Elle se leva et partit fouiller dans son sac. Bêtement, je la suivis du regard, ce qui me valut une belle gifle. Ensuite, cette jeune dominatrice impitoyable ajouta d’un ton très dur et implacable :
- Les chiens doivent apprendre à rester à leur place! Alors baisse tes yeux !
Les chiens… a-t-elle dit. Ces deux mots étaient bien plus douloureux que la gifle que j’avais reçue. Je venais de perdre tout sentiment d’être humain. Ainsi, je baissai les yeux tout en sentant les larmes monter. Je la sentis arriver derrière moi mais je n’osai pas la regarder. Elle me prit par les cheveux et me fit me lever en tirant dessus pour ensuite allonger mon torse sur le lit. Ensuite, elle donna un coup dans le creux de mes genoux pour que je les pose ainsi au sol, de cette façon je lui offrais mon cul.
Si je devais décrire cette situation en un mot, j’hésiterai entre peur et honte. Peur de ce que cette jeune dominatrice pourrait faire et honte de ce à quoi j’étais réduit. Je reçus alors 3 coups de fouets puissants sur les fesses. Je criai légèrement de douleur alors qu’elle riait à plein poumon. Ensuite, je la sentis s’agenouiller derrière moi puis elle me mit une belle fessée avant de me montrer un objet qui décupla ma peur. Même s’il était de petite taille, elle m’avait tout de même montré un plug anal.
Première expérience très douloureuse avec un plug anal!
Je pense que la base du plug devait faire environ 4cm. C’était petit mais j’avais peur tout de même. Et elle remarqua ma peur. Elle fit tourner le plug de métal sous mes yeux pour me narguer. Au bout d’un moment, elle me le mit pendant 5 secondes dans ma bouche avant de me le retirer pour me le rentrer d’un coup sec dans le cul.
Un seul mot : douleur!
Quand la douleur s’estompa légèrement, je me rendis compte que la sensation du métal froid dans mon anus engourdissait tous mes sens. J’étais comme sonné. Elle me prit à nouveau par les cheveux et me redressa sur les genoux. Ensuite, elle me mit un serre-tête avec des oreilles de chien et un nœud papillon autour du cou. Toujours dans un silence très stressant, cette jeune dominatrice me releva violemment me prenant par les cheveux, ce qui m’arracha un léger cri de douleur. Enfin, elle me mit une énorme claque en disant simplement :
- Silence sale chien !
Son ton était tellement froid, j’en eus la chair de poule. Elle me présenta alors un caleçon en latex. Elle me détacha les mains et me le jeta à la figure. Je compris que je devais le mettre. Ainsi, je l’enfilai délicatement. Une fermeture éclair était au niveau de mon sexe et un trou laissait à découvert mes fesses. Le caleçon était tellement serré que j’avais du mal à respirer. Je lui dis alors :
- Jana… le caleçon est vraiment très serré… vous en auriez un plus grand s’il vous plaît ?
Totale obéissance à Maîtresse Jana!
D’un coup, elle attrapa mes cheveux. Avais-je fait quelque chose de mal ? Très certainement, mais quoi ? Je n’en savais encore rien. 10 secondes après avoir attrapé mes cheveux, donc après m’avoir légèrement laisse cogiter, elle mit sa main dans le caleçon, prit mes couilles et les compressa avec une force incroyable.
Je me mis à hurler. Ensuite, je voulus me baisser mais elle tira sur mes cheveux afin de maintenir ma tête en place. J’eus à peine le temps de bouger mes mains de 10cm qu’elle me dit d’un ton sec, froid et effrayant :
- Tu mets tes mains dans le dos ou je te jure de t’écraser tes petites couilles de soumis tellement fort qu’elles éclateront!
La douleur était folle, je pleurais, peinant à mettre mes mains dans mon dos. Elle joua ainsi à serrer mes couilles pendant plusieurs minutes. Je pleurai, hurlai de douleur, mais je n’osai même pas la supplier de peur qu’elle appuya plus fort encore. Elle relâcha alors légèrement son emprise, les tenant toujours et me dit énervée :
- Tu vas comprendre que cela te serre ou non j’en ai rien à foutre. Si je te dit de mettre ça, tu mets ça. Ta voix de pucelle m’est insupportable, alors je vais veiller à ce que tu fermes ta gueule de sale pute, je ne veux plus t’entendre. Donc soit tu obéis, soit tu souffres ! Et aussi, tu m’appelle Madame, ou Maîtresse, à la limite Maîtresse Jana ! Si tu as compris fais oui de la tête!
Privé de repas en guise de punition!
Je fis alors oui de la tête une fois avant de la baisser. Elle reprit alors en me lâchant les couilles :
- Bien. Maintenant, tu vas aller me préparer une pizza maison, je suis sûre que tu as tout ce qu’il faut. N’en prépare pas pour toi, comme punition tu es privé de repas, et ce n’est que le début de ta punition mon petit. Je vais commencer par m’assurer que tu fermes ta gueule pour la soirée.
Elle se leva sur ces mots et partit chercher quelque chose dans ses affaires. Elle revint avec un bâillon boule avec lequel elle força violemment l’entrée de la bouche et qu’elle serra de toute ses forces autour de mon crâne comprimé.
- Je vais prendre une douche. Toi, tu vas aller me préparer ma pizza et tu attendras mon retour en étant à genoux tête baissée et mains dans le dos, avec une serviette tièdes sur les genoux, si quelque chose ne va pas je te punis encore plus sauvagement que ce qui est déjà prévu. Interdiction formelle de retirer ton plug, retirer ton bâillon, ou même d’essuyer la bave qui pourrait sortir de ta bouche de suceuse. Maintenant du balai !
Un passage m’a fortement déplu. La fellation.
Et encore plus, la réaction masculine derrière le discours.
Sinon le reste est sympa.