Nicolas et l’agent de sécurité, une femme dominante

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femme dominanteL’agent de sécurité, une jeune femme dominante

Nicolas s’était révélé peu inspiré de commettre un larcin dans ce magasin d’articles féminins. Pour éviter de s’attirer les foudres de sa femme, il avait décidé de lui offrir un parfum de luxe à l’occasion de son anniversaire.

Malheureusement, l’article coûtait bien trop cher au vu de son budget. Aussi avait-il pris l’initiative de le dérober.

Comble de malchance, l’agent de sécurité, une solide et grande jeune fille à l’allure sportive, l’avait intercepté à la sortie du magasin.

Pour l’heure, il se trouvait dans une pièce annexe de l’établissement en compagnie de l’agent de sécurité qui paraissait être une femme dominante.

— Bon, vous allez vous déshabiller entièrement, que je puisse vérifier que vous n’avez rien volé d’autre.

— Là, devant vous ?

— Bien sûr, quelle question. Et vite, ou j’appelle la police tout de suite.

Aiguillonné par la peur du scandale, Nicolas entreprit de se dévêtir sous l’œil vigilant de la jeune femme dominante. Cette situation ne manquait pas de provoquer de la honte chez ce quadragénaire habituellement pudique. Mais c’était ça ou une arrestation et tout ce que cela impliquait. Inacceptable pour cet homme irréprochable jusqu’ici.

Nu devant cette jeune femme dominante !

Une fois en slip, il cessa son déshabillage, estimant que c’était suffisant.

— Le slip itou.

— Mais, c’est un peu gênant…

— Je m’en fous, c’est pas moi que ça dérange.

Nicolas hésitait et son interlocutrice appuya sur un bouton. L’homme restait sans réaction, trop désemparé pour protester.

Un court laps de temps s’écoula et la porte du local s’ouvrit, livrant passage à une belle jeune femme, aussi blonde que sa collègue était brune.

— Tu m’as appelée, Caroline ?

— Oui Sophie, monsieur a volé et ne veut pas virer son slip pour que je le fouille.

Ainsi, elle se proposait de le fouiller. Inacceptable.

— Mais, vous n’avez pas le droit.

— Tu fermes ta gueule et tu fais ce que je te dis.

Le ton n’admettait aucune réplique ; inutile de poursuivre la conversation dans ces conditions.

Nicolas fit mine de reprendre ses affaires mais Caroline se jeta sur lui et lui ramena les bras derrière le dos. Elle les lui bloqua douloureusement sans qu’il puisse l’en empêcher.

— Sophie, vire-lui son slibard.

L’interpellée procéda avec un plaisir évident. Souriante, elle se saisit de l’élastique et abaissa le sous-vêtement lentement, savourant chaque instant du déculottage.

Le pubis était maintenant dégagé, dévoilant une broussaille de poils drus.

— Que de poils, voyons si plus bas il y en a autant.

Le sexe apparut graduellement, puis les testicules qui se balançaient mollement.

— Alors, beau spectacle ?

— Bof, pas terrible, l’attirail du quadragénaire sur le déclin.

De fait, Nicolas se laissait aller depuis des années. Son début d’embonpoint et ses muscles relâchés ne le valorisaient guère aux yeux de ces deux amazones dont l’allure contrastait avec la sienne.

— Bon, on passe à la fouille. Allez, Soph, vas-y.

Fouille intégrale !

La jolie blonde examina l’homme des pieds à la tête, fouina dans la broussaille du bas-ventre, vérifia les dessous-de-bras avant de lui pincer le nez. Nicolas ouvrit la bouche que son examinatrice maintint grande ouverte au moyen de ses longs doigts soignés. Elle inspecta l’intérieur de la cavité buccale puis cessa son exploration, satisfaite.

— J’ai l’impression qu’on oublie quelque chose, Soph.

— Ah bon ? Je ne vois pas.

— Voyons voir. Tu lui as examiné les aisselles, le pubis, la bouche. Hum…

La brune Caroline continuait son effort de concentration.

— J’y suis ! Le trou du cul ! Pour les mâles, c’est la procédure.

À ces mots, Nicolas tenta de se libérer, en pure perte. L’initiative lui valut de subir une étreinte plus douloureuse de la part de Caroline, jeune femme dominante.

— C’est raté dugland. Essaie encore et je te pète le bras.

Sa tortionnaire l’inclina en avant tandis que Sophie approchait, les doigts déliés. Elle se pencha et renifla bruyamment le derrière de l’homme dont elle venait de dégager l’anus.

— Ça ne sent pas très bon, dit donc. Il faut bien respecter les règles d’hygiène, je plains ta femme si au lit ça sent comme ça.

Sur ce, elle plongea son majeur dans le rectum qu’elle fouilla sans ménagement. La jolie fille de vingt ans vrillait son long doigt soigné dans le fondement du quadra, attentive à ce que son touché lui signalait.

— Eh, mais, il a des hémorroïdes !

— Alors, non seulement, tu as le trou de cul sale, mais il est pourri d’hémorroïdes. Tu as tout pour plaire, renchérit Caroline. Voilà pourquoi tu rechignais à te déculotter.

Puni par la jeune femme dominante !

Pendant ce temps, Sophie avait enfoncé trois autres doigts. Seul son pouce restait à l’air libre.

— Je crois que je vais lui fourrer ma main entière dans le fion.

— Ouais, bonne idée, fiste – lui le trou de balle.

Sans accorder d’importance aux supplications de sa victime, la fille enfouit sa dextre d’un geste énergique, sans prendre la moindre précaution. L’homme poussa un cri répercuté par l’exiguïté de la pièce.

-Gueule tant que tu voudras, ma collègue va te fister le cul jusqu’à ce qu’elle soit sûre que tu ne dissimules rien. Et compte sur moi pour te tenir, mon salaud.

Sophie poursuivait son exploration avec minutie. Sa main tâtait la paroi intestinale, caressait la membrane du colon tandis que l’homme, immobilisé, devait accepter cette intromission invasive ; la main obscène emplissait la poire rectale d’une manière douloureuse.

Sophie termina enfin son examen et se redressa, satisfaite.

— C’est bon, il ne dissimule rien, tout est OK.

— Possible, mais maintenant, il faut qu’il paye pour sa conduite. Une punition exemplaire s’impose. Je pense que monsieur la pudeur a tout intérêt à cacher la saleté de son trou du cul et ses hémorroïdes. C’est pourquoi nous allons en faire profiter tout le monde.

Une vague d’angoisse submergea Nicolas dont le calvaire risquait de prendre une autre dimension.

 

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