Le jouet de mon ex, femme dominante et de ma collègue (9)

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Sous le contrôle de ma collègue, femme dominante !

Nous mangeâmes rapidement en nous lançant des regards plein d’envie. Elle me massa le sexe avec son pied et me fit durcir dangereusement ! Céline me dit :

-allez allons dans mon bureau !

Nous nous levons. Je la suis puis elle ouvre la porte et me fait entrer. Enfin, elle entre à son tour et verrouille la porte.

Je me retourne face à elle puis je m’avance pour l’embrasser. Elle me pose la main sur le torse pour me tenir à distance et pose l’autre sur mon sexe.

-C’est bien tu bandes mais reste à distance et fais que ce que je te dis !

Puis elle va s’asseoir à son bureau et me dit d’avancer et de lui masser les épaules.

Je m’approche et commence à la masser.

– tu me masses avec ma veste et mon chemisier ! Je ne suis pas ta mère !

– excusez moi Maîtresse !

Massage pour ma collègue, femme dominante

Je commence à lui enlever sa veste puis son chemisier. Elle porte un soutien gorge push up blanc qui lui fait une des seins énormes et superbes.

Ensuite, je recommence mon massage. Elle soupire et laisse sa tête tomber en avant.

Puis elle me dit :

-ça suffit, montre moi ta bite vite !

J’arrête le massage, et me met devant elle. je descends mon pantalon et mon boxer et lui dévoile mon sexe bandé.

Elle me regarde et dit :

-bien au garde à vous ! Je te veux toujours, ainsi, en ma présence. Approche !

Elle pose un baiser sur mon gland et lui met un coup de langue en gémissant. Ensuite, elle me prend les couilles dans une main, les sert et gifle ma bite.

– A genoux chien ! Lèche ta Maîtresse !

Je suis surpris et je ne réagis pas alors elle me gifle de nouveau le sexe.

-J’attends salope !

Je m’agenouille et pose ma langue sur sa chatte.

– fais moi jouir et vite petite pute !

Alors je m’affaire de mon mieux et elle me prend les cheveux pour me coller à son sexe trempé.

-bois ! Je ne veux plus voir ou sentir une trace de ma mouille !

Je l’aspire la lèche de mon mieux et je l’entends gémir souffler de plus en plus vite. Enfin, elle sert les jambes autour de ma tête et pousse un petit cri.

Elle me repousse en souriant.

-dommage de ne pas pouvoir crier ici mais tout à l’heure peut être !

Elle pose son pied chaussé de talon aiguille sur mon torse et me repousse.

Mon boxer en offrande à ma collègue, femme dominante

Céline soulève mon boxer avec le talon et me dit :

-ça c’est à moi ! donne !

– quoi maintenant ?

– oui obéit à ta Maîtresse chien ! vite !

Alors je quitte mon pantalon et lui donne le boxer.

– bien bon chienchien et j’espère que tu vas penser à moi ce soir car en pantalon à pince sans boxer ca sera drôle de te regarder.

Elle se relève, se rhabille et commence à aller vers la porte en me disant de me dépêcher.

-j’ouvre ?

Je remets mon pantalon, ma chemise et ma cravate correctement.

Elle ouvre la porte, m’invite à sortir puis m’arrête et pose sa joue sur mon épaule. Enfin, elle me murmure à l’oreille :

-merci esclave ! vivement tout à l’heure que tu me fasses crier car tu me reconduis chez moi en voiture !

Puis, elle me lèche l’intérieur de l’oreille. Enfin, elle me fait sortir et me suis en disant qu’on va prendre un café et qu’ensuite, nous allons au taf.

Nous allons au bar et prenons ce café en collègue.

Pause cigarette avec ma collègue, femme dominante

Puis nous reprenons chacun notre poste de travail chacun de notre coté. Céline m’a ordonné  de ne pas de prendre de pose sans l’en avertir avant. Elle a posé sa main sur mon sexe à travers mon pantalon puis a ajouté :

-c’est bon d’être tous les deux sans dessous non ?

Et sans attendre de réponse, elle part en me snobant et en riant. Je me retrouve presque à bander dans mon pantalon de costume sans boxer. Je me concentre donc pour me calmer puis je vais reprendre mon poste.

La soirée se passe assez calmement. Il n’y a pas grand monde. Je décide d’aller fumer une clope. Ainsi, je préviens Céline que je prends une pose. Elle me répond qu’elle me rejoint. Nous arrivons ensemble dehors à l’espace fumeur pour les employés. J’allume une clope que je lui donne puis je m’en allume une.

De suite, elle vérifie si je bande, ce qui est le cas !

-bien ! J’espère que c’est parce que tu pense à moi ?

– oui évidemment.

– tant mieux et puis ça se voit bien avec ce pantalon.

– heu oui ! Je dois rester coller au bar pour le cacher.

Elle rit et me dit sans arrêter de me caresser le sexe :

-c’est bête ça alors que personne ne voit rien ! Mais je dois te dire mon chien que hier quand je suis rentrée chez moi, j’étais tellement frustré de ne pas avoir eu ton sperme que je me suis jeté sur mon mari sur le canapé. Je lui ai fait une pipe d’enfer. J’avais trop envie de sentir du jus bien chaud sur ma langue, et il a adoré et moi aussi hummm.

Fin de soirée au travail !

Ensuite, elle me prend ma clope, la jette par terre puis elle me dit que j’ai assez fumé. Elle m’ordonne de retourner au travail.

-non mais …

– non mais quoi chien obéis à ta Maîtresse !

Elle me serre la bite très fort et la gifle. Je me rends compte de la situation et je lui demande de m’excuser. Ensuite, j’ajoute que je suis à ses ordres. Et je repars au bar toujours en érection.

La soirée se termine. Je vais au vestiaire et en passant devant Céline, elle me dit :

-dépêche toi ! Je t’attends à l’entrée du parking !

Je fais le plus vite possible et la retrouve à l’entrée. Elle fume et me tend une fin de cigarette.

-tu aurais dû te presser plus ! Il ne reste presque rien de la clope que je t’ai allumée.

Après l’avoir remercié, je tire les 2 taffes qui restent.

En laisse avec ma ceinture !

Elle attrape ma ceinture, la défait et me la passe autour du coup. Ensuite, elle part en marchant et en me tirant derrière elle.

Elle me dit :

-ne mate pas mon cul ! ni mes jambes ! baisse les yeux et ne regarde que mes talons ! chien !

Nous allons à ma voiture. Je lui ouvre la porte et la regarde s’asseoir.

-je t’ai dit de baisser les yeux et de ne regarder que mes chaussures ! Pour ton insolence, tu quittes ton pantalon de suite !

Je regarde de droite à gauche !

-ici Maîtresse ?

– bien sur et vite salope à poil !

– bien Maîtresse !

Ensuite, j’enlève mon pantalon et lui donne. Elle le jette sur la banquette arrière et me dit que je suis bien ainsi. Ensuite, elle ajoute que ce sera ma tenue pour la conduire en voiture à partir de maintenant.

Je commence à marcher pour aller prendre ma place. Elle me dit de m’arrêter car cela mérite une photographie. Ainsi, elle sort son téléphone et me prend debout dans le parking sans pantalon, la bite au garde à vous.

Petit arrêt dans un coin discret !

-Allez monte ! On va pas rester là toute la nuit.

Je m’assois à la place du conducteur, démarre et lui demande la direction à prendre. Elle me dit de rouler en ville car elle ne sait pas encore. Ensuite, elle reprend une photographie.

-Allez, je les envoie à ta Maîtresse flo pour lui montrer comment tu es.

Puis elle me dit de trouver un coin discret car elle a envie de ma bite maintenant. Elle veut jouir fort et vite. Je me gare derrière un bâtiment en zone industrielle.

Elle me prend la bite, la serre fort puis elle me regarde dans les yeux et me dit :

-je veux que tu me baises fort ! Je veux jouir et crier comme une folle dans moins de trois minutes ! Si tu y arrives, je te fais jouir sinon tu verras bien !

Elle ouvre sa porte et me dit alors :

-le chrono tourne !

Je descends, me jette à genoux puis je la lèche. Elle gémit et me dit :

-j’ai dit baise moi chien !

Très frustré et penaud !

Je me redresse et la prend d’un coup jusqu’ à la garde. Elle s’accroche à moi et je la porte sur le capot. Je la baise comme elle dit en faisant tout mon possible pour la faire crier.

Elle me demande si j’aime baiser comme de cette façon. Je lui réponds que oui. Je vais le plus vite et le plus fort possible en me concentrant pour ne pas jouir. Et enfin, elle crie et me traite de chien de salope. Puis, elle se relâche sans me lâcher du regard et me demande si j’ai envie de venir.

Je réponds que je suis au bord.

– tu voudrais quand même pas venir en moi salaud ?

– j’adorerais.

– pauvre chou, tu crois au père noël !

-tu as mis plus de 3 minutes!

– vous êtes sure ?

– tu me traites de menteuse en plus ! retire toi chien !

– non Maîtresse ! je n’ai pas dit cela.

– je m’en fous ! retire toi et montre ta bite ! Sache que ce n’est pas ce soir que tu vas te purger ma salope.

Je me retire, frustré et penaud.

Ma collègue rentre chez elle

Elle regarde ma bite et me dit :

-elle doit être bien pleine et il doit avoir bon gout ton jus de salope.

-Mais je prendrais celui de mon mari en arrivant à la maison car j’ai très envie de sucer une queue et de boire le sperme qui en sortira ! dommage pour toi ! Mais tu vas me lécher et me nettoyer ! Je ne veux plus une trace de mouille. Mon mari ne doit pas avoir d’indice.

Je suis dépité mais je me penche et je nettoie ma Maîtresse en m’appliquant. Elle me dit d’arrêter quand elle est propre. Elle rentre dans la voiture et me dit :

-allez chauffeur à la maison et vite ! J’ai très envie de voir un vrai homme maintenant.

Pendant le trajet qui dure 15 minutes, elle me décrit comment elle va sucer son mari, boire son jus puis le refaire bander pour qu’il puisse à sa convenance à lui la prendre par le sexe ou les fesses ou les deux. Ensuite, elle ajoute qu’elle le nettoiera.

Bien sur en me racontant ceci, elle me branle ou joue avec ses talons. Enfin, nous arrivons. Elle m’ordonne de ne pas descendre car elle ne veut pas qu’on me voit comme cela dans sa rue.

Elle me fait une bise avec le coin de la lèvre et me chuchote sensuellement :

-hummm maintenant je vais enfin avoir un vrai mâle hummm j’en ai l’eau à la bouche. Je t’autoriserais bien à jouir mais je préfère que tu supplies flo. A demain ma salope.

Elle sort, me jette mon boxer et rentre chez elle.

Je démarre et rentre chez moi en faisant une halte pour me rhabiller.

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