Soumis par ma nièce (1)

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soumis par ma nièce

Soumis par ma nièce (1)

Ma femme Christine étant partie en week-end, j’avais trouver le moyen de draguer une jeune fille de dix huit ans. N’osant y croire, je me retrouve au ciné avec elle avant de l’emmener chez moi. J’ai passé une nuit formidable, mais au petit matin j’avais complètement oublié que ma nièce de dix neuf ans devait venir à la maison.

Quand elle arriva, elle monta directement dans ma chambre pour me réveiller et me demander ce qu’il y avait à faire comme ménage, c’était ma femme qui lui avait demandé ce service, quand elle me vit en bonne compagnie, elle s’excusa et redescendit à la cuisine, je sautais du lit, ainsi que ma compagne, puis descendit aussi :

– Excuse moi Wanda, je ne pensais plus à ta venue

– Je m’en doute dit-elle, sinon tu aurais renvoyer ta pute avant mon arrivée

– Heu … c’est une fille que j’ai rencontré hier, tu ne le diras pas à ta tante ?

– ça dépend dit-elle avec un sourire qui ne me plaisait pas

– ça dépend de quoi Wanda ?

– Tu verras, en attendant vire ta pute

– Heu oui tout de suite

Je dis au revoir à la jeune fille, et je retournais voir Wanda. Elle buvait un café. je lui demande :

– Tu veux quoi en échange de ton silence ?

– Toi, à ma botte, comme soumis

– Quoi tu es folle !?

– Peut-être, mais c’est ce que je veux

– Trouve autre chose, s’il te plait

– C’est ça, ou je dit tout à ma tante. Pour prouver que tu acceptes, tu vas aller m’acheter un pantalon de cuir, taille trente six, et des cuissardes, même taille, et ça tout de suite, j’ai vraiment envie de t’avoir à ma botte

– Tu ne peux pas me faire ça !

– Tu as une heure, ne perd pas de temps, ma tante va téléphoner à peu près dans ces eaux là, alors grouille

Je baissais la tête et allais en ville chercher ce qu’elle m’avait ordonné.
Quand je revins avec ses vêtements, elle me les prit d’autorité sans même me remercier et me dit :

– Je vais les essayer, en attendant, fait la vaisselle

Je restais baba mais je la fis quand même et quand elle reparut, elle était radieuse avec ses cuissardes et son pantalon de cuir qui lui moulait parfaitement les fesses. Elle s’assied sur la table :

– Tu crois peut être que c’est moi qui vais l’essuyer, allez exécute et vite tu n’as pas que ça à faire

– Mais chérie lui dis-je ta tante te paie pour faire cela ?

– ça c’était avant que je ne te surprenne avec ta pute

Là je commençais à avoir peur de cette gamine, quand j’ai eu terminé, elle me dit,

– Suis moi, on va à la salle de bain, j’aimerais que tu sois à genoux pour me suivre

– Non mais ça ne va pas ?

– Ho que si ça va, répondit-elle en souriant, mais un sourire qui ne présageait rien de bon, et tu n’as pas intérêt à me désobéir. Je baissais les yeux, et je me mis en position

– Mais il a compris le petit chien à sa maîtresse, ricana telle en me caressant la tête, c’est bien ça, dorénavant ce sera ta position, c’est bien compris ?

– Oui Wanda

– Maîtresse, répète

– Oui maîtresse,

– Comme il est mignon, et elle se mit à rire,

Elle ouvrit la porte, et m’ordonna :

– Entre, voilà, tu as du linge à laver, je te donne une heure. Tu te démerdes pour être à ma botte dans une heure, je vais regarder un film

Et elle me laissa au milieu du linge sale.  Je déballais la panière, je trouvais plusieurs culottes de ma nièce, je ne pus m’empêcher d’en humer une, puis comme par instinct, je me mis à lécher le fond poisseux, c’était celle qu’elle avait ôté une heure avant, je lapais comme un chien, quand soudain, la porte s’ouvrit, elle était devant moi, les jambes écartées, les mains sur les hanches,

– Continue j’aime,

Ayant été pris sur le fait, je ne pouvais plus reculer, je léchais amoureusement sa culotte. Elle vint vers moi, et m’enfonça la culotte dans la bouche,

– Tu aimes mon parfum intime, esclave ?

– oui maîtresse,

– Tu en aura d’autre si tu obéis bien à ta maîtresse,

J’étais fou de désir pour cette petite peste, je bandais comme un fou,

– Et je te ferais lécher mon cul si tu es sage, continue ton travail et surtout reste à genoux, je le veux, un chien ne se déplace qu’à quatre pattes. J’aime qu’un male est la gueule à hauteur de mon cul,

En disant cela, elle s’approcha,

– Flaire mon cul au travers du cuir, sens esclave, respire à plein poumons, elle ria et s’en alla.

Je jouais le jeu avec un certain plaisir, quand je la rejoignis dans le salon, elle ne daigna pas jeter un regard sur moi, d’un claquement de doigt, elle me désigna ses bottes, aussitôt, j’allais les embrasser, elle fumait une cigarette tout en buvant un verre,

– N’oublie pas les talons esclave, son ordre arriva comme un coup de fusil, puis tu iras me faire à manger,

– Maîtresse, puis je avoir une cigarette ?

– Certainement pas, en devenant mon soumis, tu renonces à tous les petits plaisirs de la vie, mais tu en auras d’autres, tu as déjà eu un aperçu, servir une jeune fille telle que moi, doit être un plaisir pour un vieux comme toi, dis moi que c’est un plaisir,

– Oui maîtresse, mais j’ai une femme, de plus c’est votre tante

– Et alors, quand elle reviendra, on jouera à l’oncle prévenant pour sa nièce. Tu obéiras à mon regard mais tu ne la baiseras plus que sur mon accord, et tu fermeras les yeux en pensant que c’est moi que tu baises. Chose irréaliste je te l’accorde, car jamais tu ne me feras ça, à mes yeux, à présent, tu n’es qu’un être inférieur, tu n’arrive pas à ma cheville, encore moins à mon cul. D’ailleurs même en présence de ma chère tante, tu auras toujours sur toi, ou dessous ton oreiller, une de mes culottes sales. Tu es content ?

– Oui maîtresse,

– Allez va faire la bouffe.

Elle se mit a table,

– Toi tu files dessous et tu me lèches les bottes, mon cul se mérite, tu boufferas mes restes, si je t’en laisse,

Quand elle eut fini de manger, elle m’ordonna :

– Lèche mon cul pendant que je fume ma clope,

Ce que je fis avec plaisir, malgré sa petite culotte, je réussis à introduire ma langue dans sa chatte

– Tu te débrouille bien esclave, mais t’ai-je autorisé cela?

– Non maitresse parvins-je à dire,

– Donc, tu es d’accord, tu mérites une punition?

– Vos désirs sont des ordres maîtresse

– Ta gueule, minable esclave, sort de la dessous et suis moi, à quatre pattes, comme tous les chiens de ton espèce

Elle m’emmena aux chiottes,

– Assis toi sous merde, et pose ton cou sur la cuvette,

Une fois installée, elle se déculotta et mis sa chatte à quelques centimètres de ma bouche

– Tu te démerdes pour tout avaler sans en mettre à coté, car après tu me serviras de chiotte n’importe où, alors, tu t’appliques ! Compris larbin ?

Je fis ce que je pus, juste quelques gouttes tombèrent dans la cuvette, elle me fit lécher ses poils avant de remettre sa culotte, puis elle se retourna et me regarda avec dédain :

– Même pas capable de boire correctement, dégage à la salle de bain finir le linge avant que je t’éclate ta sale gueule d’esclave.

Je lavais le linge quand j’entendis la sonnette d’entrée, puis ma nièce,

– Heysous merde, va ouvrir

Je m’exécutais. Elle me vit debout :

– A quatre pattes chien

– Mais maîtresse, je ne sais pas qui c’est,

– Moi non plus chien, mais je m’en fous, tu obéis c’est tout,

Une jeune et jolie fille se trouvait à l’entrée, elle me regarda de haut,

– C’est toi l’oncle pervers, conduis moi à ta maîtresse esclave !

Là je crus que j’allais pleurer, j’étais soumis par ma nièce et cette jeune fille allait aussi me dominer …

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