Esclave soumis de ma femme dominatrice (2)

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Suite du récit : Changement dans mon mariage (1)

esclave soumis de ma femme

Cage de chasteté

Je me réveille tant bien que mal allongé où elle m’a laissé à même le sol. Je suis devenu en une nuit, l’esclave soumis de ma femme ! La vitesse à laquelle est arrivée ma fatigue d’hier soir me fait penser que j’ai été drogué via le verre de Whisky. Mes bras sont libérés et j’ai une couverture sur moi. J’éprouve une gêne au niveau du sexe et je constate avec effroi que celui-ci est emprisonné dans une cage de plastique cerclée de métal avec un cadenas bloquant le tout. Mes mains elles, ont été libérées durant la nuit. Enfin, je le suppose ! -Je vois que tu es réveillé. Bien ! Lève toi et va me préparer mon petit déjeuner ! Tu me l’apporteras au salon.

Je me contente de suivre ses directives en me dirigeant vers la cuisine. Je perds un temps incroyable à préparer un plateau convenable. En fait, je me rend compte que je ne sais pas où sont la moitié des ustensiles nécessaires pour lui confectionner ce qu’elle m’a demandé. Quand je reviens vers le salon, je lui sers son café et son jus d’orange sans qu’elle me le demande. Je ne m’attends pas à des félicitations ou des remerciements mais elle me surprend quand même. 

-Tu vas te mettre sous la table et tu refais ce que tu m’as fait hier soir !

Esclave soumis de ma femme

Je me contorsionne pour arriver devant ses jambes qu’elle a déjà écartées. Il n’y a aucune entrave, cette fois ci. Elle porte simplement une nuisette noire qu’elle a pris soin de relever avant même que je ne sois en position. L’odeur de son sexe est très forte. Elle n’a visiblement pas pris de douche depuis hier soir. Elle arrête rapidement de tremper ses tartines pour venir coller plus encore mon visage sur sa chatte peu épilée.

-Sors ta langue au maximum, garde la bien droite et raide !!

Elle se remet alors à faire des mouvements de bassins limités par la chaise, mais suffisants pour que je la pénètre. « Par bonheur », elle jouit très rapidement et me fait encore tout avaler.

-Vas te doucher et reviens dans cette tenue !!

J’ai l’impression d’être dans une sorte de cauchemar et j’attends de me réveiller. La douche me fait un bien considérable et je prends mon temps, redoutant la suite. Quand je reviens, je retrouve sur la table, une enveloppe ou il y a écrit:

 » à lire une fois la table débarrassée ! »

Je suppose que Viviane est partie prendre sa douche. Je ne mets pas très longtemps à exécuter ma besogne et retourne dans le salon pour m’asseoir afin de prendre connaissance du document qui se présente sous la forme d’une lettre accompagnée d’un dossier :

La lettre

 » Mon très cher Damien,                                                                                                  

Cela fait bien longtemps que je connaissais tes travers et je fomentais depuis longtemps ma vengeance. Si tu décides de divorcer, tu n’auras bien sûr plus accès à aucune ressource. Mon avocate a fait le nécessaire, il y a bien longtemps déjà. De plus, nous avons constitué un dossier avec accumulations de preuves écrites via mail et manuscrites contre toi. Ce dossier est appuyé de vidéos de quelques-unes de tes aventures. J’ai, également, des preuves sur des transferts d’argent sortant de la société de mon père arrivant dans tes poches et ce de manière illégale.

Je sais également que tu es endetté et cela malgré « tes revenus »… Les gens à qui tu dois de l’argent peuvent se révéler très dangereux, surtout ce Diego Forleane. Hors pour l’heure, tu n’as plus rien et tu me devras également beaucoup d’argent. Ces sommes sont inscrites dans le dossier. Oui, tu constateras que les versements que tu t’adjugeais ont disparu de ton compte. Tu auras du mal ainsi à rembourser ce cher Diego !

Je te propose une alternative où tu l’as bien compris, tu seras mon esclave sexuel et domestique quand je le désirerai. Je dois te prévenir que ce que tu as « subi » est comparable à une goutte d’eau dans un lac. Tu devras t’adonner à mes fantaisies sans rechigner ou tu pourrais le regretter amèrement. Mon avocate, Maître Huiller est bien sûr au courant de ce dossier. De plus, je me réserve le droit d’en faire profiter quelques personnes encore.

Suite de la lettre et des nouvelles règles de vie

Si tu acceptes ces règles. Je te laisserai de temps en temps continuer tes frasques, mais elles seront très espacées par rapport à celles vécues jusqu’à maintenant.

Tu seras quand même essentiellement à mon service quand je le désirerai. Ce que tu as entre les cuisses m’amuse pour l’heure, mais je pourrais m’en lasser… Une bonne conduite de ta part pourra me laisser être clémente de temps en temps (enfin, en fonction de mon humeur…). Lorsque tu auras du temps libre, tu continueras ta vie en dehors de la maison comme si de rien n’était, mais si tu ne répondais pas au téléphone ou si tu ne rentrais pas dans les temps impartis, je déposerais ce dossier (dont tu ne tiens qu’une copie bien sûr!). Tu sais très bien ce qu’il t’arriverait ensuite.

Lorsque je reviendrai au salon après la lecture de cette lettre, je veux que tu quittes la maison avec les conséquences que tu connais. Ou alors, tu choisis l’autre solution et en gage de réponse et de soumission, tu vas prendre les chaînes et menottes dans le tiroir de l’étagère à côté du canapé et te les mettre en place en m’attendant. « 

Ma vie vient de basculer d’un coup !

Je n’hésite pas longtemps et je vais chercher les entraves désignées. N’ayant aucune indication, je place les menottes devant. La chaîne reliant mes chevilles me laisse tout juste marcher, mais je suppose que je dois m’estimer heureux !

Ma « Maîtresse » revient et elle constate ma présence avec un sourire de satisfaction. Elle sait très bien que je n’ai pas le choix. Je n’ai pas le temps de me poser trop de questions sur mon avenir que déjà la sonnerie de la porte se fait entendre. Viviane s’empresse d’aller ouvrir. Je me mets à transpirer. Sans doute, cela est-il dû à la peur de cette nouvelle situation. La peur également du choix de ma femme de me laisser montrer tel quel à un étranger. Je n’ai pas le temps de paniquer que ma femme revient accompagnée de Maître Huiller.

C’est sa fameuse jeune avocate très talentueuse et très jolie (ce qui ne gâte rien). Elle a de longs cheveux bruns qui lui descendent en bas du dos, des yeux marrons à tomber par terre et un galbe de jambe lorsqu’elle est en jupe. Je me suis toujours abstenu de lui faire la moindre allusion car elle est la meilleure amie de ma compagne. Elle sourit devant le spectacle que je propose et dit:

-Je vois qu’il a accepté les conditions. On peut donc commencer à s’amuser un peu !

Arrivée de la jolie avocate

Je suis totalement pris au dépourvu. Les deux femmes s’approchent de moi et je n’esquisse pas le moindre geste de recul. Je suis pris d’une sorte de passivité devant le rocambolesque de la situation que je ne dois toujours pas avoir accepté en tant que réalité. L’avocate se glisse derrière moi et me saisit la taille. Ensuite, elle commence à me tambouriner les fesses avec son pubis. Je sens le tissu de son jean caresser mes fesses. Je suis alors pris d’une érection vite « comprimée » par le gadget placé durant la nuit à mon insu.

-Oui, tu vas voir qu’il va aimer ça cette petite salope !

Je dois dire que j’ai peur de comprendre leurs allusions. Viviane se retire et revient une minute plus tard avec un sac de sport qu’elle pose sur la table basse. Elle en ressort un gode ceinture qui, s’il n’est pas grand a le mérite de m’effrayer un tant soit peu. Elle entreprend de se l’attacher autour de la taille tout en soulevant sa robe. Maître Huiller l’aide à le positionner et va chercher dans le sac un tube qui ne peut être que du lubrifiant. Puis, elle se place derrière moi et m’ordonne:

-Allez, penche toi en avant et écarte les jambes autant que tu pourras !

J’hésite un instant et cela ne doit pas convenir à l’avocate car elle se penche derrière moi pour me saisir par les testicules afin de me contraindre à obéir. Elle relâche ensuite la pression et commence à me badigeonner le pourtour de mon orifice anal. Elle entre ensuite très délicatement son index préalablement enduit de cette graisse plus profondément. Je ne réagis pas et cela ne manque pas de les faire toutes deux glousser.

Sodomisé par sa femme

-Amélie, pas trop quand même, je tiens à être la première à lui faire découvrir cette sensation.

Viviane se place derrière moi et m’appuie sur le dos afin que je plie les jambes. Amélie se positionne devant moi et colle le haut de mon crâne sur son ventre, m’empêchant d’avancer ou de tomber. Ma position est grotesque avec mes bras ballants, Ma femme présente le faux pénis et le fait rentrer tout doucement. Une certaine résistance se fait et elle me saisit par la taille et force un peu. Son entreprise réussit car elle parvient à s’enfoncer davantage. Elle exécute quelques vas et viens et déjà je ne peux retenir quelques râles.

Survient une pause et je vois les jambes de l’avocate s’écarter comme pour se préparer à une plus grande résistance. Je n’ai pas trop le temps de réaliser que Viviane me pénètre d’un coup sec et je ressens le tissu de sa culotte sur mes fesses. Là encore, je ne peux retenir un grand cri. C’est très douloureux, mais ma très chère et tendre ne s’apitoie pas et commence à accélérer la cadence tout en amplifiant les allers retours. Amélie me soutient en passant ses mains sous mes aisselles. Mes cris ne peuvent couvrir leurs rires. Encore une fois, ma femme jouit rapidement. Elle termine par des à-coups plus lents mais plus violents ponctués par une claque sur la fesse à chaque pénétration.

Jouet de ma femme

esclave soumis de ma femme

-Il me fallait au moins ça pour jouir, ce joli postérieur ne demandait qu’à être défloré. Ne t’en fais pas Damien, tu y auras droit plus souvent que tu ne puisses l’espérer !

Si j’avais pu me douter un jour que je serais l’esclave soumis de ma femme, son jouet !

Elle ressort l’instrument de torture de mon postérieur et je m’écroule sur les genoux. Je regarde le sol, effondré. Mais je n’ai pas le temps de souffler que j’entends le bruit d’une fermeture éclair. Je daigne relever la tête pour voir la jolie avocate baisser lentement son jean et son string. Elle ne les retire pas complètement et me prend derrière la nuque pour me coller la bouche sur son sexe parfaitement épilé si ce n’est cette petite bande verticale. Je m’applique à lui lécher le « saint sanctuaire ».

Ses gémissements m’indiquent qu’elle semble apprécier. J’entends ma femme s’affairer dans le sac à côté mais je ne vois strictement rien de ce qu’elle prépare. Une main m’appuie sur le crâne et m’écarte de « mon affaire ». Amélie me fait passer devant le visage une sorte de Gode incurvé dont elle s’enfonce la plus petite partie entre les lèvres de son sexe, laissant un pénis factice rose en ressortir.

-Tu vas le lubrifier avec ta bouche mon mignon !

et de l’avocate dominatrice !

Elle me reprend par le dessus du crâne pour m’amener au-devant de cette grotesque protubérance.

Allez ! ouvre ta bouche pour faire autre chose que raconter des conneries. Suce moi ça, petite salope !

Si je ne cède pas, je la crois capable de me défoncer les dents. Elle enfonce, toutefois, l’appendice avec une certaine délicatesse et commence à faire des va et viens me forçant à avaler la moitié de l’engin à chaque aller-retour. Je hume l’odeur de son sexe, m’excitant par la même occasion, mais toujours emprisonné. Derrière, Viviane que j’avais oubliée, réclame :

-Une petite gorge profonde pour ma lopette qui va s’activer par elle-même aussi !!

Se faisant, l’avocate fait descendre sa main du sommet de ma tête vers ma nuque et en profite pour me tirer vers elle. Le Gode manque de m’étouffer et des bruits étranges d’étranglements se font entendre de ma part. Elle reprend ses mouvements de bassin plus férocement et surtout plus profondément, amplifiant les sons de succions.

-Bon, comme l’a demandé mon amie, tu vas te mettre au boulot et me sucer correctement en exerçant une bonne pression sur mon « Share », que la partie en moi bouge un peu. Tu m’as bien compris ?

Elle s’arrête et je ne tarde pas à m’employer à avaler toute la partie sortante en le serrant de mes lèvres comme demandé. Me femme ne peut s’empêcher de constater:

-Je le trouve très doué, il a dû déjà pratiquer avant ! Allez, encore plus d’entrain ! Tu vas faire jouir ma copine avec ta bouche !

Les minutes sont longues… La dame du barreau se retire d’un coup sec et me pousse et je me retrouve échoué sur un flanc.

-Mets-toi à quatre pattes chien !

Suite de la séance SM

Devant mon manque d’empressement, je reçois un coup de pied dans les hanches. Je prends donc la position demandée tandis que Viviane aide son amie à se dégager de son pantalon et de son slip. Amélie se glisse ensuite derrière moi et entreprend de me pénétrer avec son « Share ». Elle place ses jambes sur l’extérieur des miennes. La peau douce de l’intérieur de ses cuisses caresse l’extérieur des miennes. Cela n’est pas désagréable. Je suppose qu’elle doit pratiquer plus souvent que ma femme, car elle y arrive du premier coup et encore une fois, avec une « certaine délicatesse ».

Elle procède de la même façon que pour la fellation qu’elle m’a obligé de faire. Le gode ne pénètre pas en entier et ce n’est pas pour me déplaire car je redoute la deuxième phase… Viviane vient ensuite se placer devant moi. Elle s’assoit à même le sol et écarte les jambes. Elle a enlevé sa robe et ses sous-vêtements pendant que je suçais Amélie. Je ne suis guère concentré sur Viviane avec ce qui m’arrive dans le cul. Cela ne trouble pas ma femme qui me saisit la tête pour m’aplatir contre sa chatte. J’ai toujours énormément de mal à me concentrer sur le cunnilingus et Viviane saisit l’opportunité pour dire à son amie:

-Défonce le, il n’arrive pas à faire deux chose en même temps ce pauvre homme !

-Il va bien falloir qu’il y arrive, c’est une phase majeure de son apprentissage !… Han !!

Les deux dominatrices en extase !

Elle me prend avec un élan redoutable et je m’écrase littéralement contre le sexe de ma femme qui en profite pour se masturber le clitoris à l’aide de mon nez qui revient vers elle à chaque poussée de l’avocate. Mes gémissements, encore une fois, ne manquent pas de les exciter. La scène me parait interminable. Viviane a déjà joui et elle m’a éjaculé en pleine tronche. Amélie halète dans mon dos et continue ses coups violents dans mon anus. Le petit rectangle poilu vient me caresser la raie des fesses. Elle profite ensuite du retrait de Viviane pour se retirer et prendre la place précédente de ma femme et ce, avec le Gode tout suintant.

-Allez mon bonhomme, tu n’as pas fini le boulot ! Et tu t’appliques de la même façon que tout à l’heure ! Bon, ouvre ta bouche petit chien !

Le goût est assez acre et j’essaie de ne pas montrer mon écœurement, mais je m’applique à la satisfaire car, je dois reconnaître que les quelques coups reçus jusqu’ici m’ont suffi. Elle me repousse légèrement pour ressortir le faux pénis et m’introduit l’extrémité qui était dans son vagin, dans ma bouche.

Le plug

-On ne fait pas les choses à moitié. Ensuite, tu iras le nettoyer, il resservira plus tard. Tu nous retrouveras dans la véranda avec le café que tu auras préparé.

Je finis donc de sucer le Share et quand elle juge cela satisfaisant, elle se relève et me laisse avec l’outil de torture dans la bouche. Je me prépare à exécuter les ordres quand Viviane m’interrompt:

-Attends, garde la position. je dois te préparer pour plus tard.

Elle m’introduit un Plug dans l’anus et me claque les fesses pour m’indiquer qu’elle a fini afin que je vaque à « mes occupations ». Le Plug doit être d’un diamètre assez conséquent puisque je ressens plus de douleur que précédemment. Il est rentré très facilement, car je le suppose, ma femme avait du bien le lubrifier !

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3 réflexions au sujet de “Esclave soumis de ma femme dominatrice (2)”

  1. Bonne vengeance de la part Viviane. Cette histoire montre bien la supériorité de la femme sur l’homme. J’espère que demain sera un monde gynarchique.

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