Nouvelle vie comme un couple gynarchique
Laurent passa un début de semaine tranquille, comme si sa femme et sa Maîtresse lui laissaient le temps de se remettre. Cependant il sentait bien toute leur emprise sur sa vie désormais. Ils étaient devenus un couple gynarchique. De plus, il surprenait parfois sa femme en grande conversation téléphonique avec sa Maîtresse. Elles s’entendaient parfaitement, et pas seulement pour le diriger. Le travail occupait les pensées de Laurent la journée même si des flashs de Maîtresse Zaïa ou de sa femme Samia lors du dernier week-end venaient à intervalles réguliers l’envahir. Le soir au moment du couché, Samia exigeait qu’il enlève sa petite culotte devant elle et lui offrait la sienne pour la journée du lendemain. Il aimait la sentir avant de l’enfiler au matin. Samia n’acceptait de lui enlever sa cage de chasteté qu’en sa présence, pour la nuit, prête à intervenir à la moindre tentative de masturbation.
De plus en plus excitée, voir perverse, sa femme aimait appeler son amant tard le soir alors qu’ils étaient dans le lit conjugal. Devant rester parfaitement silencieux, Laurent écoutait sa femme exprimer ses envies et autres désirs sexuels. Il pouvait aisément imaginer sans les entendre les propos de son amant et leur hâte de se retrouver. Il savait que Samia ne voyait pas son amant en cachette, bien au contraire elle voulait que tout se fasse en connaissance de cause pour son mari. Elle prenait goût à l’exciter ainsi car elle savait qu’ils aimaient ça tous les deux. Faire son mari cocu participait au plaisir ressenti avant même le passage à l’acte. Laurent pensait que rien ne se passerait avant le week-end, où il savait que Maîtresse Zaïa allait de nouveau le dresser et sa femme le tromper. Mais les événements se précipitèrent.
Mise à l’épreuve
Quand il rentra du travail le jeudi soir, il trouva sa femme à la maison dans une tenue diablement sexy. Une de celle qui l’excitait le plus, sans doute portée à dessein, qu’il ne pouvait que regarder car Samia lui interdit de la toucher dès qu’il s’approcha d’elle. Il fit donc la seule chose qui lui était encore autorisée et même recommandée : la contempler. Une mise à l’épreuve dont Samia jouait visiblement avec délectation. Laurent adorait ses jupes courtes et serrées en cuir, elle en portait une, de couleur noire. Il aimait deviner ses bas et porte-jarretelles dessous, elle en avait mis. De plus, il s’excitait du claquement et de la jolie forme de ses escarpins, exceptionnellement elle les gardait à la maison ce soir.
Il jouissait mentalement de son petit pull en laine qu’il aimait tant lui déboutonner avant de lui faire l’amour, le petit pull était là mais ce soir c’est un autre qui le dégraferait avant de baiser sa femme. Comme elle le voyait complètement accro, Samia en rajouta une petite couche en lui avouant ne porter aucun soutien-gorge sous son pull. Il lui sembla voir que le doux contact de la laine lui hérissait les tétons. Elle lui ordonna de s’asseoir sur le lit dans la chambre et de la regarder se maquiller. Enfin elle enfila un beau blouson de cuir noir, chevelure lâchée et silhouette sportive parfaite, tellement désirable !
Sans cage de chasteté mais …
Puis elle se tourna vers lui, avançant vers le lit, terriblement provocante et lui dit :
-Ce soir je dine avec mon amant. Je n’ai rien programmé mais tu peux t’attendre à revoir ta femme bien baisée ! Je vais le sucer comme tu aimes que je te suce, lui laisser me bouffer la chatte comme tu aimes le faire, et le laisser me prendre sauvagement en levrette où dans toute position qu’il souhaitera. Autant dire que je risque de rentrer tard. Cette nouvelle humiliation devrait te plaire.
Comme je peux être gentille avec toi, je vais t’enlever ta cage de chasteté pour que tu puisses bander sur la situation sans entrave en m’attendant sagement à la maison. Mais comme je ne suis pas naïve et de plus en plus perverse, je vais aussi t’attacher au lit, histoire de t’interdire de te branler. Je veux te conduire au paroxysme de l’excitation et de la frustration, tu vas adorer ! Imagine que c’est comme une dégustation de bon vin, quand il faut recracher alors qu’on aimerait tellement mieux avaler…
-Mais je… commença Laurent.
Il n’eut pas le temps d’aller plus loin, sa femme le contraignit au silence d’un regard noir d’abord puis d’un mord à balles ensuite. Elle lui mit aussi son collier de soumis.
-Maintenant déshabille-toi entièrement !
Ce fut fait, il n’y a pas que Maîtresse Zaïa qui savait lui donner des ordres, il obéissait désormais à sa femme au doigt et à l’œil. En fait les deux le dirigeaient, de façon différente mais comme coordonnée pour faire de lui une lope soumise d’excellence.
-Enfile mes bas résilles noirs et ma robe rouge en laine ! ça intensifiera tes sensations physiques, ton état de soumission et ton excitation psychologique.
Attaché au lit par sa femme
Puis Samia l’attacha solidement, leur lit à barreaux s’y prêtait idéalement. Et dire que c’est lui qui avait insisté pour acheter ce lit, maintenant il y était le plus régulièrement attaché !
C’est seulement une fois son homme solidement ficelé, chose faite avec méthode, minutie et rigueur, qu’elle se posa un moment sur le lit à côté de lui.
-Essaie de bouger pour voir !
Il en était incapable, l’immobilisation était parfaitement réussie. Le saisissant par la queue, elle constata qu’il bandait ferme, ce qui ne l’a surpris pas. Puis elle serra ses couilles dans sa main.
-Je sais que tu aimes que ta femme te tienne par les couilles ! Tu m’en parlais depuis longtemps, c’est chose faite dans notre nouvelle vie de couple gynarchique. Je vais te pousser à bout ce soir. Regarde-moi !
Elle dégrafa le haut de son petit pull, dévoilant ses seins gorgés de désir.
-Allez bande sur moi ! Je veux sentir tes petites couilles tellement remplies qu’elles sont prêtes à exploser dans ma main. Mais tu ne jouiras pas, je m’arrêterai de te toucher avant. Et tu ne me feras pas jouir non plus ce soir, un autre s’en chargera très bien…
Sa femme passe la soirée avec son amant !
Samia lança son regard de braise à Laurent avant de le quitter. Elle ferma la porte de la maison, le bruit de ses talons disparut progressivement. Elle lui avait laissé son portable dans la main droite, en mode vibreur, et il ne pouvait s’en servir autrement que pour lire ses sms ou l’appeler mais seulement en cas d’urgence. Avant de partir, elle l’avait prévenu :
-Si jamais tu m’appelles sans motif valable, tu recevras la plus terrible des corrections. Par contre je veux que tu lises tes sms. Mais interdiction d’y répondre, sans quoi, punition ! Je m’arrangerai pour te faire passer des messages à intervalles réguliers, les femmes sont habiles à trouver des prétextes pour arriver à leurs fins. ça m’excitera et ça te gardera sous tension sexuelle maximale. Je veux que tu penses à moi en permanence et que… tu m’imagines en situation. Je vais sortir. J’ai rendez-vous à deux rues d’ici pour plus de discrétion, il doit passer me prendre, si j’ose dire.
Une bonne heure passa. Suffisamment pour beaucoup méditer, ou cogiter, c’est selon. Laurent découvrit à quel point on pouvait être fébrile dans l’attente d’un sms. Et puis vint une vibration prolongée. Un premier message de sa femme :
« Passage aux toilettes pour t’écrire. Sommes installés au restaurant. En tête à tête dans un coin calme. Il me dévore des yeux. Et moi je l’allume autant que je peux… »
Messages torrides de sa femme
Laurent banda de nouveau sur le champ. Et son esprit voyait très bien la scène, il ne connaissait pas ce restaurant, ce serait seulement pour lui le restaurant de l’adultère. Samia avait rejoint son amant qui l’avait emmené en voiture dans la grande ville toute proche, c’était commode et ça garantissait l’anonymat de la rencontre, même dans un lieu public.
Deuxième message quelque temps plus tard :
« Je t’écris devant lui, même pas besoin de m’isoler. Prétexte utilisé : rassurer mon mari qui me croit sortie avec des copines. Je lui fais croire que tu es d’un tempérament inquiet. Il me pose des questions sur toi, je n’ose lui dire encore que je te fais cocu avec ton consentement et que je te domine. Peut-être une autre fois, histoire de pouvoir le faire… sous tes yeux. Il m’a demandé quel prétexte j’avais trouvé pour sortir avec lui. Ah les copines, bien pratique ! »
Laurent était de plus en plus fébrile. Savoir que sa femme allait se faire baiser par un autre, c’était comme tout le reste dans sa vie de soumis, cela lui procurait de la douleur et du plaisir mêlés, et à dire vrai, il ne pouvait plus s’en passer. Chaque message de sa femme l’électrisait. Un nouveau arriva peu de temps après le précédent :
« J’ai prétexté devoir t’envoyer de temps en temps des messages pour te dire que la soirée se prolonge ou que je rentrerai tard ou bien de ne pas m’attendre pour te coucher. Ce double jeu m’excite terriblement. »
Presqu’en direct avec sa femme et son amant !
Laurent était tout autant excité. Il y eut une période de silence, puis une nouvelle vibration partie de sa main droite irradia tout son corps :
» Je suis dans les toilettes. Au niveau du repas, nous en sommes au dessert. J’ai tellement envie qu’il me baise sans attendre que je vais lui envoyer un message pour qu’il me rejoigne dans les toilettes des dames… »
Pour Laurent, c’est comme s’il y était. Là il pouvait être sûr que sa femme serait en train de se faire prendre dans quelques minutes à peine. Le message suivant n’en fût que la confirmation :
« Viens d’être baisée. C’était rapide, bien fait, en un mot : divin ! »
Laurent rejoua la scène dans sa tête plusieurs fois, toujours impressionné par l’audace de sa femme et imprégné de sa dominance. Mais ce n’était pas fini, de nouvelles « bonnes vibrations » interrompirent ses pensées :
« Dans sa voiture, il conduit pour me ramener chez moi. J’en profite pour t’écrire en lui disant que je raconte ma soirée à une copine de confiance. Ça semble lui plaire. Je ne me résous pas à le quitter comme ça. Aussi, je vais lui demander de stopper dans une petite rue calme à cette heure de la nuit. Je vais me glisser entre ses jambes et lui tailler une belle pipe ! »
Fin de soirée avec sa femme
Laurent reçu le dernier message de sa femme quelques minutes plus tard.
« Je rentre, avec du foutre dans ma chatte, sur ma jupe, mon petit pull, et la commissure de mes lèvres. Ça a été tellement intense pour lui qu’il m’en a mis partout ! Et moi j’ai adoré le faire jouir ainsi. Je crois que je vais dormir près de toi sans me nettoyer ni me déshabiller, histoire de prolonger le plaisir… »
Quelques minutes plus tard, Samia regagnait le domicile conjugal. Sa mise réjouie, les traces de sperme ostensiblement montrées à sa lope de mari, elle s’assit sur le lit tout contre lui, en face à face. Elle posa une main sur sa queue, vérifiant à sa raideur que la soirée les avaient excités tous deux. Ensuite, elle lui raconta dans les détails sa folle nuit, tout ce qu’elle n’avait pas pu dire dans les sms. Elle le caressait et le branlait un peu en racontant, insuffisamment pour le faire éjaculer mais bien assez pour le frustrer. Toujours bâillonné, Laurent la suppliait des yeux de le faire jouir.
Son regard pétilla. Elle s’allongea contre son mari et s’endormit ainsi.
A SUIVRE…