Audit de la soumission (2) : soirée avec deux Maîtresses
La fin de semaine s’est passée avec de nouvelles habitudes. Tous les matins, j’enlevais le plug de mon anus puis je le lavais soigneusement avant de le mettre dans ma mallette de travail. Après ma douche, je prenais ma culotte de femme afin de m’habiller puis je m’habillais soigneusement pour me rendre à mon travail.
Le midi, après mon déjeuner, je m’introduisais mon plug dans l’anus qui s’habituait à cette pénétration. Je continuais mon activité professionnelle en oubliant presque cette introduction anale qui commençait à devenir normale, enfin presque. Mes rendez-vous étaient moins gênants pour moi, et bien que Barbara ma secrétaire, une femme brune de mon âge, divorcée comme moi et bien faite de sa personne, ait ressenti un changement dans ma façon d’être, elle me souriait comme si nous avions une complicité nouvelle. Mais je me faisais des idées car comment l’aurait-elle su ce secret.
Le soir, en rentrant j’ôtais culotte et plug pour faire ma petite lessive et après diner, je remettais mon plug pour dormir. Bien que récente, c’était ma routine imposée par ma Maîtresse.
Pendant le week-end, il m’est arrivé d’avoir le besoin de me toucher, mais je me rappelais la menace de Maîtresse Karine et de ses conséquences bien que je ne sache comment elle l’aurait pu l’apprendre. Cependant, une boule au ventre me retenait.
Le samedi matin, j’ai reçu mon colis que j’ai ouvert le cœur battant de découvrir ma nouvelle panoplie. J’ai déballé mes sous-vêtements et mes accessoires féminins que j’ai commandés en quantité supérieure à celle exigée par ma Maîtresse au cas où un article ne m’aille pas ou ne plaise pas à ma Maîtresse. Je faisais des essais et je me trouvais ridicule face à la glace avec un string, des porte-jarretelles assortis et des bas, avec tous ces poils qui se voyaient au travers les bas.
Le dimanche soir, tout en m’introduisant ce plug, j’étais content de retrouver ma Maîtresse le lendemain matin. Le sommeil vint difficilement.
Le lundi matin, je me prépare en mettant ma plus belle culotte et je m’habille. Puis je pars au travail. En arrivant je ne trouve personne dans mon bureau. Déçu, je m’exile dans le bureau que je m’étais octroyé pour laisser la place libre à Maîtresse Karine et je me mets au travail. Quelques temps après, Maîtresse Karine arrive et ferme la porte.
– Bonjour Maîtresse Karine
– Bonjour esclave, as-tu fait tout ce que je t’ai demandé durant ces quelques jours ?
– Oui Maîtresse Karine
– Voyons cela. Mets-toi en position.
– Très bien esclave, nous allons passer à la vitesse supérieure. Rhabille-toi.
Je me redresse et la vois sortir de son sac un nouveau plug mais plus gros.
– Le plug que tu as mis a commencé à faire son effet mais il ne faisait que 3 cm de diamètre celui-ci fait 5 cm, voici du lubrifiant et un tube de crème calmante pour ton cul. Attention, tu n’auras qu’un tube de crème, saches endurer pour économiser. Ce midi, tu te le mettras bien sur pour l’après-midi et ne prévois rien pour ce soir tu m’invites, ainsi qu’une amie à moi, à manger puis nous passons la soirée ensemble.
– Oui Maîtresse Karine.
– Amuse-toi bien.
Elle sort de mon bureau sans plus d’explication. Nous n’avons pas de contact de la journée et sa porte est fermée. Je vais donc passer la soirée avec deux Maîtresses.
Le midi, je rentre de déjeuner et vais m’isoler afin de mettre le plug qui me semble énorme. Je le lubrifie largement ainsi que mon anus puis le mets en position pour me l’introduire en douceur mais sa pénétration est très difficile mais après un combat acharné, il entre dans mon fondement. Je reste quelques minutes le souffle coupé avec l’envie de l’ôter mais je me le refuse. Par peur ou par excitation, je ne sais.
Je suis défoncé de l’anus et ma position assise au bureau m’est pénible mais je résiste. Quand entre Barbara pour me donner du courrier à signer, elle s’arrête sur le pas de la porte et me dit :
– Qu’y a-t-il Christian ? Tu es tout pâle, ça ne va pas ?
– J’ai mal au ventre, j’ai du manger quelque chose qui ne passe pas.
– Décidément ces derniers temps, tu es fragile, la semaine dernière puis aujourd’hui. Il va falloir te coucher tôt ce soir pour récupérer.
– Je ne peux pas j’ai un diner ce soir.
– Cela ne va pas arranger les choses, tu vas arriver encore plus fatigué demain.
– C’est sur.
Elle s’approche à côté de moi et pose le courrier à signer.
Le soir, je me lève et vais retrouver Maîtresse Karine, je ferme la porte.
– Il est 19H00 Maîtresse Karine, voulez vous que nous allions diner ?
– Où m’emmènes-tu ?
– Au restaurant du port à Carqueiranne Maîtresse Karine.
– J’appelle mon amie
Elle appelle quelqu’un et lui donne l’adresse.
– Allons-y esclave
Nous montons dans ma voiture et partons à Carqueiranne. Nous arrivons au port et nous installons à une table que j’ai réservée pour trois.
– Mon amie va arriver, en attendant commande une bouteille de vin blanc en apéritif.
Je commande une bouteille qu’ils nous servent. Je goute le vin et sers un verre à Maîtresse, puis je vais m’en servir un quand elle m’arrête.
– Pour toi, j’ai un nectar.
Elle sort une petite bouteille de son sac et me sers un verre qui a la même couleur que le vin blanc. D’instinct, je me doute du type de boisson dont je vais avoir droit.
– A la nôtre et à notre nouvelle relation de travail.
– A la vôtre Maîtresse Karine.
Je trempe mes lèvres dans le liquide pour reconnaître le champagne de Maîtresse. Quand tout à coup, qui je vois arriver ?
– Barbara ????
– Oui, c’est Barbara me dit Maîtresse
D’un seul coup le monde de plus en plus vite, je crois que je vais m’évanouir.
– Barbara est une Maîtresse comme moi. C’est elle qui a remarqué que tu visitais des sites pornos de domination féminine et que tu avais une docilité naturelle vis-à-vis des femmes. Elle m’en a parlé et j’ai eu l’idée de faire un audit chez toi pour avoir un moyen de pression.
– Tu vois Christian, me dit Barbara, tu es un mec sympa au travail et j’ai pensé donner du corps à ton fantasme. Au fait, ton mal au ventre va mieux ?
– Oui Barbara. Bafouillais-je
– Non, c’est Maîtresse Barbara
– ….
– Pardon, je n’ai pas entendu
– Oui Maîtresse Barbara
– Tu vois je t’avais dit qu’il apprenait vite. dit Maîtresse Barbara à Maîtresse Karine.
– Il apprend vite et il s’élargit vite. Je pense que d’ici peu il passera à 6 cm. Dit Maîtresse Karine.
– Quoi qu’il en soit buvons un verre. Il est bon ce vin esclave ?
– Oui Maîtresse Barbara. Bafouillais-je encore étourdi de cette situation.
– Bois vite que je te fasse gouter un autre cru. Tu veux bien esclave ?
– Euh…Oui Maîtresse Barbara.
Je buvais mon verre en ne laissant rien paraître pendant que mes Maitresses papotaient comme si c’était une situation normale. Le repas se passait comme si je n’étais pas là.
Le verre fini, Maîtresse Barbara sortit elle aussi de son sac une petite bouteille et me servit.
– Goute vite
Je portais une nouvelle fois le verre aux lèvres et buvais. Le goût était plus salé.
– Il est bon esclave ?
– Délicieux Maîtresse Barbara
– Comme je suis gentille je t’ai apporté un cadeau.
Elle me donna un paquet.
– Tu vas l’ouvrir aux toilettes et l’essayer pour me dire ce que tu en penses ? Mais garde-le sur toi.
– Oui Maîtresse Barbara.
Je me lève comme un zombi et me dirige vers les toilettes pour hommes. Je rentre dans une cabine, ferme la porte et ouvre le paquet. Dedans se trouve un objet en plastique avec un tube ainsi qu’un petit cadenas. Une cage de chasteté pour homme. Je regarde le mode d’emploi, baisse mon pantalon et ma culotte puis essaie de le mettre en place. Après un petit travail manuel, je n’ai plus que le cadenas. Je suppose qu’il faut que je le mette aussi. Je le ferme dans l’emplacement prévu à cet effet.
Je me trouve ridicule avec ça entre les jambes. Je remonte ma culotte et mon pantalon puis retourne retrouver mes Maîtresses qui papotent toujours.
– Ah, te voila. Donne-moi la clé.
Je tends la clé à Maîtresse Barbara.
– Bien, je vais t’expliquer. Maîtresse Karine reste encore un peu avec nous. Tu continueras à lui obéir même après son départ mercredi. Elle m’a appris que tu léchais bien donc quand je le voudrais tu viendras dans mon bureau me faire plaisir. Mais aussi tu obéiras aux ordres que je te donnerais. Tu as compris ? Dorénavant, tu es notre petite soumise. Comme tu mets des dessous féminins et que tu te fais posséder par l’anus, je pense qu’il est de bon aloi que nous ne considérions comme une soumise.
– Oui Maîtresse Barbara.
– Pour ce soir, nous allons aller dans la chambre d’hôtel de Maîtresse Karine et là nous allons te prendre avec un gode ceinture pendant que tu lèches l’autre Maîtresse. Comme nous sommes bonnes avec toi tu pourras soit nous pénétrer soit te masturber mais si tu jouis tu bois ton sperme. Compris ?
– J’étais complètement anéanti. Oui Maîtresse Barbara.
– Tous les jours, tu garderas ta cage de chasteté et un gode dans le cul. Vendredi après-midi tu as une réunion de compte rendu d’audit avec le Directeur, je te donnerais un gode vibrant que tu te mettras pour y aller. Quand Maîtresse Karine le jugera utile, elle l’activera. Tu mettras ton porte-jarretelle avec des bas. Mais auparavant, tu passeras chez une esthéticienne qui est une amie Maîtresse pour une épilation complète. Tu as rendez vous à 10H30, à mon avis tu n’auras pas le temps de prendre de repas ce qui sera bien car tu seras à jeun pour la soirée. Tu resteras à Aix pour finir la séance d’élargissement en vue que nous puissions te rentrer un bras dans le cul ce week-end.
– Oui Maîtresse Barbara
– Tu vas descendre aux toilettes avec Maitresse Karine qu’elle te mette un plug gonflable pour te préparer pour tout à l’heure.
Nous nous levons et partons aux toilettes femmes. Nous entrons dans une cabine et je me déshabille. Maîtresse Karine m’ôte le plug et rentre un autre avec une poire. Elle presse la poire et je sens le plug gonfler dans mon fondement. J’ai l’impression que je vais exploser tellement la pression est forte dans mon conduit anal.
– Voila, il est à son maximum. Il doit faire 6 à 7cm dans ton cul. Tu aimes ?
Je ne peux pas répondre tellement que j’ai le souffle coupé.
– C’est l’émotion. Rit-elle. Au fait j’aime bien ta culotte et ta cage de chasteté. Allez remballe et montons.
Je me rhabille avec beaucoup de précautions pour ne pas bouger. Puis nous retournons à table. Ma démarche est difficile et j’ai la tête qui tourne. Le repas se passe, je ne mange presque rien mais par contre mes Maîtresse me donnent à boire de leur bouteille.
– Maintenant fini ton verre et paie la facture nous partons te défoncer le cul.
Nous nous levons, je ne sais si je vais pouvoir conduire.
– Donne-moi les clés, je conduis. Toi, tu montes derrière. Me dit Maîtresse Barbara
Je tends les clés et monte à l’arrière de ma voiture. Arrivés à l’hôtel, nous montons tous les trois dans la chambre de Maîtresse Karine.
– Bien petite soumise, tu vas te déshabiller et garde ta culotte.
– Oui Maîtresse Barbara
Maîtresse Karine ouvre sa valise et sors un corset avec des porte-jarretelles et des bas qu’elle me donne. Pendant ce temps Maîtresse Barbara s’est mise nus et mets un gros gode-ceinture qui doit bien faire 5 cm de diamètre. Elle le lubrifie et une fois que je suis en corset et bas.
– Mets toi à 4 pattes sur le lit que je t’encule ma petite soumise.
Je me mets sur lit et Maîtresse Barbara dégonfle le plug dans mon cul pour m’enfiler le gode ceinture. Le passage de l’un à l’autre me laisse le trou du cul vide et sensible à l’air.
– Tu as le trou qui est tout ouvert. Vite que je le bouche. Dit Maîtresse Barbara.
Pendant ce temps là, Maîtresse Karine qui s’est dévêtue, sort un appareil photo et nous mitraille. Maîtresse Barbara ma laboure l’anus et je sens la cage de chasteté qui bouge au rythme des coups de boutoirs. Après un long moment et des dizaines de photos, Maîtresse Barbara me dit.
– Mets-toi sur le dos et tiens tes genoux.
Je me repositionne et Maîtresse Barbara me prend encore pendant que Maîtresse Karine me pose son sexe sur ma bouche pour que je la lèche. De temps en temps, Maîtresse Karine me présente son trou du cul pour qu’il ait lui aussi son plaisir.
Je ne sais pas combien de temps dure cette opération mais mon anus est complètement défoncé et Maîtresse Barbara tord mon pénis quand elle sent que je vais jouir. Maîtresse Karine explose dans une jouissance dont je bois avec délectation son jus abondant. Elle se soulève un peu et me dit.
– Ouvre ta bouche.
Là, elle me pisse dans la bouche dont j’en bois la miction avec plaisir. Maîtresse Barbara s’enlève de mon cul.
– Le trou du cul qu’il a. Je pense que nous pourrons rentrer deux mains ce week-end.
– Attends, prends ma place j’ai une idée. Dit Maîtresse Karine.
Elle ouvre sa valise et sort un gode encore plus gros.
– Je ne pensais pas l’utiliser, il fait tout de même 6,5 cm mais voyons voir. Enlève lui sa cage de chasteté je pense qu’il va jouir avec çà. Je crois que nous avons une perle rare.
Maîtresse Barbara ôte ma cage et se positionne pour que je la lèche pendant que Maîtresse Karine me badigeonne de lubrifiant.
– Ce lubrifiant va te chauffer le cul et tu vas prendre encore plus de plaisir.
Et là, elle me pénètre par des petits allers-retours jusqu’à que je sente son ventre contre mon cul. Ses mouvement sont amples jusqu’à sortir le gode pour mieux le pénétrer pendant que je lèche la chatte et le cul de Maîtresse Barbara. Contrairement à ce que je lisais, je suis loin de bander mais je sens tout de même le plaisir dans mon sexe.
– Putain il coule cet enculé. Il se déverse sans bander. Mouille ta chatte sur son foutre qu’il en profite.
Maîtresse Barbara quitte ma bouche et frotte son sexe et son anus sur mon ventre plein de sperme. Prend un peu de sperme sur mon ventre pour en mettre un peu plus sur ses orifices. Puis me fais lécher ses doigts.
Moi qui d’habitude lorsque j’ai jouis je suis repus et incapable de remettre le couvert là j’ai encore envie comme si j’en étais au premier round.
Maîtresse Barbara se remet sur ma bouche et je lèche son sexe plein de mon sperme ainsi que son anus. Maîtresse Barbara fini par jouir sur ma bouche et comme son amie en profite pour me faire un pourboire de son cru.
Maîtresse Karine sort alors de mon cul et en profite pour prendre encore des photos.
Maîtresse Barbara me remet ma cage de chasteté et un plug dans le cul.
– Remets ta belle culotte et conserve ton corset. Je l’ai acheté avec ta carte professionnelle. Dit Maîtresse Barbara en rigolant. Encore une erreur de ta part que le patron n’apprécierait pas.
– Oui, Et si tu n’es pas sage, j’ai encore un moyen de plus de t’épingler au prochain audit. Mais les photos devraient suffire. Dit Maîtresse Karine.
– Aller vas-t-en maintenant et reviens demain avec ta belle parure et ton gode dans le cul. Tu es un bonne femelle en chaleur et tu viens de perdre ton statut d’homme.
Je pars étourdi de cette soirée, habillé en femme avec une cage de chasteté, enculé par un plug de 5 cm, ayant bu de la pisse et mon propre sperme. Mais étrangement heureux de ma situation.
un fantasme dont tout homme soumis rêve la nuit quand il ne dort pas allongé près de sa femme…