La lope soumise : Mutation vers un couple gynarchique (10)

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soumis à dispositionLope soumise à la merci de la patronne !

L’attente le rendait encore plus fébrile. La patronne savait-elle qu’il était attaché dans la chambre, à sa merci, comme une bonne lope soumise ? Il ne se passait rien, il ne faisait aucun bruit pour faire croire éventuellement qu’il dormait, la seule ruse dérisoire à sa portée. Et puis une clé s’introduisit dans la serrure. Cette fois s’était sûr la patronne allait entrer…

Laurent la vit d’abord entrebâiller la porte puis allumer la lumière avant de refermer. Elle s’était changée, avait passé une robe rose assez courte et portait des bas et des talons hauts. Son opulente poitrine débordait presque de sa robe. Elle n’était pas à proprement parler jolie, pas très grande et un peu forte mais elle dégageait une certaine sensualité que renforçait sa chevelure lâchée. Elle parut fort surprise de le trouver attaché. En fait, elle ressemblait à une chasseuse qui sentait la peur dans les yeux de sa proie. Laurent tenta d’articuler quelques mots mais le mord à balles rendait ses efforts infructueux. Et la patronne ne semblait pas disposée à lui enlever. Elle se posa à califourchon sur lui, et dit :

-N’essaie pas de parler, c’est inutile. Maintenant, tu es à moi !

Elle souleva la robe de soubrette de Laurent et découvrit la cage de chasteté. Laurent se pensa à l’abri des assauts de cette dame et pour la première fois il était heureux d’être encagé. Mais il vit que la patronne n’avait pas seulement la clé de sa chambre…

-Ta femme est vraiment adorable. Comme je lui ai expliqué mon abstinence contrainte par cette vie à l’écart, elle m’a pris en affection et m’a offert son mari, c’est-à-dire toi, pour me défouler sexuellement. Par contre ta Maîtresse n’est pas au courant, tu devras ne rien lui dire.

Violé par la patronne !

Il tentait de lui manifester son refus par ses regards à défaut de pouvoir parler mais elle sortit la clé de sa cage de chasteté que lui avait laissée Samia. Elle lui libéra le sexe, le monta et l’enfila sur le champ. Comme elle n’avait pas fait l’amour depuis longtemps et que lui avait les couilles prêtes à exploser, il l’inonda rapidement.

Elle lui caressa la joue comme pour l’excuser d’avoir éjaculé si vite en elle :

-Ce n’est pas grave mon chéri. Je comprends. Nous avons toute la soirée ensemble. Je vais attendre que tu sois de nouveau apte à me satisfaire. Recharge tranquillement…

Peu de temps après, elle le suça longuement mais sans le faire jouir. Elle introduisit sa queue bien raide dans sa chatte et s’agita sur lui. Ses gros seins ballotaient de droite à gauche au-dessus de la tête de Laurent, elle se déchaînait sur lui sans aucune retenue. Ils jouirent pratiquement ensemble et après elle se coucha à côté de lui.

-Tu es un bon coup pour un type qui préfère être soumis aux femmes. Je vais te violer une dernière fois avant de rentrer dans ma chambre.

Elle le prit de nouveau, encore plus sauvagement que la première fois. Quand ce fut fini, elle lui nettoya le sexe et lui remit sa queue en cage.

Retour de ses deux Maîtresses

Avant de repartir, la patronne lui enleva son mord à balles un instant et ordonna :

-Pas un mot de ce qui vient de se passer entre nous à ta Maîtresse ! C’est notre secret à toi, moi et ta femme ! Si tu parles, demain soir je reviens te voir cette fois pour te suspendre par les couilles !

-Promis madame, je vous jure que je ne dirai rien ! répondit Laurent terrorisé.

-C’est bien. Il me reste à te remettre ton mord à balles et à refermer ta chambre à clef derrière moi en partant, et rien ne pourra laisser croire qu’il se soit passé quelque chose entre nous. Bonne nuit et à demain…

Elle quitta les lieux et les bruits de talons s’arrêtèrent assez vite. La patronne avait dû aller se coucher, ravie de sa soirée et de ses nouveaux clients.

Ce n’est que beaucoup plus tard que revinrent Samia et Zaïa. Visiblement sa Maîtresse ne se douta de rien de ce qui s’était passé dans cette chambre en son absence. Elle se démaquilla, prit une douche, enfila une nuisette et enfin libéra son esclave. Elle lui enleva aussi sa cage de chasteté.

-Tu peux dormir dans mon lit ce soir, mais que je ne te surprenne pas à toucher au pain sur la table de chevet ou pire à te toucher. Contemple ta reine et souhaite-lui une bonne nuit.

-Bonne nuit Maîtresse Zaïa adorée.

-Ah j’allais oublier, ta femme quelle salope ! Peut-être te raconterais-je demain. Allez, silence ma lope.

-Oui maîtresse.

Et jamais sa Maîtresse ne sut le viol de son esclave par la patronne. Quant à sa femme, son audace était devenue sans limite… Cocu, violé et soumis dans la même soirée, on peut dire que son rapport aux femmes avait bien changé !

Lope soumise aux mains des trois femmes !

Dur constat, durant ce week-end à la campagne, Laurent était, désormais, une lope soumise, aux mains de trois femmes.

Sa femme Samia le calculait pour tout dire très peu, trop absorbée par ses jouissives aventures extra-conjugales. Il l’observait parfois en train d’échanger des sms avec celui qui ne pouvait être que son amant de la veille. Ses regards de braise ne laissaient aucun doute sur ses désirs encore très ardents.

Maîtresse Zaïa continua à l’éduquer très sévèrement, ne laissant rien passer, tout ordre mal exécuté ou pas assez rapidement étant impitoyablement puni par des coups de fouets féroces sur son cul déjà à vif.

La patronne avait bien sympathisé avec ses clientes et ses regards portés sur lui ne laissaient aucun doute sur son envie de le baiser de nouveau dès que l’occasion se présenterait.

Pour Laurent, la journée ne fut pas de tout repos. La patronne étant désormais au courant de son statut d’esclave, Maîtresse Zaïa le laissa évoluer dans la maison en tenue de soubrette. Mais quand il passait dans la cuisine pour ramener des choses pour sa Maîtresse, il devait affronter la patronne qui à chaque fois exerçait sur lui son droit de cuissage. Il ne devait évidemment rien dire mais cela occasionnait des retards dans les ordres donnés par Zaïa. Alors, quand il remontait dans la chambre il était corrigé par sa Maitresse. A quatre pattes sur le lit, il recevait au choix coups de cravaches, fessées ou coups de fouet.

Connivence entre les trois femmes !

Et quand sa propre femme lui donnait des ordres, c’était pour une fois, tous les deux dans sa chambre, mais pour mieux l’humilier. Ainsi, au moment de lui amener son thé, il la trouvait en grande conversation téléphonique avec son amant. Celui du week-end, celui de la semaine dernière, il n’en savait rien. Elle ne le libérait pas tant que sa conversation n’était pas terminée. Ainsi, elle l’obligeait à subir l’humiliation de devoir écouter, debout et en silence son langage cru et plein d’attentes sexuelles.

Et ce ping-pong entre les trois femmes était-il organisé ? Il n’en savait rien mais c’était probable. Car sinon comment expliquer qu’en fin d’après-midi, sa femme le libéra de sa cage de chasteté puis l’envoya en cuisine pour un motif futile. Là, la patronne sauta sur l’occasion, l’obligea à lui bouffer longuement la chatte puis le coucha sur la grande table de la cuisine et commença à le sucer avant de le chevaucher et de se donner un plaisir intense.

Attaché pour le diner !

Au repas du soir, il n’eut plus aucun doute sur la connivence des trois femmes. Il fut étendu tout nu sur la table de la salle à manger. On lui passa des bracelets de cuir aux poignets et chevilles puis il fut attaché sur le dos en croix avec des cordes aux quatre pieds de la table. Sa queue fut libérée de sa cage une nouvelle fois, mais sa bouche bâillonnée. Trois couverts furent mis autour de lui sur la table, un sur sa gauche et maîtresse Zaïa s’y installa, un sur sa droite où prit place sa femme, et un dernier entre ses jambes que la patronne se réserva avec gourmandise.

Le dîner commença, les trois femmes échangeant joyeusement, avec lui au milieu dans cette situation de totale appartenance et soumission. Parfois sa femme se penchait vers lui et l’embrassait puis lui disait :

-Profite bien de mes baisers, c’est un autre qui me baisera encore ce soir.

Quand sa Maîtresse s’occupait de lui c’était plutôt pour lui pincer les seins ou les sucer.

-Profite bien de ses douceurs ou douleurs exquises, c’est moi qui te corrigerai au sang encore ce soir…

La patronne, à la sexualité trop longtemps en berne, le tenait d’une main par le sexe la plupart du temps, parfois le branlait vigoureusement mais sans le laisser jouir, parfois lui bouffait les couilles.

-Profite bien de ces petits plaisirs, ta femme et ta maîtresse m’ont autorisé à te faire le cul ce soir, à condition de te défoncer sauvagement.

Fouetté par les trois femmes !

Et puis à un moment, les trois femmes s’occupèrent de lui en même temps. Sa femme lui roulait des pelles, sa maîtresse lui suçait les tétons et la patronne le suçait tout en lui serrant fort les couilles dans une de ses mains. Il jouit en explosant dans la bouche de la patronne, sous les yeux de sa femme et de sa maîtresse.

A peine libéré, Maîtresse Zaïa le ramena dans sa chambre, l’attacha au lit sur le ventre cette fois et le corrigea au fouet. Elle se déchaîna comme jamais, il hurlait de douleur et implorait sa pitié mais elle ne s’arrêta pas avant de lui laisser les fesses lacérées et marquées au sang.

-Ça c’est pour avoir cru tout à l’heure sur la table que des femmes te donnaient du plaisir sans contrepartie.

Puis sa femme entra dans la chambre, lui donna quelques coups de fouets supplémentaires.

-Ça c’est pour avoir cru à table que ta femme t’embrassait par amour alors qu’elle s’excitait intérieurement de te voir soumis aux femmes et fait de nouveau cocu dans quelques heures.

Enfin la patronne se glissa derrière lui et pour la première fois lui donna aussi du fouet.

-Ça c’est pour avoir cru que la patronne te donnait du plaisir alors que pour elle tu n’es qu’un sex-toy.

Et la patronne de conclure :

-Passez une bonne soirée les filles, c’est moi qui m’occupe de notre lope soumise ce soir…

A SUIVRE…

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