DRESSAGE DE MON SOUMIS

Une apprentie soubrette en vacances (6)

Début de séjour à Marbella

Warrita, apprentie soubrette, passa quelques journées de vacances dans le magnifique appartement de Maîtresse Isabelle en Espagne, à Marbella. Mais tout fut très loin  de  ce  que Warrita  avait imaginé !

Du  début,  jusqu’à  la  fin…

A Marbella, en  début d’après-midi, Maîtresse Isabelle attache solidement sa  soubrette sur  son  lit. Puis,  elle pose  à côté  d’elle  son  vibro.

-Voilà, mes deux sexes toys sont  prêts sur  le lit. Soleil, piscine, plage, tapas, pour moi…je  ne  reviendrai  que  tard  ce.  Je  vous  ai mis l’un  à  côté  de l’autre  et  j’espère que vous serez sages. Je prends  une  photo  de vous deux, et celui  qui  aura le moins  bougé  pourra passer la nuit  avec moi. Le  perdant  passera  la nuit  dans  le placard… J’espère  que c’est  bien compris !

Warrita  gémit de misère et  ses  yeux se mouillent  malgré elle  au plus  grand  plaisir de sa terrible Maîtresse. Etre traitée  comme un  objet et savoir  que l’on  est  presque  condamnée à perdre et  difficile à  accepter. De  plus, warrita n’est  pas  encore sortie  une  fois de l’appartement  depuis  son arrivée en  Espagne.

Un clic, un flash,  une  bonne dernière paire de gifles….Une porte qui se ferme, des bruits de talons dans le couloir…

Le silence…l’après-midi va être longue et warrita n’ose pas envisager la  nuit.

Attaché sur le lit pendant toute l’après-midi !

Elle se concentre mentalement  sur  l’image de sa Maitresse adorée pour rendre sa punition plus supportable.

L’après-midi, puis  la  soirée  passe doucement,  lentement. Warrita n’a  aucune idée de l’heure  car Maitresse  a pris soin de  fermer les épaisses tentures.

Au  milieu de la  nuit, Maitresse Isabelle  revient  enfin…Warrita s’est  assoupie  et sa position a  légèrement  changé.

-Ma pauvre ..même pas capable  d’attendre  ta  Maîtresse  pendant  quelques  heures. Tu as  bougé, tu as donc  perdu…

Sans  aucun  ménagement,  elle  délie  warrita  et  la  tire  par  l’oreille jusqu’au  toilette où elle l’oblige à  faire  ses  besoins  assise devant  elle  comme une petit  fille.

Ensuite, elle la lie  habilement  en  position  hogtied  puis la  couche sur le  matelas placé au fond de la garde-robe du couloir.

-Maintenant, tu me laisses dormir. Tu  as suffisamment  été méchante aujourd’hui. A  chaque  moindre petit  bruit  que  j’entends je  prolonge ta position  d’une  heure. Tu   verras  que bientôt tu pleureras  rien  qu’à  la  vue d’un  bout  de  corde ou  d’un  bâillon…. Le  vibro est bien plus sage et pratique  que toi….

Warrita est mécontente !

D’un  geste sec,  elle me  met  un bâillon  boule  qu’elle serre  violemment dans ma nuque et  referme la  porte  de la  penderie.

Seule, impuissante, Warrita se demande combien de temps sa Maitresse va la laisser, rangée dans la penderie.

Quelques  gémissements de plaisir provenant de la chambre lui  font  comprendre  que le vainqueur du  concours et son instigatrice en  profitent  sans retenue aucune.

Ce matin,  habillée  une  fois  de plus en  petite  soumise, warrita  montre son  mécontentement à  Maitresse Isabelle. Elle  obéit  moins  vite  aux  ordres, elle ne  sourit  pas, elle traine les  pieds…

Maitresse  trouve son comportement et  ses réflexions  parfaitement idiotes et  déplacées.

Aussi, après lui  avoir lié les  mains  dans le dos et  les jambes l’une contre l’autre, elle lui fixe sur la tête de grandes  oreilles de  lapin.

-Allez, warrita ! Saute comme un brave lapin ! Bouge-toi ! Saute, amuse-toi. Les vraies salopes ne savent faire que cela, sauter.

Mais juché  sur  ses  hauts  talons,  warrita n’ose pas  bouger.

-Bien, je vais te faire danser même  si  tu  n’en a  pas  envie !

Punition pour Warrita

Ensuite, Maitresse  lui  passe un  collier  autour  du  cou. Tout  en  sermonnant sa  soumise,  elle la  maintient fermement  devant  elle  à l’aide  du  collier.

Elle fixe  deux  pinces  sur  le bout  des  tétons  de warrita, puis  la  bâillonne rapidement  avec  un  foulard. Maitresse Isabelle fait tourner  encore les pinces et  les  resserre  avant  de relâcher sa soumise dans la  pièce.

Ses jambes liées  ensemble, warrita  ne  peut  faire   que  des petits  bonds et  des  soubresauts  pour  essayer  de  décrocher  les deux  terribles pinces d’acier  qui lui  lancent  des  éclairs de douleur  dans toute la poitrine.

-Quand on se comporte  comme  une  idiote,  on en  supporte les  conséquences. Tu  passeras  ta  journée  comme cela pour  bien te  faire  comprendre qu’ici  tu  n’es  rien d’autre  que ce  que  je  désire  que tu sois. Je suis trop  gentille  avec toi,  et  à  chaque  fois tu  en profites!

Si  cela  continue,  dès que l’on rentre à  Bruxelles, je t’inscris  dans une  école  spéciale pour  soubrette. Tu verras comme  ton  caractère va changer. Durée minimum, 6 mois  plus  les  rallonges pour  toutes  les  punitions….là, tu  vas  me  regretter mais je retrouverai  enfin une  vraie  petite soubrette soumise et  pas une petite enfant  gâtée  que je dois  constamment corrigée.

Transformation de Warrita en petite lapine !

Maitresse Isabelle  sourit en voyant  tous  les  efforts déployés par  son apprentie soubrette pour se  déplacer. Elle  fixe  une  laisse au collier  da sa  « lapine ».

-Allez warrita,  en  route  vers  la plage. Toi qui  voulais  tant  voir  la  mer. Sautille jusqu’à  ma  voiture,  tu  feras  le voyage dans  le  coffre. Tu  verras  comme tu  vas  te plaire sur  la  plage ou  bien  sur  un  parking d’autoroute. Je  n’ai  pas encore bien  décidé ce  que  je  vais faire de toi…

Tétanisée de peur, de honte et de douleur  Warrita  refuse  d’avancer.

-Décidément, tu ne sais  pas  ce  que tu veux !   Pour une fois  que  je  te propose de  sortir pour profiter  du  la  vue  et de la  mer. Si  tu  veux  rester ici, pour moi  c’est  pareil,  mais  je  t’attache dans  le  lit. Il  n’est  pas  question que tu  te promènes  dans l’appartement en faisant  des  bonds  toute la  journée. C’est  un endroit calme  ici.

Warrita  supplie du regard sa  Maitresse  tout  en se  trémoussant sur  place.

D’un  geste précis,  Maitresse Isabelle fait  glisser  le bâillon et  libère la  bouche de sa soubrette.

-Je vous en prie  Maîtresse, laissez-moi  vous  attendre dans la chambre  le temps  qu’il faut.  Je  serai  sage  et ne ferai  aucun bruit.

-Bien, comme tu voudras,  mais  ne  vient  pas  te  plaindre  après.

Attachée toute la journée !

Warrita  se  retrouve rapidement  attachée  sur  son  lit dans  une position  assez  confortable  pour  passer  la  journée.

-Surtout ne  bouge  pas  ta tête, je veux  voir tes  oreilles de  lapin  ce  soir  quand  je rentre. Et de meilleure  humeur !

Maitresse Isabelle fait  tourner  plusieurs  fois les  pinces, elle les  enlève,  les  remets,  les  resserre.

-Souris ! je  veux  une soumise  heureuse !

Warrita  arrive à sourire à  la plus grande satisfaction de Maitresse Isabelle.

Puis elle remet  le  bâillon avant  de  les  enlever  lentement.

Sans  plus  un regard pour  sa  pauvre  soubrette,  Elle sort.  Une  magnifique  journée dehors l’attend.

Retour à Bruxelles

Dans  l’avion  du retour, Maitresse  Isabelle, plus  belle  et  plus  bronzée  que  jamais, attend  sur  son  siège  que  Warrita  la rejoigne après  avoir rangé  les bagages.

-Alors, ma Warrita chérie d’amour, que  pense-tu de l’Espagne ?

-Un magnifique  pays,  Maitresse Isabelle…

Warrita  est  toute  pâle.  Ses tétons ont  doublé  de volume  et le  moindre mouvement  lui rappelle que  Maitresse, ce  matin, lui  a introduit  un  gode dans  l’anus  pour  le  voyage.

Sa  mâchoire est  douloureuse d’avoir été bâillonnée  pendant de longues  heures

Mais, dans  sa  petite  tête de soubrette,  warrita  pense  qu’elle  n’a  rien vu  de  l’Espagne  pendant ces trois  jours. Elle n’a  connu  que  la  douceur  des  pieds  de  sa  Maitresse, le  gout  de  son  clitoris  et  la  joie de lui  prodiguer  de  longs  massages, parfois  bâillonnée, parfois avec  des  pinces  aux  seins  quand  elle manquait  d’ardeur.

Pour toute  visite,  elle ne  connait que  le  fond de  la garde-robe, la chambre à  coucher  de  sa  Maitresse et  la cuisine qu’elle  a  consciencieusement entretenu  chaque jour.

De la  piscine, elle ne connait  que  les  toilettes pour  femme  ou Maîtresse  Isabelle l’a  souvent mise  à  genoux en  lui  faisant  porter  son  essuie pendant  qu’elle prenait des bains.

Pour  tout  paysage, warrita  n’a  vu  que le  fond  du  coffre  de  la  voiture  car Maitresse  Isabelle  ne  souhaitait  pas  que Warrita  retienne la  route. Une courte laisse  maintenait  sa  tête à 10 cm  du tapis de sol.

Mais  malgré  tout  que l’Espagne est  belle quand on a la chance  de  voyager  avec  une  telle Maitresse.

Les projets de Maîtresse Isabelle pour Warrita !

Un  léger  coup  de  coude  sort  warrita  de  ses  pensées.

-Tiens, warrita,  prends  mon portable. J’ai reçu une  correspondance  qui  vient  d’arriver à ton  attention. J’espère  que cela te  fera  plaisir.

Avec  un  sourire plein  de  mystères,  elle  tend  son  ordinateur  à  warrita.

Les  yeux  remplis  d’effroi,  warrita doit relire  plusieurs  fois  le  mail  la  concernant.

«  Ecole de  formation  de  soubrette  mâle.

Par  la  présente  nous acceptons  de prendre  en main  l’éducation de votre apprentie  soubrette  warrita pendant  une  durée  de 6  mois.

Nous  prenons acte  que  vous  nous  donnez  votre  pleine  accord  pour toutes  les  punitions  que nous  jugerons  utiles  à  son  éducation.

Veuillez nous la  rapportez  dès votre  arrivée  à  l’adresse  suivante. Vous  reprendrez  avec  vous  tous  ses  vêtements mâles, montre, téléphone ou  objets  pouvant  lui   rappeler sa  condition antérieure …   et  nous  commencerons de suite  le  stage  hormonale à  forte  dose tel  que vous  l’avez  souhaitez.

Dès que nos  différents  traitements l’auront  rendu soumise et  obéissante, warrita pourra suivre des cours  de  ménage,  cuisine , couture, jardinage et comme vous l’avez expressément mentionné des  cours d’éducation  sexuelle  dans le  but unique  de vous  satisfaire. En  aucun  cas, elle  pourra  se  permettre de  jouir  ou  même  de bander. L’institut  veillera  à  vous rendre  votre  soubrette avec le  plus  petit pénis  possible  et  solidement enfermé  dans  une ceinture de chasteté. La  clef  vous sera remise en signe  d’accord  avec  le  résultat obtenu.

Un bulletin  vous  sera  envoyé  tous les 15  jours.

Aucune  visite ou  contact  avec l’extérieur   ne seront  autorisés pendant  les 6  premiers mois.

Les 6 mois  sont une  durée théorique car chaque faute commise par  l’apprentie  soubrette est  sévèrement punie et  augmente en plus sa durée de  séjour.

L’école  vous  certifie  que vous  aurez  les résultats  escomptés, quitte  à  la  garder  plus  longtemps. Nous voulons  vous  livrer un  produit  parfaitement  conforme  à  vos  exigences.

La directrice. »

Ecole de formation pour soubrette mâle

-Alors, heureuse ma  warrita ?  Il  me semble  que  tu  ne  m’as  pas  laissé  d’autres choix. Tu ne  peux  quand même pas  passer ta vie  liée dans toutes  les positions  sans rien faire…Profite  bien  de  tes derniers moments de  détente.

Les yeux mouillés, d’une voix tremblante d’effroi, warrita  ne  peut  que  murmurer.

-Oui, Maîtresse  Isabelle, je reviendrai  plus  docile  pour  mieux vous servir ; vous  et  toute personne à qui  vous  me confierez. Je  suis  consciente  que c’est  la seule  solution et  que je l’ai bien  mérité  par mon  comportement trop  souvent insoumis et révolté vis avis  de vous.Merci Maitresse Isabelle.

Transformation d’un jeune étudiant soumis en soubrette (2)

jeune étudiant soumisArrivé chez Maîtresse Isabelle

Warrita  arriva à  10  heures  précise à  l’appartement  de  Maîtresse  Isabelle. Durant  tout  le  trajet,  elle  avait  pensé  à  ces fameux  trois  jours et  à  tout  ce  que sa  sévère, mais  juste  Maîtresse  avait pu lui  préparer. Warrita  est  un jeune étudiant soumis et  connait  Maîtresse  Isabelle depuis 3 ans.

Maîtresse  Isabelle désire qu’il  devienne sa  soumise parfaite, sa  bonne à  tout  faire. Ainsi, elle l’a baptisé d’un nouveau prénom, très féminin et très dégradant : Warrita.

Elle  savait  qu’elle n’était  pas encore une  soubrette idéale et elle  faisait beaucoup  d’effort pour  contenter  sa  Maîtresse.

Elle  était  prête  à faire de gros efforts et selon elle, le  piercing de  ses  tétons représentait déjà un signe  de soumission que sa  Maîtresse  devrait apprécier.

Maîtresse  Isabelle l’attendait  comme  d’habitude, magnifique, femme  dans  toute  sa  splendeur et qui  représentait pour Warrita  l’autorité  absolu.

Pendant  qu’elle léchait  ses  bottes  en  signe  de  soumission,  Warrita  enregistrait  les  ordres  de  sa  Maîtresse.

-Tu prends  tout  ce  que tu  as  dans  ta  pièce. Cela  sera l’occasion  de  mettre un  peu  d’ordre dans  tes affaires. Ensuite, tu  les mets dans  le  coffre de  ma voiture. Cependant, tu  gardes un foulard  et  une  paire de  menottes  pour  la  route. Quand  tu  es  prête, tu  te  mets  à  genoux  dans le  coin  du  vestibule, les  mains  sur la tête….Ah, j’oubliais, passe  déjà tes  sous-vêtements  féminins et essaye  d’avoir  un peu bon  gout pour  une  fois.

En route pour un séjour de trois jours !

Vers  11 heures, tout est chargé et  j’attends dans  le  coin. J’ai un peu mal au ventre quand je pense à tout  ce  qu’elle peut me  faire pendant ses 3 jours.

-Warrita, viens  ici,  à  genoux  devant moi !

Maîtresse Isabelle  rajoute  un  collier  de  chienne noire  et commence  à  jouer  avec les tétons  de  sa  soubrette.

-Mais, c’est vrai  qu’ils  deviennent tout  beaux et dures ses  tétons. Que  j’aime  jouer  avec,  et  les sentir durcir….je vais encore les travailler pendant ces quelques jours !

J’ai  mal,  mais  je  me tais et  je  n’ose  rien dire. En effet, elle  serait capable  de  me  faire  traverser la  rue et  me  faire  attendre  à  côté  de  la voiture, la poitrine à l’air et  un  bâillon  boule  en  bouche,  cadenassé dans le  cou. Cela doit  être très  compliqué  d’essayer de  cacher soit  le  bâillon, soit ses  tétons  en même temps.

Prenant  mon silence, pour  de l’acceptation, elle  accroche  deux  poids  aux  anneaux et  referme  ma  chemise.

-Allez en  route, tu  n’as  même  pas  idée  de ce  qui  t’attends. Tu verras  les  progrès  que l’on  peut faire  en 3 jours.

Menotté et bâillonné pour le trajet en voiture !

Arrivés à  la voiture,  elle  me  menotte  les  poignets dans le  dos , me  bande  les  yeux  et  m’installe  sur le  siège  arrière. Ensuite, elle  referme sur  moi  la  ceinture  de sécurité.

-Alors, bien installé Warrita ?

-Oui, Maîtresse.

-Maîtresse comment ?

-Oui, Maîtresse Isabelle….

Déjà agacée  et contrariée  par  cette  oubli, elle  pousse dans ma  bouche un bâillon  boule. J’essaye  de  le refuser en n’ouvrant  pas  ma  bouche. Une  main ferme tord  mon  téton jusqu’au  moment  où j’ouvre  en  grand  ma bouche. Elle en  profite pour mettre toute  la boule en  caoutchouc  et  le  serrer  étroitement  dans ma  nuque.

-Cela commence  bien,  tu  vas  vite  comprendre où  est  ton  intérêt…tu  peux  me faire confiance.

-Je vais te  dégouter des  bâillons. Je veux  te voir  pleurer à la  fin du séjour à la seule vue d’un  bâillon dans ma main,  petite bavarde impolie.

Elle me fixe un large essuie au-dessus de tout pour éviter que je salive dans sa belle  voiture.

Maîtresse Isabelle et sa soumise Warrita  arrive  vers 13 heures dans  la  superbe  villa.

La voiture  rentrée dans  le  garage,  Maîtresse  Isabelle fait descendre sa  soubrette toujours  menottée et  bâillonnée.

-Suis-moi, je vais  te  montrer  ta chambre !

Elle  accroche  la  laisse  au  collier et  entraine  Warrita vers  l’étage.

Confiscation de toutes les affaires de Warrita

Arrivé  dans la  belle  grande  chambre, Maîtresse Isabelle libère sa soumise et  lui confisque  toutes  ses  affaires.

Montre, téléphone, habits masculin…tout  disparait  dans  un  sac que  Maîtresse  reprendra avec  elle.

-A partir de maintenant, je suis ta seule référence. C’est moi qui choisit l’heure, tes habits, et si tu peux téléphoner et à qui, mais je ne pense pas que tu auras l’occasion de beaucoup parler…

Maîtresse  lui  montre sa  chambre. Elle est  magnifique. Un grand lit, un cabinet de toilette privé, un fauteuil avec une table et une  immense penderie. Une  baie vitrée donnant sur le devant de la maison et pouvant être occultée par une épaisse tenture.

Warrita doit ranger  toutes  ses  affaires. Ses différents  habits  dans la  penderie ; cordes, baillons, cravaches, martinet, menottes  bien  en vue sur  la  table de la chambre.

-Il fait  beau, et  je  veux  que tu fasses  le jardin. Tu  enlèveras  toutes  les  mauvaises  herbes. Tu n’es  bonne  qu’à cela, de toute façon. Prépare-toi rapidement, je t’attends.

-Tant que j’y pense, autant commencer tout de suite. J’ai décidé de te donner chaque jour deux pilules contraceptives. Elles sont bourrées d’hormones féminines. Tu verras, cela te fera le plus grand bien. Tu deviendras plus gentille, plus douce, plus aimable. Tes seins et ta peau deviendront plus sensibles, plus gracieuses … tu ne penseras plus comme un macho et  tes érections diminueront….Aussi, tu  seras plus câline et plus heureuse dans cet état  d’esprit et tu  supporteras  mieux toutes les contraintes morales et physiques que je vais t’imposer. De plus, tu ne penseras plus à te révolter ou à essayer de me manipuler. C’est vraiment pour  ton bien, alors prends la, sans rechigner et en remerciant à chaque fois  ta Maîtresse  qui ne veut que ton bien être.

Début de la féminisation pour le jeune étudiant soumis

Elle prend une plaquette, et  me  fourre une pilule dans la bouche, que je dois avaler devant elle. Trop surpris pour protester, je l’avale en me disant  que  je pars peut-être pour un voyage sans retour…mais que je  pourrais toujours, en discutant, arrêter le processus !

-La première d’une longue série…j’aspire voir les transformations !

Suivant les ordres de sa Maîtresse, Warrita doit s’habiller  avec  des sous-vêtements féminins, bas, corset ultra serré, petite  culotte et  soutien-gorge. Une blouse et un  pantalon de toile, pour  cacher le  tout.

Warrita commence  le travail  qui  constitue  essentiellement  à  désherber les endroits que Maîtresse Isabelle lui a  montré.

Maîtresse lui  a  donné  pour  l’après-midi une  grande  bouteille  de limonade tiédasse dans une bouteille en plastique.  Une limonade constituée d’eau et  de  secrétions plus intime  de Maîtresse.

Warrita a  reçu  l’ordre de tout  boire, jusqu’à la dernière goutte et  de  travailler jusqu’au moment  où Maîtresse Isabelle jugera  son  travail et son  application  suffisante.

Maîtresse  Isabelle  quitte  la  villa  et  laisse sa  soubrette  à  son  occupation.

Enlever les  herbes, porter  la brouette, la  vider et recommencer, recommencer sans  fin…. De plus le  corset et  les  sous-vêtements compliquent  le  travail. Warrita  est épuisée et  écœurée de  devoir  boire  le  mélange  de sa Maîtresse. Elle pourrait jeter le  contenu,  mais  désobéir et  puis mentir à son Maître est impossible. Maîtresse Isabelle le verrait tout  de suite et la punition serait encore plus terrible.

Le  soir  tombe,  quand  enfin  Warrita entend  le  bruit  de la  porte de garage.

Diner servi pour Warrita !

Maîtresse, plus souriante et plus belle que  jamais, fait  son  apparition et  inspecte  le travail de  sa  soumise jardinière.

Contente du travail, elle  promet  que  Warrita  ne  sera pas trop  punie  ce  soir.

En  la  regardant  dans  les  yeux, elle  lui  demande :

-Alors Warrita, tu as bu  toute la bouteille?

-Oui, Maîtresse Isabelle, elle  était délicieuse.

Elle  me croit car  si  je  mens, elle le voit tout  de  suite.

-Bien, je vais  te  préparer pour  la nuit…

Il  n’est pas  encore 8 heures du soir, et  je  frémis en  entendant  ces mots. La  nuit  risque d’être longue.

Warrita  prend  une douche  froide puis  passe  sa  nuisette et  enfile une petite culotte en dentelle comme  l’a souhaité sa Maîtresse. Ensuite, elle descend pieds nus dans la cuisine où  son souper l’attend dans une  écuelle.  Du  pain écrasé dans  du  lait et  du  fromage  blanc. La pilule est posée à côté de l’écuelle.

-A 4 pattes, les mains dans le dos. Tu gobes la pilule et tu lapes tout  comme  une chienne et  tu  ne  laisses rien. Tu  m’as  bien  compris !

Tristement, Warrita  s’exécute et  mange  sa  bouille  sous  le  regard sévère de sa  Maîtresse.

Pour  sa  première  soirée, Maîtresse  Isabelle  préfère  que  Warrita  s’habitue  à sa  chambre.

Attaché et abandonné dans un fauteuil !

Elle  attache  solidement  sa petite  soubrette  dans le  fauteuil  de  sa chambre.

Pieds et genoux  liés  ensemble. Les deux mains liées aux bras du fauteuil.

-Comme promis, voici  le  bâillon.

Elle roule  en boule un  foulard qu’elle m’introduit dans la bouche qu’elle fixe avec  un  autre noué dans ma nuque.

Je  roule des  yeux  effarés,  je  ne  veux  pas  rester  comme cela  toute la  nuit. Aussi, je  grogne,  je  gémis, j’essaye  de bouger  pour lui  montrer mon désappointement. Mais, il  est  déjà trop tard, complètement immobilisé, incapable de parler, je ne peux que subir la volonté de Maitresse.

-je sais  Warrita  ce  qui  te manque,  ne t’inquiète pas, je pense  à tout.

Avec  un grand  sourire, elle fixe  deux  pinces à  mes  tétons. Dans un dernier  effort pour me faire comprendre, je lui  lance  des regards agressifs ou implorants.

-Mais que  des  méchants  yeux…je  ne  veux  plus  voir des  yeux  comme cela.

Aussi, elle  prend  un foulard  et me  bande  les  yeux…

– Essaye de te reposer  un  peu,  si  tu  es très sage et si je  n’entends  rien,  mais  absolument  rien, je  viendrai en allant me coucher te mettre au  lit.

– Alors,  heureuse  ma  Warrita ?

– grmmbl ,   mmmmbb, grmmn….

– Je vois  que  tu  n’as  pas  envie de parler et  que  tu  ne fais de nouveau aucun effort pour  articuler. Je te  laisse seule. Reste bien sage et réfléchis à  ce  que tu  pourrais  faire pour  me  faire  plaisir demain.

-Je  suppose  que tu ne verras  pas d’inconvénients à ce que j’éteigne la lumière…

Préparé pour la nuit

J’entends un  clic, la  porte  se  fermer, le  bruit  d’une  clef dans  la  serrure. Je suis  tout à fait  dépendant  d’elle. Elle m’a  promis  de revenir si  j’étais sage. Le temps  passe  lentement,  je  perds  la  notion  du temps. Ma  poitrine ne  me fait  plus  mal  mais  je  sais  que  la douleur sera très  forte quand  elle enlèvera  les  pinces. Parfois elle  les enlève d’un  coup, parfois en les  arrachant tout doucement, parfois en les faisant tourner…tout  dépend de son humeur.

Maîtresse me  touche, j’ai  dû m’assoupir. Je n’ai aucune  idée de l’heure.

-Tu vois que tu peux  être sage quand tu  Allez, il  est temps de dormir.

Une  douleur  déchire  ma  poitrine ; elle vient d’enlever  les  pinces.

Je  me tords de douleur et  je  l’entends  rigoler.

Elle  me  libère et me fait  passer  par  les  toilettes.

-N’oublie pas de faire tes besoins assis comme une fille bien propre ! Warrita, pour  la  nuit  je  te  mets un  bâillon sur la bouche  et  un foulard  sur  les yeux.  Je fais  un nœud spécial et  une  photo avec mon téléphone.  Si demain,  je  vois  que  quelque chose a  bougé, de ta faute ou pas, je t’assure  que tu  passeras la  pire  journée  de  ta vie. Je te  mettrais simplement nu et menotté dans le coffre de ma voiture sur le parking au soleil  pour toute la journée. Compris ?

Je suis sûr que les menaces seront d’application et donc Je me couche dans le lit et me  laisse faire docilement. Puis avant de partir, elle me pince gentiment la joue. Incroyable….quelle ironie.

-Tu verras, demain on va bien s’amuser…Bonne nuit ma Warrita.

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