La lope soumise des lascars : L’immeuble (5)

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lope soumise

L’immeuble de fous

Je n’en peux plus, c’est un immeuble de fous. En fait, je ne vais jamais m’en sortir. En effet, je suis la chose, la lope soumise d’une Maîtresse dont j’ignore tout mais que je devine sévère. Et elle compte bien me partager avec tous ses voisins pervers. C’est un enfer qui m’attend. Je n’ai pas le temps de m’apitoyer sur mon sort que la porte s’ouvre une nouvelle fois et, horreur, j’entends la voix d’un homme cette fois. Il ne manquait plus que ça !

-Putain, Martine, ma chérie, tu nous a gâté là, j’y crois, pas, la belle lope soumise que voilà. Hé les mecs, venez voir notre nouvelle pute blanche, venez vous allez vous régaler !

En quelques secondes la pièce est remplie par 6 ou 7 personnes, des hommes jeunes. La porte se referme. Je sens l’odeur du cannabis qui tourne. Ça rigole, ça vanne et ça s’installe un peu partout pour le spectacle !

La bande à Momo

-Salut ma pute ! Toi tu as de chance de tomber sur l’immeuble le plus funky du quartier, j’te jure ! Alors moi c’est Momo, tu vois j’ai réussi, je suis producteur de rap et d’autres trucs comme ça, c’est avec la tune que ça me rapporte que je crèche chez les bourges, ici. J’ai le grand loft du 4eme. J’y reçois mes potes, mon crew, tiens je te présente une partie, y’a Abdel, Franck, Annis, Malik, Jeff et pis d’autres que je connais pas trop bien, tu vois, moi je viens de la banlieue, j’ai connue la misère, mais j’ai pas oublié mes potes. Et dès fois, j’aime bien refaire les tournantes des caves qu’on faisait chez moi quand j’étais jeune.

Tu vois le tableau ma pute ? Ma bande de black et de rebeu elle aime bien fourrer sa queue dans de la barbaque blanche de première qualité. Toi, on voit qu’il y a manger, on va bien se marrer, allez les mecs, qui veut y aller en premier ?

Ainsi, le cauchemar ne pouvait être pire. En effet, moi qui n’avait connu quasiment que le minou de mon ex-femme, moi qui était l’hétéro lambda, me voilà aux mains d’une bande de mecs qui ne pensent qu’a faire de moi leur pute à tournante. Trop, c’est trop, je vais crier que je ne veux pas… J’aimerais crier mais déjà un mec enfourne sa grosse queue dans la bouche ! Ensuite, il prend ma tête entre ses mains et fait aller et venir sa bite dans ma bouche, forçant mes lèvres, pénétrant bien profond dans ma gorge.

La lope soumise de la bande à Momo

Dans le même temps je sens un autre qui crache sur ma rondelle et y enfourne sec sa bite toute raide. Je me tord de douleur. Il vient bien loin dans mon cul. Ses mains s’agrippent à mes hanches pour avancer encore plus profond en moi. Je suis attaché, livré à une horde sauvage qui me ravage. Le premier crache son foutre épais et salé dans ma gorge. Il laisse sa queue dans ma bouche m’obligeant à déglutir pour tout avaler. Je pleure à nouveau et regrette ma « maman » cajoleuse d’avant. A peine s’est-il retiré qu’un autre prends sa place dans ma bouche. Ils vont ramoner ma gorge et mon cul pendant de longues minutes. M’insultant, me traitant de « bonne blanche à black ».

Certains ont des queues impressionnantes et ils rient de voir mon petit asticot tout flasque. Ils me déchirent le cul, je sens la chaleur de leur foutre qui s’accumule en moi, me remplit à chaque secousse. Je suis une chose entre leur main, un vide couilles sans valeur. J’aperçois dans un coin de la pièce qu’il y a une jeune métisse, la seule fille du groupe, elle me regarde en fumant, je vois dans ses yeux que pour elle je ne suis pas un homme mais une serpillère dont se servent ses amis. Ainsi, la honte la plus avilissante s’empare alors de moi. Je craque, je suis réduit à néant, entre les mains de tous ces types, leurs queues en moi, leurs couilles contre mon cul…

La lope soumise de ma Maîtresse

Lorsqu’ils se retirent tous enfin, je ne tiens plus sur mes bras et mes genoux. Je suis flasque, je tressaille, je tremble, je veux m’évanouir pour tout oublier. J’entends juste avant le premier me dire « allez, à plus ma pute, passe nous voir au loft, tu sera toujours bienvenu pour vider nos couilles » et des rires gras… puis plus rien…

Lorsque je me réveille, quelque minutes plus tard, sur le carrelage froid, souillé de foutre et de crachas, je suis anéanti. Mon cul est ouvert comme jamais et me brule. J’ai le goût acre de différentes foutre sur la langue. Je suis une loque. « Oui tu es une loque, tu es ma lope soumise », me glisse à l’oreille ma maitresse qui s’est accroupie à côté de mon corps ravagé. Maintenant que tu as fait connaissance avec certains de mes voisins, je vais pouvoir commencer mon travail, je vais te modeler à mes souhaits. Maintenant que tu as abandonné toute dignité, tu es prêt pour ce long voyage. Je te ferais à ma guise et je t’offrais à qui je veux. Tu es ma chose maintenant, bienvenu chez toi Luc, reste à genoux, c’est ta place… »

A suivre…

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