Rencontre dans un bar avec une dominatrice autoritaire ! (3)

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dominatrice autoritaire

Epilation forcée

Ainsi, je me retrouvais suspendu par les pieds dans cette étrange machine, une dizaine de centimètres au dessus du sol, à la merci de cette dominatrice autoritaire. Pour éviter que je me balance de trop, Eric m’avait attaché les deux mains à la poutre près de laquelle la main était le plus proche.

– Nous allons commencer par t’épiler. Il n’est pas séant qu’une si jolie femme que ma chère amie Sophie soit si poilue. Eric passe moi la crème sur ta droite ainsi que le rasoir. Merci.

Elle me recouvrit toute la partie de l’aine de mousse à raser. Ensuite, elle me massa, sensuellement, les fesses, passa de la mousse entre mes fesses et sur le haut des cuisses. Après, elle passa de l’autre coté et recouvrit de mousse à raser mon pénis, mes testicules et tout autour. Elle prit tout son temps. En fait, ce massage me donna beaucoup de plaisirs. Cependant, je ne pus le manifester physiquement du fait de la drogue. En effet, bien que grandement excité, je ne pouvais bander. Cet état de fait était très humiliant pour moi.  Evidement, cela ne lui échappa pas et elle ajouta en me voyant :

– Je vois que tu commences vraiment à devenir Sophie et que tu abandonnes ton ancienne vie. Tu n’est même pas excité par mon petit massage. Moi qui croyais te faire plaisir. Tant pis ajouta-t-elle avec son éternel sourire moqueur.

Port du corset obligatoire !

Elle laissa mon entre-jambe en paix le temps de laisser agir la mousse de rasage. Pendant que la mousse agissait, elle étala de la cire sur mes jambes, mon torse, sur mes bras et même sur mes aisselles.
En attendant que la cire durcisse, elle entreprit de me raser l’entre-jambe. Bien que j’étais  gêné et que j’éprouvais même de la honte, la sensation de douceur que je ressentis suite à ce rasage atténua quelque peu mon malaise.

– Il faut que tu sois courageuse maintenant Sophie car tu risques de souffrir. Tu vas connaître une des grandes souffrances de la vie des femmes, l’épilation à la cire.

A peine eut-elle terminé sa phrase qu’elle tira un grand coup sur une bande de cire sur mes jambes. La douleur fut terrible. De plus, ne pas pouvoir crier et devoir demeurer muet à cause de cette drogue rendait encore pire la souffrance de cette épilation.

– Ta résistance à la souffrance est impressionnante et promet de nombreux plaisirs pour la suite ! : me nargua Vanessa.

La séance d’épilation dura une vingtaine de minutes. Ainsi, Vanessa me passa de la crème adoucissante, après chaque bande de cire, pour calmer la douleur et l’irritation.

– Bien maintenant que tu as la peau douce d’une jolie jeune fille, tu dois en avoir la taille de guêpe : m’expliqua-t-elle. Pour ce faire, tu porteras à partir de maintenant et ce jusqu’à la fin de ton dressage un corset verrouillé par cadenas afin d’affiner ta taille. Tu ne pourras jamais l’enlever même pour dormir. Eric ou moi te l’enlèverons, seulement, pour te laver ou te changer. Chaque fin de semaine, nous resserrerons ton corset pour t’affiner.

Débuts difficiles avec le corset !

Ainsi, Vanessa m’enfila mon corset et me le laça dans le dos. Eric dut intervenir à la fin pour le serrer étroitement car Vanessa n’avait pas la force de le serrer autant qu’elle le souhaitait. Dès qu’il me fut fixé, j’eus le souffle coupé. Je ne pouvais plus respirer et la panique commençait à monter en moi. Cela se vit car immédiatement, Vanessa vient s’accroupir pour mettre son visage en face du mien. J’étais, en effet, toujours pendu par les pieds.

– Ne panique pas s’est normal que tu n’arrives plus à respirer correctement. Le corset appuie sur ton diaphragme. Calme toi et respire par de très brèves inspirations. Là, voila, c’est bien comme ça.

Effectivement, en ne prenant que de brèves inspirations, je pouvais respirer, bien que très difficilement et en me concentrant à chaque instant.

– Ne t’en fais pas ! : m’expliqua Vanessa, c’est normal que tu aies du mal mais tu finiras pas t’y habituer. A la fin, tu ne pourras plus t’en passer quand tu verras les résultats et la taille de guêpe que tu auras.

– Maintenant, occupons nous de ce paquet gênant dans ton entre-jambe. Ne pouvant te l’enlever, il faudra bien faire avec mais hors de question que tu puisses continuer à t’amuser avec. Tu es une femme maintenant et tu n’éprouveras plus de plaisir que comme une vraie femme. Eric s’il te plait passe-moi la cage ! Merci.

La cage de chasteté !

La cage en question était constituée d’un tube en plastique fermé à la fin, excepté un mince trou et un anneau en fer près de l’ouverture la plus large du tube. Vanessa commença par me faire passer mon pénis et les testicules dans l’anneau en fer afin que celui ci se place entre mes parties génitales et mon ventre. Ensuite, elle essaya de faire entrer mon pénis dans le tube en plastique, mais impossible de le faire entrer. Je ne pus réprimer une bouffée de fierté et de satisfaction, j’avais contrecarré les plans de Vanessa, au moins, sur ce point.

Malheureusement, c’était mal la connaître et j’avais sous-estimé sa perversité et son imagination. En effet, elle trouva une solution à ce problème. Elle prit un grand plaisir à m’expliquer.

– N’espères pas t’en tirer si facilement ! Eric va me chercher de la glace et remplis en un sachet s’il te plait !

Je ne voyais pas en quoi de la glace pouvait l’aider, jusqu’au moment où elle me l’appliqua sur mes parties génitales. En effet, sous l’action du froid, ma queue se rétracta et se rapetissa. Quand elle diminua assez de taille, Vanessa la fit, rapidement, entrer dans le tube puis elle verrouilla ma cage de chasteté.

Traitement pour la féminisation

– Tu risques de souffrir pendant les premières semaines de ton dressage : me dit Vanessa. Ton pénis va rapidement récupérer sa taille normale qui est comme tu t’en es rendu compte trop grosse pour la cage. Cependant, ne t’en fais pas Sophie ! Elle finira par s’y habituer et de toute façon, ton traitement aux hormones réduira sa taille jusqu’à la rendre minuscule.

– Maintenant, il est temps de t’expliquer en quoi consistera ton traitement et de t’administrer les premiers traitements. Chaque jour, tu devras prendre douze pilules, 4 à chaque repas. Deux de ces pilules te fourniront ta dose d’hormone féminine nécessaire à ta transformation. Une autre servira à réguler ta pilosité, et la dernière servira à transformer ta voix. Normalement, les deux pilules d’oestrogène devraient être suffisantes pour agir sur la pilosité et la voix. Cependant, nous ne voulons prendre aucun risque et nous aimerions voir les effets le plus vite possible, n’est ce pas ?

J’eus droit à un nouveau clin d’oeil moqueur. J’étais effrayé par ce programme diabolique qui avait pour but de me transformer en femme.

– Mais ce n’est tout ajouta-elle. Tu devras, aussi, recevoir trois piqures par jour, deux à tes seins pour augmenter leur développement et une dans ton bas ventre pour réduire encore la taille et augmenter la sensibilité de ton anus et la lubrification en cas d’excitation. D’ailleurs on commence maintenant.

Lavement obligatoire !

A sa décharge, je dus reconnaître qu’elle s’y connaissait. Bien que détestant les piqures, je ne sentis absolument rien ce qui me déstressa un peu pour la suite et les jours à venir.

Ce fut au moment où cette pensée me traversa l’esprit que j’éprouvai un sentiment de terreur. En effet, je venais, pendant un instant, de baisser les bras et de me résigner à cette vie que Vanessa m’imposait. Je venais d’abandonner ma masculinité et toute ma vie alors que cela ne faisait même pas une journée que je vivais cet enfer.

Je me repris immédiatement et me promis que cela ne se produirait plus. De plus, j’allais tout faire pour m’évader. Bien que cela semblait impossible pour l’instant, je trouverais une solution.

Je fus dérangé dans mes pensées par Vanessa qui reprit la parole :

– Maintenant tu vas expérimenter quelque chose de nouveau pour toi je suppose mais qui deviendra ton quotidien. N’étant pas encore une vraie femme, quand tu devras faire plaisir, tu les satisferas pas tes jolies fesses et ton anus, mais celui-ci doit être propre. Nous allons donc maintenant chaque jour et ce deux foi par jour, matin et soir, te faire un lavement. Eric tu peux procéder.

Eric commença par fixer au dessus de la barre de fer au dessus de mes pieds un espèce de gigantesque entonnoir terminé par un tuyau et un embout assez long. Quand il eut fixé l’entonnoir, il lubrifia l’embout qu’il m’enfonça dans mes fesses. Le pire était à venir …

Sensation douloureuse et agréable !

En effet, il commença à verser de l’eau dans l’entonnoir. Il vida une bouteille entière dans mon estomac. Tout fut aspiré dans mes entrailles, pas une goutte ne restait.

J’étais pendu par les pieds, enserré dans un corset extrêmement serré, drogué et incapable de parler, hurler, produire un son et même de bouger un orteil. De plus, je devais conserver un litre d’eau froide en moi. La sensation bien que douloureuse était, étrangement, agréable. Je ne m’expliquai pas cette sensation. En effet, j’étais rempli d’eau et incapable de la vider. Je sentais tout ce liquide bouger. Cela était douloureux car je voulais vider tout ce liquide mais je ne le pouvait évidemment pas. En fait, je crois que justement le fait de tout garder, rendait cela presque agréable.

– Maintenant il faut patienter le temps que le lavement fasse effet. J’ai bien une petite idée de ce que l’on pourrait faire pour passer le temps : dit Vanessa. Tu m’as bien raconté plus tôt dans la soirée que tu avais toujours voulu faire un tatouage mais tu n’en avais jamais trouvé le courage. Ce soir, je vais réaliser ton rêve. Il se trouve que Eric a exercé dans sa jeunesse le métier de tatoueur. Quelle chance tu as !

Elle avait  un grand sourire et me fixait droit dans les yeux.

Je n’osais imaginer cela. J’avais imaginé que je pourrais m’échapper avant que des dommages irrémédiables soient effectués sur mon corps.

Marqué par un tatouage comme du bétail !

– Etant donné que tu n’es pas très loquace ce soir, je vais choisir ton tatouage pour toi. Ce sera …. Sophie, Esclave de sa dévouée Vanessa. Eric s’il te plait grave moi déjà cela juste au dessus de ses parties, ici : montra-t-elle en appuyant son doigt assez fort dans le but de montrer l’endroit et surtout d’accentuer la pression que l’eau faisait déjà subir à l’intérieur de mon corps.

Et aussitôt dit, aussitôt fait ! Me voila marqué comme du bétail ! Vanessa prit délicatement ma tête pour que je puisse fixer ce tatouage.

– Maintenant tu es mienne Sophie. Au fur et à mesure de ton éducation, chaque fois que j’estimerai que tu as acquis une nouvelle leçon ou effectué quelque chose de spécial nous te le graverons, comme ça tout le monde saura à quel point tu es consciencieuse. Mais maintenant il faut te vider, tu t’en charges Eric s’il te plait ?

Eric me détacha donc de mes fixations et me déposa directement sur mon WC qui se trouvait dans un coin de ma chambre. Dès qu’il me déposa, tout sortit d’un coup . Ne contrôlant plus mon corps, la pression de l’eau dans mon corps fit effet. Quelle jouissance, après avoir conservé pendant près de 20 minutes toute cette eau. Pouvoir l’évacuer était vraiment bon.

– Maintenant, il est temps de dormir, on a une dure journée de prévu, demain. Ton dressage commence dès 8h00 du matin donc direction le lit. Par contre vu que les effets de la drogue feront encore effet une partie la nuit, je suis obligée de te mettre une couche pour éviter tout accident.

Port d’une couche rose pour la nuit !

Ainsi, je retrouvais ce vêtement pour ma plus grande humiliation. Après qu’Eric m’ait déposé dans mon lit, elle se positionna au bas et me fixa ma couche. Je ne sais si c’est par pure cruauté et envie de se moquer un peu plus de moi ou si elle n’en avait pas trouvé d’autre mais la couche était toute rose avec des petites fleurs dessus … .

– Bien, maintenant il te faut une jolie petite nuisette. Je vais t’en chercher une pour que tu sois jolie pendant la nuit.

Elle se dirigea vers un coin de la pièce que je ne pouvais distinguer à cause de ma paralysie mais j’entendis une porte s’ouvrir. Elle revient avec une nuisette rouge très vaporeuse qu’elle m’enfila avec l’aide d’Eric. Je n’ai jamais été aussi géné de toute ma vie.

– Maintenant que tu es prête à passer une bonne nuit, il est temps de t’attacher au lit. On ne sait jamais si les effets de la drogue s’estompent avant mon arrivée.

Aussitôt dit, aussitôt fait, ils me fixèrent poignets et chevilles au montant du lit. La position était assez inconfortable. Je voyais mal comment j’allais pouvoir dormir bien que j’étais très fatigué.

– Bonne nuit ma chère Sophie et à demain pour ta nouvelle vie. Si tu savais comme je suis heureuse de m’occuper de toi et d’être responsable de ta transformation. Maintenant bonne nuit et bon visionnage : ajouta-t-elle en fermant la porte.

Première nuit difficile !

Je ne compris cette dernière phrase que 30 secondes après que la porte fut fermée. En effet quand le noir fut complet, un appareil se mit à fonctionner au centre de la pièce. Je découvris, sur le plafond, une vidéo de transsexuel en train de se faire baiser ou de sucer un autre homme.

Je dus donc m’endormir pour ma première nuit dans la peau de Sophie au son de travesti et transsexuel en train de satisfaire un ou plusieurs homme. J’étais paralysé, tatoué, lavé de l’intérieur, la taille enserrée dans un corset, attaché au lit. De plus, mes parties génitales  étaient enfermées dans une cage de chasteté dont seul Vanessa possédait la clé. L’effet du froid sur ma queue commençait à s’estomper et ma queue commençait à grossir…

Une nuit difficile s’achevait, la première d’une longue série ….

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Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …