Les plaisirs partagés de ma Maîtresse dominatrice tout un weekend

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A la recherche de ma Maîtresse dominatrice

Que de souvenirs avec le minitel lorsque je chercher ma Maitresse dominatrice. Cela m’a permis de rencontrer tant de femmes. Mais on y trouvait aussi vraiment de tout. Combien d’heures passées en discussions, parfois totalement stériles, où n’aboutissant à rien d’autre qu’un déballage de fantasmes. Tout cela dans le but de faire durer la conversation le plus longtemps possible.

Ah oui sur certains ‘3615’, ils avaient acquis une véritable technique pour accrocher et nous pousser à rester. Mais j’ai appris à débusquer ces « hôtesses » et à reconnaître celles avec qui cela pouvait déboucher sur une vraie histoire. Le ratio restait très faible, j’obtenais au mieux une rencontre pour 200 contacts. Et encore sur 80% de ces rencontres, il y avait l’aspect ‘vénal’ qui rentrait en ligne de compte.

Pourtant, c’est dans ce contexte difficile que j’ai fait la plupart de mon apprentissage. Certaines dominatrices m’ont laissé de très excitants souvenirs et j’y repense de temps-en-temps avec une grande nostalgie. J’ai un souvenir qui me revient de suite. Tout avait débuté par un rendez-vous pris pour tout un week-end. Cependant, je partais méfiant et pas forcément très emballé. En effet, j’avais peur de revivre une précédente expérience pendant laquelle je m’étais déplacé très loin pour une rencontre qui devait, au départ,  durer toute une nuit. Finalement, cela avait été une vraie déception, car j’avais senti que l’argent était la seule motivation de ces deux femmes. Elles m’ont mis dehors au bout d’à peine une heure. Tout simplement parce qu’elles se sont aperçues que je ne viderais pas mon compte bancaire facilement. Mais quel dommage, car physiquement j’étais très emballé. Aussi, je ne regrette absolument pas cette unique heure, malgré mon énorme frustration.

Rendez-vous sur le quai de la Gare

Alors que je me rapprochais de la frontière Luxembourgeoise pour mon rendez-vous du week-end, j’imaginais toutes les situations possibles. Ainsi, je voulais être prêt à toute éventualité pour mon arrivée. Le voyage passa finalement si vite que je me retrouvai un peu perdu sur le quai, je me ressaisis assez vite. Mon cœur commença à s’emballer et j’appelai le numéro de téléphone de la personne que je rêvais de servir tout ce week-end.

Une voix sèche et autoritaire me répondit, un ton nettement différent du premier appel après la conversation au minitel. Je lui indiquai humblement avec une voix timide et impressionnée que j’étais arrivé et que j’attendais ses instructions. Elle voulut s’assurer par quelques questions que j’étais toujours bien motivé et notamment que j’accepterai bien de dormir à ses pieds sans rechigner. Evidemment, je répondis un ‘oui’ enthousiasme et motivé, ce qui la rassura et elle me répondit de rester devant la Gare.

Je n’attendis pas très longtemps mais cela sembla pourtant très long. Mon cœur n’arrêtait pas de battre la chamade, j’étais si impatient de la rencontrer, tout en espérant que le feeling passerait entre nous. Car j’ai besoin de sentir cette ‘accroche sentimentale’ pour me soumettre pleinement et sans détour. Puis une voiture s’arrêta devant moi, la fenêtre s’ouvrit et j’entendis l’ordre d’entrer sans autre formule de politesse. Je me précipitai et je sentis immédiatement cette ‘accroche’, ça commençait bien me dis-je.

Pendant le trajet, assez court, je n’avais le regard que vers mes pieds. N’osant pas la regarder, je répondais timidement à ses instructions pour l’arrivée chez elle.

Lécheur des pieds de ma Maîtresse dominatrice

Maîtresse dominatrice

 

On devait entrer par une porte derrière la maison. Je  devais marcher derrière elle et avec ordre de rester silencieux, sauf si elle m’autorisait à parler. En la suivant, on descendit un étage vers un endroit aménagé spécifiquement contenant une pièce de toilette et une chambre. Il y avait un grand lit et un petit lit sur son côté gauche.

Immédiatement, elle me fit comprendre qu’elle était la Maîtresse. Sans perdre une seconde, elle m’ordonna de me mettre tout nu à genoux avec les mains derrière le dos pour me présenter à elle. Elle me mit tout de suite un collier et une laisse m’expliquant que je devais être son chien obéissant pour tout le week-end. Tout en s’allongeant sur le grand lit, elle m’ordonna de lui enlever ses chaussures et de masser ses pieds longuement. Puis elle me demanda de les embrasser langoureusement et de bien lécher entre les doigts puis les plantes. Ayant commis la faute d’être un peu hésitant, elle se leva d’un coup et pris un martinet. Tout en m’ordonnant de me mettre à 4 pattes, je reçus une pluie de coups de fouet sur les fesses et le dos.

Puis, je dus recommencer à m’occuper de ses pieds, pendant qu’elle m’expliquait qu’elle adorait qu’on s’en occupe et que j’avais intérêt à être « bon ». Pendant que j’étais à la tâche, elle commença à me raconter qu’elle allait me tester sur plusieurs choses auxquelles je devrais me plier pour son plaisir.

Lécheur d’anus

Elle enleva sa petite culotte qu’elle me fit lécher pour que je prouve ma dévotion. En se retournant sur le lit, elle m’ordonna de venir lécher son anus avec ordre de bien y enfoncer ma langue. Je m’exécutai immédiatement. Pour y arriver, je dus enfoncer mon visage au plus profond, entre ses petites fesses fermes et si jolies. Je m’appliquai au mieux pour forcer le passage avec ma langue pendant un long moment. Cela ne lui a sans doute pas suffisamment plu, car elle se redressa en disant que je devais mieux faire et m’ordonna de lui enfoncer un doigt bien profondément dans l’anus. Mon doigt força le passage qui s’ouvrit, lui offrant un petit râle.

-C’est mieux, continue et enfonce-le encore , me dit-elle.

Je continuai au plus profond possible et je reçus l’ordre de mettre un second doigt. Puis après avoir fait des petits aller-retours avec mes doigts, elle me dit stop. Ensuite, elle s’assit sur le lit devant moi qui étais à genoux par terre. Elle me regarda avec un grand sourire puis elle m’ordonna de lécher mes doigts immédiatement devant elle pour prouver que j’étais heureux de le faire et reconnaissant de cet honneur de goûter ainsi son intimité. Je n’hésitai pas une seconde et je lui répondis que j’étais heureux de le faire et que j’aimais ça !

–  Bien !  me dit-elle en se levant, monte sur le lit et mets-toi sur le dos bras et jambes écartés!

Elle m’attacha les pieds et mains aux coins du lit, puis elle écrivit sur ma poitrine avec un crayon de maquillage, que je lui appartenais. Puis elle sortit tranquillement de la pièce avec la bouteille de champagne qu’elle m’avait demandé en cadeau.

Urinoir personnel pour ma Maîtresse dominatrice

Elle ne revint qu’un bon moment après, je l’entendis descendre les escaliers, ce qui fit accélérer mon cœur à nouveau. Car j’adorais être attaché, et ainsi utilisé par ma Maîtresse dominatrice. En rentrant dans la chambre, elle m’examina avec un grand plaisir et me dit que le champagne offert n’était pas mauvais. Mais que j’aurais l’occasion d’en boire un encore bien meilleur. Je compris avec grande satisfaction ce que cela voulait dire.

Elle m’expliqua ce qu’elle attendait de moi pour cette nuit, qu’elle avait l’habitude de se lever souvent pour faire pipi et qu’elle m’utiliserait pour cela. J’avais donc intérêt à être un bon urinoir.

Tout ce qu’elle me racontait m’excitait terriblement et elle s’en rendit bien évidemment compte immédiatement.

– Je vois que cela ne te rend pas insensible, hein mon gros cochon ? , me dit-elle enjouée. On va vérifier de quoi tu es capable pour ta Maîtresse dominatrice !

Elle me détacha alors et me cria de m’allonger sur le dos au bout du lit. Je me précipitai et elle m’attacha ma main et mon pied gauche aux pieds du lit.

– Je ne veux pas une goutte par terre !  me cria-t-elle. Tu vas tout boire, car c’est le champagne divin de ta Maîtresse, tu as bien compris ? Attention à ne pas me décevoir sinon tu dégages tout de suite, tu as compris Esclave ?

Je lui répondis un grand :

-Oh oui divine Maîtresse !

Une vue si magnifique !

Habillée avec sa robe courte et légère sans autre vêtement, elle positionna ses deux jambes au-dessus de mon visage. Je pouvais, ainsi, admirer ce qui est le plus magnifique chez une Femme. Son intimité était d’une beauté rare, un sexe fin légèrement recouvert d’un duvet brun, qui donnait l’impression d’être aussi pur qu’une vierge. Je ne pouvais enlever mon regard de ce tableau étincelant. Je n’avais qu’une idée en tête, avoir l’honneur d’y mettre ma langue. Mon excitation était telle que je commençai à lever la tête vers cette merveille avec ma langue pendante. Elle s’accroupit alors pour rapprocher sa source divine de ma bouche et les deux se rencontrèrent, moi l’ouvrant le plus possible et me collant contre elle pour qu’aucune goutte ne puisse s’échapper. Attendant de sentir son ruissèlement divin envahir ma bouche.

Ce qui ne tarda pas et je m’étonnai moi-même à boire son champagne doré avec une telle facilité et un si réel et intense plaisir. Jamais au combien jamais, je n’avais eu un tel plaisir à boire ainsi à la source d’une Femme. Pour la première fois de ma vie, il n’y eut aucune goutte de perdu, alors que la quantité qui a jailli de ma Maîtresse était pourtant impressionnante. Quand elle eut fini, je restais collé à son sexe cherchant avec ma langue encore des gouttes à boire.

Ce qu’elle sembla apprécier, car pendant que son écoulement précieux s’évacuait dans ma bouche, elle ne chercha à aucun moment à se décoller de moi et de ma langue qui était à l’ouvrage. Elle se releva exprimant un grand plaisir.

– Ahhhh, ça fait du bien… bon tu aimes ça !, tant mieux car tu seras mon urinoir personnel à chaque fois que j’aurai envie de faire pipi, ahhh ta Maîtresse apprécie beaucoup.

Etais-je observé ?

Puis elle me donna des coups de pieds pour que je me colle vers le lit et ne gêne pas son passage, et elle repartit de la pièce. Restant ainsi par terre attaché aux pieds du lit, avec son gout de champagne dans la bouche, et malgré ma situation, j’étais le plus heureux des hommes !

Je m’assoupissais sur le sol, quand j’entendis une porte s’ouvrir et des pieds dans l’escalier, mais ces bruits de pas étaient différents, comme furtifs. J’essayai de tourner la tête comme je pouvais avec mon collier et ma laisse qui traînait par terre. Je vis des pieds nus émergeant d’une robe de chambre, immobile et me regardant sans doute, puis il y eut un pouffement comme un petit rire et j’entendis les pas remonter l’escalier précipitamment.

Il se passa encore un long moment, quand enfin je reconnus les pas de ma Maîtresse descendre l’escalier. Sans doute avait-elle dîné avec sa famille qui était au-dessus. Car elle m’avait expliqué que je devais rester discret pour justement faire attention à ses enfants adolescents qui ne devaient pas savoir que j’étais là. Je commençais à me demander si vraiment personne n’était au courant ?

Elle me regarda longuement en me poussant avec ses pieds et m’écartant les jambes. Car je devais toujours me montrer offert à elle. Puis elle me détacha et je devais me mettre à 4 pattes sur le lit lui offrant mes fesses. Elle se mit à me fouetter à de multiples reprises pour bien rendre visible mon statut d’Esclave. En étant littéralement tiré hors du lit par ma laisse, je fus jeté à terre sans ménagement, pendant qu’elle s’asseyait sur le lit avec ordre de bien m’occuper de ses pieds.

Banane au chocolat

Je n’avais plus aucune notion du temps qui passait, puis elle me dit qu’elle n’en pouvait plus de garder au chaud mon dîner. Elle m’ordonna de me mettre en position. C’est-à-dire sur le dos bras et jambes écartés sur le sol et bouche ouverte. Mais à la différence des autres fois, elle se mit au-dessus de ma bouche en présentant ses fesses, qu’elle tenait entre ses mains.

– Ta Maîtresse t’a préparé un très bon dîner, elle a mis au chaud une banane qui te fera une bonne banane au chocolat, tu as intérêt à y faire honneur !
Me dit-elle en écartant ses fesses et en laissant sortir la bouillie de banane toute chaude de son anus.

Je m’efforçai de manger le plus vite possible pour que ça ne tombe surtout pas par terre. Malgré l’humiliation terrible, j’en prenais un plaisir si fort que je n’ai pu m’empêcher de jouir. Immanquablement un peu de banane au chocolat tomba par terre, ce qui l’a mise dans une colère noire. Elle se frotta sur mon visage et mon corps pour s’essuyer les fesses. Une fois qu’elle avait les fesses bien propres. Elle me prit la tête et la plaqua au sol pour que je nettoie totalement avec ma langue.

– Jamais plus ça ne doit arriver ! : me menace-t-elle sèchement en me fouettant pour me punir.

Elle m’ordonna d’aller sur le petit lit à gauche du sien et m’y enchaîna. J’étais entravé de partout sentant le métal froid des chaînes sur mon corps, ne pouvant quasiment pas bouger. Puis elle alla dans son lit habillé d’une simple nuisette. Tenant fermement ma laisse, ce qui tirait ma tête vers son lit.

Ma première nuit, enchaîné

– Je te préviens que je me réveille toujours en pleine nuit pour mes besoins naturels. Tu auras intérêt à être prêt à chaque fois l’Esclave, tu as bien compris ?

– Oui Divine Maîtresse ! répondis-je.

– Je ne veux pas t’entendre de toute la nuit, pas de lamentation, pas de supplication, Esclave, c’est clair ?

-Oui Maîtresse, je suis votre Esclave obéissant, bonne nuit Maîtresse Vénérée .

Le calme de la nuit s’installa rapidement. Je ressentis quelques mouvements de ma Maîtresse tirant sur ma laisse qu’elle ne lâchait pas. J’évitais de faire du bruit avec mes chaînes, ressassant sans arrêt ce que je venais de vivre. Notamment la dégradation que je subissais de façon permanente. Et pourtant je ne pensais qu’à la suite, en redemandant encore et encore. N’attendant qu’une chose avec une terrible excitation, que sa vessie la réveille au plus vite !.
Le week-end commençait à peine…

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