Arrivé chez Maîtresse Isabelle
Warrita arriva à 10 heures précise à l’appartement de Maîtresse Isabelle. Durant tout le trajet, elle avait pensé à ces fameux trois jours et à tout ce que sa sévère, mais juste Maîtresse avait pu lui préparer. Warrita est un jeune étudiant soumis et connait Maîtresse Isabelle depuis 3 ans.
Maîtresse Isabelle désire qu’il devienne sa soumise parfaite, sa bonne à tout faire. Ainsi, elle l’a baptisé d’un nouveau prénom, très féminin et très dégradant : Warrita.
Elle savait qu’elle n’était pas encore une soubrette idéale et elle faisait beaucoup d’effort pour contenter sa Maîtresse.
Elle était prête à faire de gros efforts et selon elle, le piercing de ses tétons représentait déjà un signe de soumission que sa Maîtresse devrait apprécier.
Maîtresse Isabelle l’attendait comme d’habitude, magnifique, femme dans toute sa splendeur et qui représentait pour Warrita l’autorité absolu.
Pendant qu’elle léchait ses bottes en signe de soumission, Warrita enregistrait les ordres de sa Maîtresse.
-Tu prends tout ce que tu as dans ta pièce. Cela sera l’occasion de mettre un peu d’ordre dans tes affaires. Ensuite, tu les mets dans le coffre de ma voiture. Cependant, tu gardes un foulard et une paire de menottes pour la route. Quand tu es prête, tu te mets à genoux dans le coin du vestibule, les mains sur la tête….Ah, j’oubliais, passe déjà tes sous-vêtements féminins et essaye d’avoir un peu bon gout pour une fois.
En route pour un séjour de trois jours !
Vers 11 heures, tout est chargé et j’attends dans le coin. J’ai un peu mal au ventre quand je pense à tout ce qu’elle peut me faire pendant ses 3 jours.
-Warrita, viens ici, à genoux devant moi !
Maîtresse Isabelle rajoute un collier de chienne noire et commence à jouer avec les tétons de sa soubrette.
-Mais, c’est vrai qu’ils deviennent tout beaux et dures ses tétons. Que j’aime jouer avec, et les sentir durcir….je vais encore les travailler pendant ces quelques jours !
J’ai mal, mais je me tais et je n’ose rien dire. En effet, elle serait capable de me faire traverser la rue et me faire attendre à côté de la voiture, la poitrine à l’air et un bâillon boule en bouche, cadenassé dans le cou. Cela doit être très compliqué d’essayer de cacher soit le bâillon, soit ses tétons en même temps.
Prenant mon silence, pour de l’acceptation, elle accroche deux poids aux anneaux et referme ma chemise.
-Allez en route, tu n’as même pas idée de ce qui t’attends. Tu verras les progrès que l’on peut faire en 3 jours.
Menotté et bâillonné pour le trajet en voiture !
Arrivés à la voiture, elle me menotte les poignets dans le dos , me bande les yeux et m’installe sur le siège arrière. Ensuite, elle referme sur moi la ceinture de sécurité.
-Alors, bien installé Warrita ?
-Oui, Maîtresse.
-Maîtresse comment ?
-Oui, Maîtresse Isabelle….
Déjà agacée et contrariée par cette oubli, elle pousse dans ma bouche un bâillon boule. J’essaye de le refuser en n’ouvrant pas ma bouche. Une main ferme tord mon téton jusqu’au moment où j’ouvre en grand ma bouche. Elle en profite pour mettre toute la boule en caoutchouc et le serrer étroitement dans ma nuque.
-Cela commence bien, tu vas vite comprendre où est ton intérêt…tu peux me faire confiance.
-Je vais te dégouter des bâillons. Je veux te voir pleurer à la fin du séjour à la seule vue d’un bâillon dans ma main, petite bavarde impolie.
Elle me fixe un large essuie au-dessus de tout pour éviter que je salive dans sa belle voiture.
Maîtresse Isabelle et sa soumise Warrita arrive vers 13 heures dans la superbe villa.
La voiture rentrée dans le garage, Maîtresse Isabelle fait descendre sa soubrette toujours menottée et bâillonnée.
-Suis-moi, je vais te montrer ta chambre !
Elle accroche la laisse au collier et entraine Warrita vers l’étage.
Confiscation de toutes les affaires de Warrita
Arrivé dans la belle grande chambre, Maîtresse Isabelle libère sa soumise et lui confisque toutes ses affaires.
Montre, téléphone, habits masculin…tout disparait dans un sac que Maîtresse reprendra avec elle.
-A partir de maintenant, je suis ta seule référence. C’est moi qui choisit l’heure, tes habits, et si tu peux téléphoner et à qui, mais je ne pense pas que tu auras l’occasion de beaucoup parler…
Maîtresse lui montre sa chambre. Elle est magnifique. Un grand lit, un cabinet de toilette privé, un fauteuil avec une table et une immense penderie. Une baie vitrée donnant sur le devant de la maison et pouvant être occultée par une épaisse tenture.
Warrita doit ranger toutes ses affaires. Ses différents habits dans la penderie ; cordes, baillons, cravaches, martinet, menottes bien en vue sur la table de la chambre.
-Il fait beau, et je veux que tu fasses le jardin. Tu enlèveras toutes les mauvaises herbes. Tu n’es bonne qu’à cela, de toute façon. Prépare-toi rapidement, je t’attends.
-Tant que j’y pense, autant commencer tout de suite. J’ai décidé de te donner chaque jour deux pilules contraceptives. Elles sont bourrées d’hormones féminines. Tu verras, cela te fera le plus grand bien. Tu deviendras plus gentille, plus douce, plus aimable. Tes seins et ta peau deviendront plus sensibles, plus gracieuses … tu ne penseras plus comme un macho et tes érections diminueront….Aussi, tu seras plus câline et plus heureuse dans cet état d’esprit et tu supporteras mieux toutes les contraintes morales et physiques que je vais t’imposer. De plus, tu ne penseras plus à te révolter ou à essayer de me manipuler. C’est vraiment pour ton bien, alors prends la, sans rechigner et en remerciant à chaque fois ta Maîtresse qui ne veut que ton bien être.
Début de la féminisation pour le jeune étudiant soumis
Elle prend une plaquette, et me fourre une pilule dans la bouche, que je dois avaler devant elle. Trop surpris pour protester, je l’avale en me disant que je pars peut-être pour un voyage sans retour…mais que je pourrais toujours, en discutant, arrêter le processus !
-La première d’une longue série…j’aspire voir les transformations !
Suivant les ordres de sa Maîtresse, Warrita doit s’habiller avec des sous-vêtements féminins, bas, corset ultra serré, petite culotte et soutien-gorge. Une blouse et un pantalon de toile, pour cacher le tout.
Warrita commence le travail qui constitue essentiellement à désherber les endroits que Maîtresse Isabelle lui a montré.
Maîtresse lui a donné pour l’après-midi une grande bouteille de limonade tiédasse dans une bouteille en plastique. Une limonade constituée d’eau et de secrétions plus intime de Maîtresse.
Warrita a reçu l’ordre de tout boire, jusqu’à la dernière goutte et de travailler jusqu’au moment où Maîtresse Isabelle jugera son travail et son application suffisante.
Maîtresse Isabelle quitte la villa et laisse sa soubrette à son occupation.
Enlever les herbes, porter la brouette, la vider et recommencer, recommencer sans fin…. De plus le corset et les sous-vêtements compliquent le travail. Warrita est épuisée et écœurée de devoir boire le mélange de sa Maîtresse. Elle pourrait jeter le contenu, mais désobéir et puis mentir à son Maître est impossible. Maîtresse Isabelle le verrait tout de suite et la punition serait encore plus terrible.
Le soir tombe, quand enfin Warrita entend le bruit de la porte de garage.
Diner servi pour Warrita !
Maîtresse, plus souriante et plus belle que jamais, fait son apparition et inspecte le travail de sa soumise jardinière.
Contente du travail, elle promet que Warrita ne sera pas trop punie ce soir.
En la regardant dans les yeux, elle lui demande :
-Alors Warrita, tu as bu toute la bouteille?
-Oui, Maîtresse Isabelle, elle était délicieuse.
Elle me croit car si je mens, elle le voit tout de suite.
-Bien, je vais te préparer pour la nuit…
Il n’est pas encore 8 heures du soir, et je frémis en entendant ces mots. La nuit risque d’être longue.
Warrita prend une douche froide puis passe sa nuisette et enfile une petite culotte en dentelle comme l’a souhaité sa Maîtresse. Ensuite, elle descend pieds nus dans la cuisine où son souper l’attend dans une écuelle. Du pain écrasé dans du lait et du fromage blanc. La pilule est posée à côté de l’écuelle.
-A 4 pattes, les mains dans le dos. Tu gobes la pilule et tu lapes tout comme une chienne et tu ne laisses rien. Tu m’as bien compris !
Tristement, Warrita s’exécute et mange sa bouille sous le regard sévère de sa Maîtresse.
Pour sa première soirée, Maîtresse Isabelle préfère que Warrita s’habitue à sa chambre.
Attaché et abandonné dans un fauteuil !
Elle attache solidement sa petite soubrette dans le fauteuil de sa chambre.
Pieds et genoux liés ensemble. Les deux mains liées aux bras du fauteuil.
-Comme promis, voici le bâillon.
Elle roule en boule un foulard qu’elle m’introduit dans la bouche qu’elle fixe avec un autre noué dans ma nuque.
Je roule des yeux effarés, je ne veux pas rester comme cela toute la nuit. Aussi, je grogne, je gémis, j’essaye de bouger pour lui montrer mon désappointement. Mais, il est déjà trop tard, complètement immobilisé, incapable de parler, je ne peux que subir la volonté de Maitresse.
-je sais Warrita ce qui te manque, ne t’inquiète pas, je pense à tout.
Avec un grand sourire, elle fixe deux pinces à mes tétons. Dans un dernier effort pour me faire comprendre, je lui lance des regards agressifs ou implorants.
-Mais que des méchants yeux…je ne veux plus voir des yeux comme cela.
Aussi, elle prend un foulard et me bande les yeux…
– Essaye de te reposer un peu, si tu es très sage et si je n’entends rien, mais absolument rien, je viendrai en allant me coucher te mettre au lit.
– Alors, heureuse ma Warrita ?
– grmmbl , mmmmbb, grmmn….
– Je vois que tu n’as pas envie de parler et que tu ne fais de nouveau aucun effort pour articuler. Je te laisse seule. Reste bien sage et réfléchis à ce que tu pourrais faire pour me faire plaisir demain.
-Je suppose que tu ne verras pas d’inconvénients à ce que j’éteigne la lumière…
Préparé pour la nuit
J’entends un clic, la porte se fermer, le bruit d’une clef dans la serrure. Je suis tout à fait dépendant d’elle. Elle m’a promis de revenir si j’étais sage. Le temps passe lentement, je perds la notion du temps. Ma poitrine ne me fait plus mal mais je sais que la douleur sera très forte quand elle enlèvera les pinces. Parfois elle les enlève d’un coup, parfois en les arrachant tout doucement, parfois en les faisant tourner…tout dépend de son humeur.
Maîtresse me touche, j’ai dû m’assoupir. Je n’ai aucune idée de l’heure.
-Tu vois que tu peux être sage quand tu Allez, il est temps de dormir.
Une douleur déchire ma poitrine ; elle vient d’enlever les pinces.
Je me tords de douleur et je l’entends rigoler.
Elle me libère et me fait passer par les toilettes.
-N’oublie pas de faire tes besoins assis comme une fille bien propre ! Warrita, pour la nuit je te mets un bâillon sur la bouche et un foulard sur les yeux. Je fais un nœud spécial et une photo avec mon téléphone. Si demain, je vois que quelque chose a bougé, de ta faute ou pas, je t’assure que tu passeras la pire journée de ta vie. Je te mettrais simplement nu et menotté dans le coffre de ma voiture sur le parking au soleil pour toute la journée. Compris ?
Je suis sûr que les menaces seront d’application et donc Je me couche dans le lit et me laisse faire docilement. Puis avant de partir, elle me pince gentiment la joue. Incroyable….quelle ironie.
-Tu verras, demain on va bien s’amuser…Bonne nuit ma Warrita.
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