La nouvelle vie de Laurent
La nouvelle vie de Laurent, mari soumis, était désormais bien organisée et très strictement encadrée par sa femme et sa maîtresse. Maîtresse Zaïa avait déménagé pour s’installer dans sa ville. Désormais, il partageait son existence entre l’appartement du couple et celui de sa maîtresse, situé à dix minutes à pied.
Le mercredi était un jour spécial de la semaine, celui dédié au dressage. Samia confiait alors son mari soumis pour la journée et parfois la nuit à son amie Zaïa. C’était l’occasion pour cette dernière de parfaire l’éducation de Laurent et de peaufiner son travail avec un objectif : mener sa lope soumise à l’excellence ! Samia et Zaïa avaient en effet de grandes ambitions pour lui. Elles ne voulaient pas qu’il soit un simple esclave parmi d’autres mais une sorte de référence dans ce petit monde du sado-masochisme. Pour cela il y avait beaucoup de travail, mais leur lope ne manquait pas de potentiel…
Il fallait donc le travailler en permanence, et en plus de son cours de dressage du mercredi, Laurent était au quotidien sous l’emprise enveloppante de sa maîtresse femme. Les autres jours de la semaine, Laurent n’était donc pas davantage à la fête. Il devait répéter ses gammes et ses exercices de soumission, devant sa femme. Samia était devenue elle aussi une maîtresse confirmée et elle n’était guère plus tendre que Zaïa. De plus elle s’était convertie à ce mode de vie et comme souvent chez les converties, on applique les préceptes « religieux » avec encore plus de zèle que les anciens croyants !
Le mercredi, au service de Maîtresse Zaïa
Maîtresse Samia n’avait donc de cesse de progresser dans toutes les techniques de dressage et de domination de son mari. Elle approchait désormais l’excellence de maîtresse Zaïa. En effet, quand elle voulait obtenir un résultat, elle ne faisait pas les choses à moitié, par tempérament. Entre ces deux femmes, une rivalité amicale et une saine émulation dans la domination de leur soumis commun s’était créé. La conséquence de cela était que l’espace d’homme pour Laurent n’existait plus. Toute sa vie était régentée par elles. Il était leur lopette 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24…
Dans la relation du trio, le mercredi était un jour spécial. Et mercredi dernier ne fut pas un mercredi ordinaire pour Laurent.
Levé à 6h30, il prépara le petit déjeuner de sa femme, comme d’habitude. Quand tout fut prêt, il mit l’ensemble sur un plateau et lui apporta au lit. Samia lui ordonna de s’assoir au pied du lit et tout en se régalant de ce qu’il avait préparé. Elle le gratifiait de temps en temps dans son immense bonté d’un morceau de pain sec. Ce fut son seul repas du matin.
A 8 heures le couple sortit, elle pour aller travailler et lui pour se mettre au service de maîtresse Zaïa la totalité de la journée. Samia le lâcha donc en ville. Il devait sonner chez sa maîtresse à 8h15. Autant dire qu’il n’avait aucune marge de manœuvre car il fallait une bonne dizaine de minutes pour gagner la résidence de sa maîtresse. Et tout retard serait très sévèrement puni, il le savait !
Début de sa journée chez Maîtresse Zaïa
A peine arrivé chez Zaïa, il connaissait les usages. Il devait d’abord saluer à genoux sa Reine, lui embrasser les pieds puis la complimenter sur sa beauté inaccessible pour lui. Ensuite, il devait rappeler sa dévotion complète, son existence misérable comparée à la magnificence de celle de sa maîtresse, et sa soumission totale. Enfin, il devait aller se préparer pour le service du matin. Ainsi, il se déshabillait entièrement dans la chambre, ouvrait son armoire où se trouvaient tous ses habits féminins, puis enfilait sa tenue complète de soubrette. Il devait ensuite aller fouiller dans le panier de linge sale et plus précisément en extraire la plus précieuse relique. En effet, il recherchait parmi toutes les petites culottes de madame la plus parfumée des senteurs corporelles de sa maîtresse.
Il revenait devant elle pour la porter à son nez et s’imprégner longuement de son fumet. Sentir ainsi la petite culotte délicieusement sale et odorante de sa divine maîtresse était comme un rite qui marquait le début de la séance. Elle le regardait se délecter de ses sécrétions intimes, lui ordonnait de lécher la petite culotte. Après, il revenait se coucher près de sa maîtresse tout en baissant les yeux en guise de soumission. Ensuite, il attendait ses ordres sans rien dire, sauf à être autorisé à parler, ce qui arrivait parfois.
Libéré de sa cage de chasteté pour la journée !
C’était le moment où maîtresse Zaïa portait la main à son opulente poitrine pour récupérer la clé de la cage de chasteté de Laurent et lui libérer le sexe pour la journée. Il adorait ce moment et même s’il savait ne pas avoir le droit de se caresser, pas même de se toucher le sexe. Sa queue libérée lui procurait des sensations qui avaient à voir avec de l’extase. De son côté, Zaïa appréciait de regarder ce sexe dont elle faisait ce qu’elle voulait, qui après des jours ou des semaines d’enfermement pouvait de nouveau se raidir sans entrave. Et ce qu’elle aimait par-dessus tout c’est de le diriger à distance. Ainsi, par les intonations sèches de sa voix et les ordres exprimés, elle pouvait obtenir une turgescence immédiate de l’organe génital de son esclave. On peut dire qu’elle faisait bander sa lope sur commande !
La première tâche de la lopette consista à aller lui faire un café et à le lui apporter pendant que sa maîtresse se prélassait en nuisette rose sur le canapé du salon. Puis maîtresse Zaïa lui ordonna de faire le ménage dans le salon. Zaïa n’avait plus de femme de ménage, qu’elle avait avantageusement remplacée par une lope de ménage, efficace et gratuite ! Elle l’observait dans son travail tout en se faisant les ongles. Elle faisait recommencer toute tâche imparfaitement exécutée soit pour ne rien laisser passer, soit par simple plaisir de la brimade.
Passer l’aspirateur avec des escarpins à talons hauts n’était pas facile pour son soumis. De plus, il fallait composer avec le droit de cuissage, les ordres et les contre-ordres. Parfois, même, il devait faire le ménage avec un plug anal inséré par maîtresse.
Accomplissement des tâches ménagères
Profitant de la transparence du bas de la tenue de soubrette de son esclave, elle matait aussi ses couilles qui ballotaient à chaque pas et regardait son érection se relancer à chaque parole de madame. Son sexe se mettait au garde à vous, il était aux ordres. Et il aimait être contrôlé à la voix par Zaïa, il ne pouvait le cacher… De plus la patronne pouvait pour son plaisir interrompre à tout moment le ménage pour se faire la bonne !
A peine les tâches ménagères terminées, venait le repassage. Il le faisait, toujours, devant sa maîtresse, qui se prélassait ostensiblement et lisait des magazines. Parfois, elle regardait une série télé, mais jamais ne le perdait pas de vue. C’était même une de ses jouissances préférées de la journée de le mater en train d’exécuter son repassage, en tenue féminine.
Parfois, elle venait lui astiquer la queue tout en l’obligeant à rester concentré sur son ouvrage, ce qui était très difficile pour la lope et donc très apprécié de sa dominatrice. Il fallait aussi plier toute la lingerie de madame, avec un soin particulier pour les petites culottes qui devaient former une pile carrée parfaite. Zaïa adorait venir vérifier ce travail. Très souvent, elle mettait par terre d’un doigt dédaigneux la pile pour l’obliger à tout recommencer, chose qu’il faisait en remerciant bien sûr sa maîtresse.
Préparation du repas de midi pour Maîtresse Zaïa
Puis venait la préparation du repas de midi de sa Reine. Cela l’occupait un bon moment. Pas question de passer à table pour lui, mais quand madame fut servie, lui se retrouva positionné à quatre pattes à côté d’elle. Alors elle lui enfila son collier et accrocha sa laisse à un pied de la table. Sa gamelle à lui, puisqu’il n’avait le droit de manger que dans cet ustensile en sa présence, était posée devant sa tête. Madame y mettait quelques cuillères de ce qu’elle voulait bien daigner lui donner à manger. Il n’était pas rare qu’il passe tout le repas dans cette position. Parfois même, il avait un gode inséré dans son fondement par souci de toujours pousser l’humiliation au maximum.
En début d’après-midi, Zaïa aimait bien que son esclave lâche un peu les tâches ménagères pour la délasser elle. Cela allait du massage prolongé des pieds au long cunnilingus en passant par toute une gamme de caresses, selon l’humeur de madame.
Début d’après-midi, au service du plaisir de Maîtresse Zaïa
« Bouffe-moi la chatte, ma lope ! » était certainement un ordre qu’il était aussi bon de recevoir pour lui que de donner pour elle. Laurent adorait le goût délicieux de la chatte de sa maîtresse, l’odeur des sécrétions de sa moule, la sentir mouiller abondamment sous ses mouvements de langue, enfin la voir partir dans la jouissance et l’extase. A cet instant, Zaïa lui collait avec les mains la tête contre sa chatte. Il savait qu’elle atteignait le paroxysme de son plaisir.
Elle lui avait avoué un jour que de tout son cheptel de soumis, il était son meilleur lécheur. Un compliment fait par une Reine est d’une valeur inestimable. Laurent aurait aimé tout savoir sur les autres esclaves de sa maîtresse. Mais seule sa maîtresse pouvait prendre l’initiative d’en parler, ce qu’elle faisait parfois en présence de sa femme. Laurent n’avait bien entendu pas le droit de participer à leur conversation, mais il n’était pas interdit d’écouter…
Il en savait donc pas mal sur la question ! Notamment qu’à l’heure actuelle, maitresse Zaïa possédait 6 lopes en activité, dont Laurent.
Et les collègues soumis du cheptel de madame étaient confinés dans des rôles très précis…
A SUIVRE…
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