Soubrette mâle au service de jeunes dominatrices (9)

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Résumé des épisodes précédents

Je me trouve désormais en fâcheuse posture, ma vie est en train de basculer. Quatre jeunes demoiselles autoritaires et sadiques sont  en passe de contrôler ma vie, dans le but de faire de moi, une soubrette mâle totalement à leur service dans tous les sens du terme. Je viens de subir un châtiment physique dont je garderai la trace toute ma vie. Il fut long et douloureux, mêlant la douleur physique du châtiment corporel à l’extrême humiliation dispensée à chacune des étapes de cette sévère correction.

Cette punition n’est qu’un des volets de la sentence prononcée par ce tribunal féminin. En effet, j’ai été condamné à une série complète de punitions touchant tous les aspects de la vie : contrôle sexuel, brimades physiques, humiliations diverses, notamment cérébrales. De plus, chacune de ces Maîtresses a son champ d’intervention privilégié.

Maîtresse Anais vient de démontrer son savoir faire en matière de châtiment corporel.

Education à l’anglaise pour la soubrette mâle

Maîtresse Nadia, elle s’est instituée  « directrice d’études ». Elle veut m’éduquer et façonner ma nouvelle identité. Ainsi, elle me considère comme une écolière et elle me promet un régime disciplinaire digne des pensions les plus strictes. Pour y parvenir, elle a inclus toute la gamme des activités scolaires traditionnelles attachée à ce genre d’établissement. Ainsi, il y a des devoirs écrits dans tous les domaines, des interrogations orales et écrites, des punitions écrites, sans oublier les grands classiques de l’éducation anglaise.

Maîtresse Camille, qualifiée par ses amies elles-mêmes de « vicieuse dévergondée lubrique », se fait fort de me façonner comme soubrette mâle sexuelle. Lors des épisodes précédents, elle avait manifesté son impatience d’entrer en action pour jeter son dévolu sur sa nouvelle proie à plusieurs reprises.

Enfin Maîtresse Jessica présentée comme « présidente  » de ce petit groupe, semblait être l’initiatrice et la coordinatrice. Tout en prenant une part du gâteau, toute symbolique, elle m’annonça la pose prochaine d’une cage de chasteté dont elle, seule, détiendrait la clé, ainsi que l’exclusivité pour l’accomplissement de certains « services ». Cela n’augurait rien de bon pour moi.

Dans l’attente d’une nouvelle correction ?

Comme je le disais, malgré l’état pitoyable dans lequel je me trouvais à l’issue de cette correction, nulle trace d’un minimum de compassion de la part de ces demoiselles. Elles avaient, manifestement, pour but, de me briser définitivement et d’étouffer toute velléité de résistance à l’avenir.

Ainsi, je n’eus pas le temps de me poser la question, de savoir si on allait m’accorder un répit, ne serait-ce que bref. Maîtresse Camille m’ordonna de m’allonger sur le dos, jambes bien jointes, les deux bras bien tendus, étirés en arrière. Cela n’était pas très confortable, ajouté au fait que mes fesses étaient sérieusement endolories. Elles n’avaient pas encore eu le temps de se remettre de ma punition.

Toujours, suivant le même raffinement sadique, j’attendais dans cette posture sans savoir ce qui m’attendait. Maîtresse Camille faisait durer manifestement ce plaisir, pour elle, de l’attente fébrile qui s’emparait de moi.

« Prise en main » très sévère !

J’eus alors le tort de bouger légèrement pour me soulager de mes brûlures aux fesses. C’était sans doute le but cherché de cette attente, me pousser à la faute.

Doute vite dissipé car Maîtresse Camille bondit sur l’occasion pour me le reprocher:

-c’est comme ça qu’on accueille bien docilement sa Maîtresse, venant prendre possession de son corps ?

Puis se tournant vers ses compagnes, elle ajouta :

-vous avez vu les filles, à quel point Delphine manque d’éducation? Incapable de se contrôler et d’obéir aux ordres les plus simples! Est-ce que ça vaut la peine de s’occuper d’une telle misérable soubrette?

J’étais trop abattu pour oser dire que si je n’étais pas éducable, autant me laisser tranquille, d’autant qu’il était évident que ces critiques étaient ostensiblement destinées à me rabaisser davantage.

Et les autres filles, de se lamenter de concert, Maîtresse Nadia fermant le ban, en ramenant les choses à la dure réalité pour moi en estimant que cet état de fait justifierait une prise en main, exceptionnellement sévère.

Et sans temps mort, pour concrétiser ses paroles, elle sortit un rouleau de papier adhésif épais, visant à m’entraver les pieds strictement, ainsi que de lier mes mains idem, au dessus de ma tête, me laissant encore plus sans défense.

Satisfaite de son travail, elle poussa le vice à me demander :

-alors Delphine, qu’est ce qu’on dit à sa Maîtresse Nadia quand elle vient t’apporter un peu de confort?

Giflé par Maîtresse Nadia !

Quel toupet ! celui que seuls ceux qui ont le rapport de force osent proférer, et même si je comprenais ce que Maîtresse Nadia attendait de moi, le léger laps de temps au cours duquel, je restais silencieux, parut trop long à son goût. Elle posa son pied sur mon sexe en y exerçant des pressions suffisantes pour me rappeler à l’ordre.

Une nouvelle fois vaincu, je bredouillais :

-pardon, oui, Maîtresse Nadia, je vous remercie de bien vouloir m’apporter du confort !

Mais cela n’eut pas l’air de lui plaire :

-c’est comme ça qu’on remercie sa Maîtresse ?

Dans la foulée, 3 paires de gifles s’abattent sur mon visage. Ensuite, intervient la fesseuse en chef, Maîtresse Anais, déjà prête à reprendre du service, qui dit à son amie :

– tu veux que je lui donne une nouvelle leçon ?

-Non, Anais, repose-toi un peu, mais je lui ferai payer cet affront personnellement, et elle regrettera cette intolérable impolitesse. Si je te reconnais des compétences en bonne experte des punitions corporelles, je peux aussi exercer des talents dans le maniement de la cane anglaise.

Elle ajouta, menaçante :

-Delphine, tu vas vite découvrir le charme de cet instrument indispensable à une bonne éducation, tu me diras ensuite si c’est mieux que la cravache de Maîtresse Anais !

Inquiétude sur l’avenir !

Paradoxalement, l’empressement de Maîtresse Camille de s’occuper de moi, mit un terme à cet épisode dont je me serais bien passé. Maîtresse Nadia se mit, en retrait, à cet instant.

Pendant ce temps, Maîtresse Jessica s’était éloignée. Elle était, en grande conversation téléphonique. Cependant, j’avais l’impression que cela me concernait, puisque mon nom,  Delphine, semblait avoir été prononcé à plusieurs reprises. Cela n’arrangeait pas ma situation, car j’en étais à me demander combien de personnes allaient être au courant de ma relation avec ces jeunes filles.

J’aurais bien aimé en savoir plus car il s’agissait d’une nouvelle source d’inquiétude. Mais je n’eus pas le temps de m’inquiéter plus, car Maîtresse Camille s’approcha de moi. Avec un sourire carnassier, elle tourna autour de moi et jaugea sa créature totalement à sa merci. Elle faisait penser au chat qui est sur d’attraper sa proie.
Et dans le même temps, Maîtresse Jessica conclut son entretien téléphonique en haussant la voix (était ce délibéré?). Ainsi, je pus me entendre sa dernière phrase, fort peu rassurante pour moi.

-ah, c’est super ma chérie, je vais annoncer la bonne nouvelle à Delphine!

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