Ma femme dominatrice et moi
Depuis une semaine, ma femme se refuse à moi. J’ai droit à des baisers et des caresses, mais elle me fait promettre de ne pas me masturber dans son dos. Nous aimons jouer. Ainsi, elle devient par moment ma dominatrice et moi son soumis. Cependant, nous sommes un couple uni, la cinquantaine tous les deux. Nous avons découvert nos fantasmes respectifs assez récemment. Ainsi, nous avons décidé de les mettre en pratique depuis environ deux ans.
Ma femme adore m’offrir à d’autres femmes et se régaler du spectacle. Je deviens alors un petit soumis avec lequel des maîtresses s’amusent. J’y trouve mon compte, j’adore ça. Le reste du temps nous sommes un couple ce qu’il y a de plus normal. Ma femme a une amie, Béa, avec laquelle elle est très proche. C’est une libertine dominante qui nous organise des soirées coquines chez elle. Dernièrement, ma femme m’a fait cocu avec un mignon jeunot de 25 piges pendant que Béa me fouettait devant elle et son amant.
Nouveau fantasme de ma femme dominatrice
Ma femme a manifesté le désir de refaire une soirée BDSM, mais avec deux gars. Elle veut être prise, soumise, baisée devant moi, pendant que Béa jouera la maîtresse de cérémonie.
– c’est pour ce week end, m’annonce-t-elle, ce vendredi matin au petit déjeuner. Nous allons chez Béa pour la soirée que j’avais demandée, tu te rappelles. Je vais faire la grosse salope, tu seras notre soumis cocu. Il y aura une surprise.
Elle me sourit elle n’en dira pas plus. Je suis aux anges, excité ; illico je bande, elle s’en aperçoit et rigole.
Samedi en soirée, Béa nous accueille donc chez elle, une superbe maison avec une pièce équipée pour soirées coquines. Elle nous embrasse sur la bouche, nous roule une pelle appuyée à tous les deux.
Elle nous mène au salon et là, surprise, on retrouve Cathy, une autre amie de ma femme avec laquelle nous avions cet été joué une petite soirée, avec moi dans le rôle du soumis évidemment.
– eh oui, me fait elle, comme on se retrouve. Je suis la surprise de la soirée, ta femme m’a demandé de participer. Je vais m’occuper de toi avec Béa.
Sur ce elle vient nous embrasser. Tous les quatre nous rediscutons un peu du contenu de cette soirée BDSM que nous souhaitons vivre. Béa sera la dominante, elle a invité Steve, le jeunot qui avait déjà fait vibrer ma femme, ainsi que son copain Nico. Ils savent quel est leur rôle. Je serai le cocu soumis, à la merci de Béa et de Cathy, pour la durée de la soirée. Ma femme s’agite et précise qu’elle souhaite vivre une expérience nouvelle pour elle. Ainsi, elle veut une domination soft de la part de ces deux mâles, devant moi.
Début de la soirée BDSM
Béa lui dit d’aller se préparer, elle lui donne un collier en cuir noir qu’elle devra mettre autour de son cou, pour marquer son statut de soumise. Comme l’autre fois on m’ordonne de mettre ma cagoule de soumis, mon collier et ma laisse. Béa et Cathy vont se préparer.
Elles reviennent bientôt. Béa a revêtu une combinaison en cuir un peu particulière. Son cul et sa chatte sont bien dégagés, ainsi que ses jolis seins. Cathy porte une nuisette bleue, transparente et un string. Ma femme revient se présenter, en soutien gorge et string noirs. Quant à moi, je suis à poil hormis mon collier et ma laisse. Ensuite, Béa nous emmène dans sa pièce aménagée, un immense lit se trouve au milieu, recouvert d’un drap noir, la lumière est tamisée, musique relaxante.
Elle m’ordonne d’aller m’agenouiller dans un coin. Ma femme se met debout au pied du lit, Cathy s’installe dans un fauteuil. Béa va chercher les « garçons ». Ils attendaient dans une pièce à l’étage. Elle revient avec les deux mâles, Steve est un gars mignon, cheveux noirs, svelte et musclé. La surprise vient de Nico, c’est un superbe athlète, la cinquantaine. Ils sont en caleçon, Béa les tient par la main et les amène devant ma femme.
– Steve, toi tu la connais déjà cette chienne, Nico tu vas la connaître. Je veux que vous la baisiez ce soir comme une salope, devant son cocu de mari. Allez y franchement, faites la bien jouir. C’est moi qui dirige, tant que je ne vous dis pas d’arrêter vous y allez. (elle a mis un safeword au point avec ma femme et moi. Si l’un de nous deux prononce ce mot on arrête)
Elle s’écarte et laisse le champ libre.
Premières approches
Steve s’approche, ainsi, de ma femme et commence à la caresser, Nico passe derrière elle et lui prend les fesses, Steve s’attaque à sa poitrine. Ils se collent à elle, elle soupire d’aise. Cathy et Béa viennent vers moi, je bande dur déjà. Béa me prend par la laisse et me fait agenouiller devant le lit. Les garçons ont installé ma femme sur le lit, à genoux. Ils sont debout devant elle et sortent leur sexe. « Suce » lui fait Steve. Il la prend par la nuque et lui colle sa bite dans la bouche. Nico lui caresse la joue avec la sienne. Les gars sont bien membrés évidemment. A tour de rôle ils lui donnent leur queue à sucer, elle s’active en me jetant des petits regards.
Nous sommes très complices dans ces moments là, j’ai également une confiance totale en Béa. Cathy, pour qui c’est une première, commence à être bien excitée, elle se trémousse et sa respiration s’accélère. Je regarde, passif mais heureux, ma femme s’activer sur ces deux bites dressées. Les gars suivent la consigne et commencent à la malmener un peu. Ils lui enlèvent le soutif et le string. Steve lui fourre de nouveau son membre dans la bouche et lui imprime le rythme avec sa main dans la nuque. De temps en temps il lui met une claque sur les seins. Nico, à genoux derrière elle lui caresse la chatte, lui claque son joli cul. Elle ondule de plaisir et d’excitation.
Béa tire sur ma laisse, je me relève ; Cathy me met une paire de menottes, je dois lever les bras et je suis attaché au plafond, juste au pied du lit. Une barre d’écartement est fixée à mes chevilles.
Encouragements du cocu
Ma femme est couchée sur le dos maintenant, cuisses ouvertes. Steve est en train de la lécher, deux doigts dans son minou. Nico s’est positionné au dessus de sa tête et lui a enfourné sa grosse queue. Il est en train de lui baiser copieusement la bouche. Elle se tortille dans tous les sens mais les garçons sont intraitables. Nico lui immobilise les poignets, Steve les chevilles et ils profitent allègrement de son corps. Elle grogne et crie, son plaisir monte.
Cathy est derrière moi, elle ne perd pas une miette du spectacle offert, elle me pince partout, me pétrit les nichons et les fesses. Béa ligature mes couilles et mon sexe avec une cordelette, comme d’habitude. Puis elle se saisit d’une cravache, tire sur le 1,5 mètre restant de cordelette. Je dois avancer mon bassin et là elle me cingle la verge tendue. Un sourire au lèvres elle me dit :
– elle va se faire défoncer ce soir. Encourage un peu mes étalons, dis leur de bien baiser cette salope.
Timidement je fais :
-baisez la bien cette salope !
Les paroles s’étranglent dans ma bouche.
Béa tire brutalement sur la corde, j’ai l’impression qu’elle va m’arracher le sexe. Elle maintient la tension et me cingle violemment le gland avec la cravache. Ça fait mal !
– je veux que tu les encourages, j’ai dit ; mieux que ça !
Submergé par la honte et la douleur je crie :
– oui, allez y, baisez la bien cette salope
– c’est mieux le cocu, me fait Béa dans un sourire.
Elle relâche la cordelette et vient me palper le sexe et les couilles, de temps en temps elle presse et une onde de douleur remonte alors dans mon bas ventre ; elle me sourit et me lèche le bas du visage.
Tout le monde s’amuse
Cathy me met des claques retentissantes sur le cul, Béa s’amuse de nouveau à tirer sur la cordelette, elle va m’arracher les couilles la salope. Je regarde ma femme subir les assauts des deux jeunes mâles. Ils ont inversé, elle suce Steve, Nico lui bouffe la chatte, je pense qu’elle a déjà bien joui.
Béa donne la cordelette à Cathy qui s’en donne à cœur joie, puis les filles prennent un fouet et un martinet. Cathy s’attaque à mon dos et à mes fesses avec le martinet ; Béa me fouette le ventre et la queue. Ma femme crie de plaisir. Nico est en train de la baiser en missionnaire, cuisses bien relevées, Steve lui promène sa queue sur le visage, elle la gobe tant qu’elle peut, la cochonne. Les coups me cuisent le corps, mais j’aime. Ensuite, les femmes se déchaînent sur moi, le spectacle offert sur le lit est super excitant. Le bassin de ma femme ondule sous les coups de boutoir de Nico, Steve enfonce son sexe jusqu’à la garde, il lui pince les mamelons en même temps. Plusieurs fois ils se passent le relais, de temps en temps ma femme regarde vers moi.
Durant cette soirée BDSM, elle se soumet à Béa et aux deux mâles, elle veut que je regarde bien comme elle se fait prendre.
– alors le soumis, ils la prennent bien, toi on va t’en mettre aussi, cocu, fait Béa bien fort pour que tout le monde entende, surtout ma chérie.
Bon déroulement du scénario
Et les coups reprennent de plus belle. Cathy tire sèchement sur la corde, mon sexe est étiré dans tous les sens, Béa me fouette le dos. Elle s’arrête et demande à Cathy de bien me faire cambrer en tirant sur la cordelette. Par derrière Béa me saisit la verge et me branle furieusement, en serrant très fort. Une quinzaine d’aller retour et elle me lâche. Cathy relâche aussi la tension. On me fouette de nouveau puis elles recommencent, Béa me branle de nouveau très fort mais pas longtemps. Je deviens fou de plaisir et de frustration. Entre temps elles me fouettent et échangent leurs places. Elles rigolent de ma déconvenue après chaque branlette.
Ma femme est prise en levrette maintenant par Steve. Comme la dernière fois il alterne les mouvements lents et les coups de reins rapides et violents. Ma chérie a le sexe de Nico au fond de sa gorge. Il lui baise littéralement la bouche, les garçon me regardent en train de me faire fouetter, ça les excite salement, ils redoublent d’ardeur.
Mes couilles sont gonflées, rouges, maintenues par la ficelle. Ma verge va exploser, Béa vise sans arrêt le gland avec le bout du fouet, Cathy me maintient cambré en tirant dessus. Puis je subis de nouveau une branlette. « interdit de jouir » me signifie Béa.
Sur le lit ma femme hurle sans s’arrêter « s’il vous plaît, non, non, oh oui, oui, encore, encore ». Béa me regarde au fond des yeux, me sourit et me fait un petit clin d’œil. Tout est OK, conforme au scénario prévu.
Plaisir et excitation au paroxisme
Elle ordonne à Cathy de me sucer, ça fait du bien, mais elle y va fort ; j’ai peur de jouir.
Béa va parler aux garçons, ils lâchent ma femme qui s’allonge et reprend un peu ses esprits. Béa la déplace de telle sorte qu’elle puisse fixer la cordelette au poignet de ma chérie. Les garçons la positionnent pour que la corde soit bien tendue et tire un max sur mon sexe. Puis Steve recommence à la baiser, Nico pose ses couilles sur et dans sa bouche, lui remonte les jambes. Chaque coup de rein du garçon se transmet au poignet de ma femme, elle s’agite de plus belle et involontairement elle m’étire mon sexe. Béa et Cathy sont contentes de leur invention, ça les fait bien rire. Puis avec un petit martinet en cuir elles me fouettent à tour de rôle ma queue.
– les garçons , vous la baisez encore un peu, vous lui jouissez dans sa bouche quand vous avez envie, ordonne Béa.
Le plaisir submerge alors ma femme, elle donne de violents coups sur la corde.
– elle va t’arracher les couilles, se marre Cathy et elle m’assène une suite rapide de coups de martinet sur ma tige.
Celle ci commence à bleuir sous le traitement. Béa s’approche et me triture les tétons, elle les pince et les fait tourner entre ses doigts, je gémis de douleur et de plaisir mêlés. Cathy s’acharne sur ma bite.
Pour rien au monde je voudrais être ailleurs que dans cette soirée BDSM. En effet, mon plaisir et mon excitation sont au paroxysme.
Pareil, texte piqué sur HDS, du même auteur.
Ayez au moins l’honneteté de dire de qui vous le tenez