Déjeuner avec formatrice dominatrice : Rencontre du métro (3)

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formatrice dominatricePause déjeuner

En effet, ce que j’espérais être un répit, la pause du midi arriva.  Habituellement, nous nous retrouvions à déjeuner entre collègues du groupe sans le formateur. J’allais pouvoir, enfin, retrouver mes esprits. Et bien en fait non, cette formatrice dominatrice qui avait fait durcir ma queue ne trouva rien de mieux que de nous accompagner pour le déjeuner.

Elle s’assurait, régulièrement, que j’avais une légère bosse sur le pantalon. Ainsi, mes collègues féminines devaient croire que j’étais plutôt bien doté, alors que ça n’était que le résultat des sarcasmes de la jolie brunette !

Nous étions dans un restaurant self-service. Dans la file d’attente, elle vint juste derrière moi et se permit de me pincer les fesses en me susurrant des insanités à l’oreille. Je ne savais plus où me mettre. Je rougissais, tentais de rouspéter et bandait de plus belle ! Elle en rajouta forcément :

-tu râles, et tu bandes encore plus, tu es bien une sacrée salope !

Le jouet de la formatrice dominatrice

C’était la première fois qu’on me féminisait dans le discours. Je trouvais cela à la fois curieux et perturbant.

Inutile de vous dire qu’à table, elle vint s’asseoir à côté de moi sur la banquette. J’avais à peine commencé l’entrée que je sentis sa cuisse se coller à la mienne.  Même si j’avais voulu me décaler, c’était impossible. Nous étions trop nombreux à table. Je sentais la jarretelle frotter sur mon pantalon. Je ne compris pas tout de suite comment je pouvais sentir celle-ci aussi bien, jusqu’à ce que j’aperçoive le haut des cuisses de cette formatrice. En fait, en bougeant régulièrement sa serviette, elle me dévoilait le fait qu’elle avait remontée sa jupe pour se frotter à moi. Mon sang ne fit qu’un tour et ma queue se remit à bander de plus belle.

Satisfaite de son effet, la jolie brunette devenait la brune incendiaire. En remettant sa serviette sur ses cuisses, elle en profita pour palper ma queue au travers du pantalon. J’aurai payé cher pour qu’on me branle à cet instant, voire me faire sucer (même devant tout le monde, tellement je n’en pouvais plus !)

Le clou du spectacle arriva avec le dessert. Elle fit mine de devoir ramasser serviette et s’appuya d’abord avec son coude puis carrément avec sa tête alors que j’avais détourné un peu l’attention de mes collègues, sur mon sexe dans un état pas possible ! En se relevant, elle me glissa encore un petit mot : « branlette aux toilettes avant la reprise mais interdiction de jouir ! »

Branlette au toilette

Je ne me fis pas prier. En effet, j’avais trop envie de caresser cette queue tendue et profiter du plaisir qu’elle me procurait. Même si j’aurai préféré la main ou de la bouche de cette formatrice dominatrice ! Je prévins mes collègues que je ne prendrai pas de café car j’avais un appel à donner. Je filai aux toilettes, et sortis ma queue qui se dressa en quelques secondes. Ma poche se mit à vibrer. Un numéro que je ne connaissais pas apparut. C’était elle ! Elle avait récupéré mon numéro dans les informations accessibles seulement aux personnes du groupe et évidemment aux différents formateurs !

-Branle toi bien mon futur chien, mais si tu jouis, tu te souviendras longtemps de l’humiliation et de la punition à suivre ! Tu reviens queue tendue à 14h03 précises, avec ton envie bien présente !

Je n’en revenais pas de l’aplomb avec lequel elle s’adressait à moi. Et en même temps, je ne pouvais le nier, elle m’excitait terriblement !

J’en profitais pour me branler longuement, ma queue mouillait et débordait de liquide séminal. J’en badigeonnais mon gland pour être encore plus excité et avoir encore plus envie. Je jetais un œil de temps en temps à mon téléphone, et les minutes s’égrainaient trop vite !

Moqué par la formatrice dominatrice

Evidemment, j’eu beau faire au mieux, j’arrivais à 14h04. Cependant, je n’avais pas imaginé qu’elle fit une remarque. Je fus donc très étonné d’entendre :

-Deux fois en retard dans la même journée ! Bravo ! Et bien, tu vas rester au tableau pour la peine !

Je me bloquais d’un coup. Elle avait bien vu que la bosse était toujours présente sur mon pantalon et elle en jouait.

Elle ajouta :

-mais non, je rigole, on va faire quelques exercices et on va jouer jusqu’à la pause !

Je craignais le pire une fois de plus.

Elle joua avec moi tout le début d’après midi. Dès que ma queue commençait à se calmer, elle trouvait le moyen d’une allusion coquine, ou pour me dévoiler ses bas, sans compter les petits clins d’œil et les sourires et regards appuyés ! D’ailleurs ma voisine le remarqua, et en rigolant, me dit :

-Tu as vu, ça fait deux fois qu’elle te fait des clins d’œil, tu es le chouchou !!

Elle le disait gentiment pour me taquiner, et heureusement, elle ne savait pas ce qui se tramait et jusqu’à quel point ! Mon envie ne passait pas, elle me tenait par la queue et elle en avait pleinement conscience cette jolie brunette.

La pause de l’après-midi arriva, salvatrice pour aller respirer. Je n’étais pas fumeur, mais je réclamais comme eux de pouvoir aller voir dehors s’il y avait un peu d’oxygène frais ! 😉 Elle nous donna le feu vert… (à suivre !)

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