Retour de Samia
Samia, la femme de Laurent revint chez Zaïa en fin de matinée le dimanche matin, comme elle le lui avait annoncé. D’humeur exquise, elle s’enquit de son mari soumis et Zaïa lui dit qu’il était toujours attaché dans la chambre comme sur le mms qu’elle lui avait envoyé.
-Je peux le voir ? : demanda Samia.
-Bien sûr, : lui répondit Zaïa. Je le maintiens en place, depuis ce matin, attaché sur sa croix, depuis que je l’ai branlé. Je suis prête à te parier que je le fais rebander en quelques mots, signe qu’il sera toujours en condition de dominé.
-J’ai hâte de voir ça !
-Va dans la chambre, je vous laisse un moment à deux puis je te rejoins.
Samia se rendit dans la chambre. A la vue de sa femme, si belle et visiblement épanouie par une nuit d’amour et d’exultation des sens, Laurent se sentit encore une fois délicieusement humilié. Elle s’approcha, se planta droit devant lui et le mata. Il ne baissa pas les yeux comme avec sa Maîtresse mais il savait bien qui dirigeait désormais dans leur couple.
Puis Laurent tira sur les liens et essaya de faire comprendre quelque chose à Samia…
Les pinces à seins accrochées par Maîtresse Zaïa le faisaient beaucoup souffrir ainsi que sa longue immobilisation, attaché sur la croix. Mais sa femme ne semblait pas prête à l’entendre si tant est qu’il eut pu parler. A travers son bâillon, il essayait de faire passer un message qui restait inaudible.
Débriefing du mari soumis !
Samia fut rapidement rejointe dans la chambre par Zaïa. Comme cette dernière l’avait prédit, les deux femmes purent constater que Laurent venait de rebander.
-C’est encore plus fort que je le pensais, : dit Zaïa, à ma simple vue, ton mari bande et se soumet. Je vais lui rendre la parole et il va te confirmer tout cela.
Mais d’abord Maîtresse Zaïa s’approcha de son esclave et lui ôta une à une les pinces à seins. Douleur exquise fut bien obligé d’admettre en lui-même Laurent. Ensuite, elle lui enleva son mord à balle.
-Alors ma lope, raconte un peu à ta femme combien tu as aimé te faire dresser sévèrement par moi.
-Bien Maîtresse !
Il se tourna vers Samia et lui raconta tout ce qu’il avait subit depuis son départ, avec de larges détails. Il n’omit rien, de sa féminisation complète aux différents châtiments corporels inhérents au dressage, de ses humiliations, de ses tâches de soubrette, et de sa possession répétée par sa Maîtresse.
Maîtresse Zaïa reprit l’initiative :
-Maintenant répond par « oui Maîtresse » ou par « non Maîtresse » à mes questions. Tu peux parler librement, je t’assure. Tu as même intérêt à le faire !
Laurent était toujours inquiet quand Maîtresse Zaïa l’invitait à parler librement. En général, ça se finissait par des coups de fouet quelques soient ses réponses. Paradoxalement à cet instant, il était moins angoissé que la première fois que sa Maîtresse lui avait fait jouer à ce jeu risqué. Il y avait une raison simple à cela. Désormais, il était sous son entier contrôle, entièrement maté. Il ne craignait pas non plus de se présenter ainsi devant sa femme car il avait entièrement voulu ce qui lui arrivait. Désormais, sa vie serait d’être soumis à une femme et fait cocu par une autre, il le savait.
Désormais, soumis aux 2 femmes !
-Tu aimes obéir aux femmes ?
-Oui maîtresse.
-C’est ce que tu as toujours voulu, et là tu viens enfin de franchir le pas ?
-Oui Maîtresse !
-Tu as besoin qu’elles décident ce qui est bon pour toi ?
-Oui Maîtresse !
-Ça t’excite que les femmes abusent de toi et te traitent comme une petite salope vicieuse mais soumise ?
-Oui Maîtresse !
-Surtout en porte-jarretelles…
-Oui Maîtresse !
-Tu veux continuer à être soumis à moi ?
-Oui Maîtresse !
-Et que ta femme te fasse cocu ?
-Oui Maîtresse !
-C’est parfait, parce que ce n’est que le début. Samia et moi allons t’emmener très loin. Désormais tu seras un mari soumis à nous deux. Tu n’es plus dans un couple mais dans un trio. Le bon côté pour toi, c’est que tu as maintenant deux femmes. Malheureusement, pour toi tu ne décides de rien de ce que tu fais avec elles. Ta femme va continuer à s’envoyer tous les mecs qui passent, dans ton dos ou même sous tes yeux, pas vrai Samia ?
-Ah ça, tu peux compter sur moi Zaïa ! C’était trop bon ce week-end ! J’ai pris un pied d’enfer. Et je peux dire que ma jouissance était encore relevée par le fait de savoir mon mari cocu et soumis.
-Très bien, sur ces bonnes dispositions et avant de nous quitter jusqu’au prochain week-end, nous allons maintenant lui mettre sa cage de chasteté. Nous garderons une clé chacune, toujours sur nous autour du cou. Nous sommes les propriétaires exclusives de son sexe et de son éventuel rapport au plaisir…
La cage de chasteté
Maîtresse Zaïa se tourna vers Laurent et le regarda droit dans les yeux.
-Avant de te libérer, je vais donc te mettre ta petite queue en cage sous les yeux de ta femme. Nous serons les seules à pouvoir te libérer de ta chasteté imposée, à notre bon vouloir et le temps que tu nous procures un plaisir ou que tu te vidanges devant l’une de nous si tu as été assez obéissant et méritant. Mais avant, ton sexe va goûter à un dernier plaisir. Je vais te le donner de la façon la plus intense qui soit, pour que tu le graves bien dans ta mémoire, car tu ignores quand viendra le prochain…
Et ce fût sa femme Samia qui lui envoya le coup de grâce :
-Eh oui mon chéri, ton oiseau en cage je sais que ça va être très dur pour toi qui t’es toujours si intensément masturbé !
En aparté Samia avoua à Zaïa que son homme se branlait presque tous les jours, même en ayant une sexualité de couple régulière. Et Samia d’ajouter en regardant son mari :
-Désormais c’est moi qui vais avoir une vie sexuelle trépidante ! Et te frustrer fera partie de mon plaisir. Dis-toi bien que tu n’es pas prêt de me rebaiser, avec tous les étalons qui ne demandent qu’à me combler…
Encagé après une dernière éjaculation !
Samia s’assit sur un fauteuil de la chambre et regarda maîtresse Zaïa procéder. Elle s’approcha de Laurent, toujours attaché, les mains dégoulinantes d’huile pour que tout ne lui soit que volupté suprême. Sa Maîtresse tenait à ce que sa lope soumise n’oublie jamais ce moment entre eux trois, car le fait que toute la scène se passe sous les yeux de sa femme accroissait encore son intensité. Zaïa lui fit probablement la plus belle branlette de toute sa vie. Il poussait des cris de jouissance ce qui semblait aussi exciter sa femme au fur et à mesure que Zaïa lui pressait et lui malaxait le sexe, tirant sur ses couilles et effleurant à peine sa queue avant de la saisir à pleine main et de la branler vigoureusement.
Elle retardait son éjaculation au maximum pour qu’il n’oublie jamais cet extase. Enfin elle le fit venir dans une pulsion extrême de tout son corps. Ses liens se tendirent dans une convulsion de tout son corps, ses muscles se tétanisèrent et son sperme gicla abondamment puis continua de couler encore doucement dans les mains de Zaïa qui n’arrêta la traite de son soumis qu’une fois la dernière goutte de foutre expulsée. Et même s’il n’avait plus toute sa conscience, il lui sembla voir que sa femme se caressait devant la scène…
Encore sous le coup, totalement anesthésié, comblé par sa jouissance et soumis plus que jamais encore auparavant, il regarda Maîtresse Zaïa lui passer sa cage de chasteté. L’opération fut un peu douloureuse, mais pas tant que de savoir que désormais ses jouissances étaient soumises à autorisation…
Fin du week-end avec Maîtresse Zaia
-Une autre chose à laquelle tu devras t’adapter, : reprit Zaïa, c’est que tu ne porteras désormais comme dessous que des petites culottes. Quelles soient à moi ou à ta femme, tu les sentiras avant de les enfiler et d’aller travailler avec. Par exemple, ce soir tu vas rentrer avec sur toi la petite culotte que j’ai portée toute la journée. Mon odeur t’imprégnera autant que mes ordres ce week-end. Et demain, tu partiras au boulot en portant la petite culotte sale remplie des sécrétions vaginales de ta femme tellement excitée et bien baisée par son amant samedi soir !
Ainsi s’acheva pour Laurent son premier week-end offert à une Maîtresse par sa femme. Dans la voiture qui les ramenait à leur maison, il ne s’étonna même plus que sa femme soit installée au volant. Il savait qu’elle était à sa place désormais. Aussi ne fut-il pas surpris d’entendre sa femme lui dire sur le chemin du retour :
-Il vaut mieux que tu apprennes à aimer ta nouvelle vie, car nous n’en sommes qu’aux prémices d’une formidable aventure…
A SUIVRE…
c’est effectivement le récit qui me plait le plus j’attends toujours avec impatience la suite de ce récit c’est top
merci à vous Norbert.
La vie de Laurent se complique, à moins qu’elle ne se simplifie puisque ce n’est plus lui qui décide…de rien.
Merci pour votre commentaire qui fait plaisir !
Pris entre une maîtresse femme et une femme devenue maîtresse, Laurent n’est pas au bout de ses peines, ou plaisirs, c’est selon…
Merci pour cette histoire qui prend un magnifique tournure. Un autre récit était mon favori, désormais celle-ci est au top de mon classement.
Merci à vous pour votre commentaire qui fait plaisir !
Pris entre une maîtresse femme et une femme devenue maîtresse, Laurent n’est pas au bout de ses peines (plaisirs ?)