Un homme soumis rencontre l’amour par hasard !(3)

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 homme soumis

Arrivés dans la maison d’Aline

Je gare ma voiture devant une petite maison de plain-pied au milieu d’un grand jardin en friche. Aline sort ses clefs de son sac puis ouvre la porte d’entrée.

-Installe-toi sur le canapé, je vais faire un café, me dit-elle.

Je m’assieds, je demande si je peux fumer, pure formalité puisqu’au beau milieu de la petite table du salon, je vois un énorme cendrier rempli à ras bord de mégots, et j’allume une cigarette. Aline revient avec deux expressos brûlants, me sourit, m’embrasse sur la bouche. Elle ouvre une petite boîte en ferraille ornée d’une publicité américaine des années cinquante avec une blonde affriolante en mini-jupe dessinée dessus. Ensuite, elle en sort un paquet de feuilles à rouler et un petit paquet d’herbes. Elle se roule un gros joint et l’allume.

-Elle est belle, la meuf qu’il y a sur la boîte, hein, Amaury ?

-Oui, mais toi t’es plus belle.

-Menteur, va !

-Si, je préfère les rousses sexy que les blondes oxygénées.

-Vil flatteur !

Au bout de quelques minutes, elle me tend le joint. Je fume et je le lui rends.

-Seulement ? Tu ne veux pas fumer plus ?

-En fait, ça fait longtemps que je n’en ai plus fumé et après, ça me fait des bad trips.

-Des crises d’angoisse ? Ça m’arrive aussi, quelques fois. Mais j’aime avant tout les qualités aphrodisiaques de l’herbe. Je peux me lâcher complètement.

-Ouais, je connais ça aussi. J’ai fait pas mal de conneries, à la fac, avec la marie-jeanne.

L’homme soumis se déshabille !

Aline tira quelques bouffées puis me tendit le joint.

-Vas-y, finis-le. Tu te lâcheras, comme ça.

Je le finis et l’écrasai dans le cendrier. Je sentais comme l’effet montait tout doucement dans mon cerveau. Une douce euphorie me gagnait.

-Bon, et maintenant, tu vas me montrer ton sexe ? me dit-elle.

-Maintenant ? Là ?

-J’aime bien regarder le sexe d’un mec. Je veux te voir tout nu.

Je me levai, la regardant droit dans les yeux. J’enlevai un à un les boutons de ma chemise, la retirai et la posai sur le bras du canapé. J’enlevai ensuite mes chaussures et mes chaussettes. Lentement. Soigneusement. Méthodiquement. Puis ce fut le tour de mon pantalon et je me retrouvai en caleçon.

-Tout, me dit Aline.

J’enlevai mon caleçon et me retrouvai nu devant Aline. Nu et en érection devant Aline assise sur le canapé, qui me regardait d’un air narquois. Elle se leva et s’approcha de moi. Elle tendit la main droite et me soupesa les couilles, les laissant dans la paume de sa main.

-J’apprécie les hommes qui ont du savoir-vivre et s’épilent complètement, me dit-elle. Et tu n’es pas présomptueux, tu as un gros sexe, tel que je les aime.

Elle retira sa main, me regarda dans les yeux et claqua des doigts, puis montra le sol de l’index.

-À genoux, dit-elle d’une voix douce.

Homme soumis à genoux devant Aline

Je rougis. Ensuite, je sentis soudain une faiblesse dans mes membres et dans mon ventre, comme si je souffrais d’hypoglycémie. Je me mis à genoux sans même y réfléchir. Mais que m’arrivait-il ? Pourquoi lui avais-je obéi quand elle m’a dit de me mettre à genoux ? Je baissai les yeux, n’osant croiser le regard d’Aline. Je me perdis dans la contemplation de ses petits pieds nus. Et soudain, toujours sans avoir conscience de ce que je faisais, je me penchai et déposai un baiser sur son pied droit. Je restai là, interdit, mon visage à quelques centimètres de son pied. Puis je lui fis un baiser sur l’autre pied. Puis je revins au pied droit, déposant un baiser sur chacun de ses orteils. Je fis la même chose sur le pied gauche.

Enfin, je levai les yeux sur le visage d’Aline. Elle me sourit tandis que j’étais toujours à genoux à ses pieds. Je lui souris puis baissai à nouveau les yeux. Non, c’était tellement embarrassant. Je me perdis à nouveau dans la contemplation de ses pieds. Je me baissai davantage, désormais à quatre pattes devant Aline et lui embrassai le dessus des pieds, ainsi que ses chevilles. Ensuite, je perdis la notion du temps, je multipliai les baisers sur ses pieds nus, tantôt favorisant l’un, tantôt cajolant l’autre.

-Lève-toi, Amaury, m’ordonna-t-elle.

Je me levai. Aline posa la main sur mon épaule et m’attira à elle. Je l’embrassai sur la bouche et déposai des milliers de bisous dans son cou. Au bout d’un moment, elle s’assit sur le canapé, à la même place que j’avais occupée quelques minutes auparavant. Elle claqua des doigts de nouveau et tendit son index vers le sol. Je m’agenouillai devant elle.

Premier ordre pour l’homme soumis

Elle me caressa les joues et les cheveux.

-Tu te demandes ce qui t’arrive, n’est-ce pas ?

-Oui, Aline.

-Ne t’inquiète pas, ça va bien se passer. Prends ma tasse et va me faire un café, dépêche-toi.

-Oui, Aline.

Je partis vers la cuisine, trouvai la machine à expresso, les dosettes et je lui fis un café. Je lui portai la tasse et m’apprêtai à la poser sur la table du salon quand elle m’ordonna de me mettre à nouveau à genoux.

-Donne-la moi en main propre, s’il te plaît… Voilà, c’est bien.

Elle prit la tasse de mes mains, but une gorgée. Elle étira les jambes et les posa sur la table du salon et me dit :

-Lèche-moi les pieds. Je veux de grands coups de langue.

J’approchai ma tête de ses pieds posés sur la table. Je commençai à lui lécher les orteils à petits coups de langue audacieux, puis je lui léchai la voûte plantaire de façon plus insistante. Je passai ensuite sur le dessus du pied, lui léchant les ongles des orteils. Ensuite, j’entrepris de lécher ses chevilles. Aline m’ordonna de prendre une cigarette dans son paquet et de la lui donner. Elle mit l’embout dans sa bouche et me dit de l’allumer.

-Allonge-toi à plat ventre devant moi, me dit-elle.

Je m’exécutai et elle posa ses pieds sur mon dos. De temps en temps, son pied droit s’aventurait sur mes fesses. L’autre, parfois, se posait sur mon visage et elle introduisait son gros orteil dans ma bouche. Je me laissai faire, totalement subjugué.

Début du dressage de l’homme soumis

Lorsqu’Aline eut fini de boire son café, elle me commanda de me relever.

-Va me faire couler un bain. Lorsque la baignoire sera pleine, tu reviendras ici m’en informer. Tu te mettras à genoux et tu m’embrasseras les pieds. Tu ne parleras pas jusqu’à ce que je t’adresse la parole. C’est compris ?

-Oui, Aline.

Je me relevai puis partis vers la salle de bains lorsque soudain, Aline me rappela.

-Reviens ici, me dit-elle.

-Oui, Aline.

-À genoux.

Je me mis à genoux devant elle.

-Tu vas y aller à quatre pattes et tu en reviendras de même.

-Oui, Aline.

Je me prosternai devant elle et embrassai ses pieds à nouveau, puis me retournai et allai à la salle de bains. J’emplis la baignoire d’eau bien chaude. Une fois la baignoire remplie, je fermai les robinets puis je m’en revins au salon. Aline était en train de lire un bouquin, affalée sur le canapé et les pieds sur la table du salon. Je me précipitai vers elle à quatre pattes puis je déposai des baiser sur ses talons, ensuite sur la voûte plantaire de ses pieds. Comme elle ne réagissait pas, je commençai à lécher ses pieds. C’était délicieux. Au bout de cinq minutes de ce manège, elle me demanda :

-Mon bain est prêt ?

-Oui, Aline.

Suite de l’éducation de l’homme soumis

Elle se leva et me commanda de rester à genoux à ses pieds. Elle se pencha pour me regarder droit dans les yeux.

-Amaury, je suis follement, passionnément amoureuse de toi. Je t’aime.

-Moi aussi, je t’aime, Aline. Je viens de le découvrir.

-Je sais. Sinon, tu n’aurais jamais fait tout ça.

Aline me prit par la main et m’entraîna vers la salle de bains. Elle me demanda de la déshabiller et lorsqu’elle se retrouva en culotte, elle m’ordonna à nouveau de me mettre à genoux devant elle. J’aurais tant voulu embrasser et lécher ses seins mais elle était inflexible et je n’osais pas la contredire.

-Voilà, maintenant tu peux fermer les yeux et m’enlever ma culotte, me dit-elle.

Je la lui enlevai et la posai sur une étagère. Elle me commanda aussitôt de lui embrasser les pieds, je ne pouvais même pas regarder sa nudité.

-Tu peux ouvrir les yeux, maintenant, mon amour.

J’ouvris les yeux et contemplai son corps nu. Son sexe glabre était une merveille. Sous le coup de l’impulsion, je déposai un baiser sur son mont de Vénus. Aline me caressa la tête.

-Mon pauvre petit esclave d’amour, dit-elle.

J’embrassai ses doigts. Elle entra dans la baignoire, s’assit dans l’eau.

-Mmmmhh, elle est bonne, délicieusement brûlante, juste à la température que j’aime.

Elle sortit son pied droit de l’eau, elle le posa sur le rebord de la baignoire.

-Il faut que je te remercie comme il se doit, tu peux venir embrasser mon pied.

-Merci, Aline.

Première récompense pour l’homme soumis

Je m’approchai et me mis à genoux devant son pied. Ensuite, je le lui embrassai, le léchai pendant plus de dix minutes, sans me lasser une seule seconde. Je découvrais une nouvelle facette de ma personnalité, j’aimais être totalement à ses pieds, totalement dominé par Aline.

-Viens, rentre dans la baignoire, tu vas me laver.

-Oui, Aline.

Je rentrai dans l’eau puis je saisis le gel douche sur le rebord intérieur de la baignoire. J’en mis dans ma main et je commençai à frotter ses épaules, puis ensuite je descendis sur ses seins. Aline se mit debout et je m’agenouillai dans l’eau devant elle, pour frotter son ventre et ses jambes. Elle se retourna et je lui frottai le dos et les fesses, que je me permis d’embrasser par la même occasion. Elle se pencha en avant et je savonnai méticuleusement sa vulve et son anus.

J’ouvris ensuite la douche pour la rincer. Elle me demanda de lécher ses seins. Puis elle sortit de la baignoire et je l’enveloppai dans un grand peignoir blanc. Je pris une serviette et je mis à genoux pour sécher ses pieds. Puis elle s’assit sur un tabouret pour que je peigne ses cheveux. Je les peignai délicatement, sentant la texture soyeuse glisser sous mes doigts. Une fois qu’elle fut peignée, Aline se leva et enleva son peignoir.

-Va le poser à sa place.

-Oui, Aline.

Je rangeai le peignoir et je revins vers Aline. Spontanément, je me mis à genoux devant elle et je lui embrassai un pied.

-C’est bien, je n’ai même plus besoin de te le dire. Je suis très contente de toi, petit homme soumis. Tu m’as bien lavée, bien peignée. Je crois que tu as le droit à une récompense.

-Merci, Aline.

-De rien. Comme récompense, tu peux me lécher l’anus.

-Oh ! Merci, Aline, fis-je en lui embrassant le pied.

Fin de soirée pour l’homme soumis

Je me plaçai derrière elle à genoux et elle se pencha légèrement en avant. J’écartai ses fesses et commençai à donner de petits coups de langue délicats sur son anus. Puis je m’enhardis et léchai de façon de plus en plus impétueuses, la bouche bien ouverte. J’entendais sa respiration devenir de plus en plus pressante. Pour ma part, je pénétrais son anus de plus en plus profondément avec ma langue. Au bout de quelques minutes, elle me dit :

-C’est bon, ça suffit. Va me prendre cette robe de chambre rouge, là.

Je pris sa robe de chambre et la lui passai. Nous sortîmes de la salle de bains et Aline me demanda de la suivre jusqu’à son bureau, où elle alluma son ordinateur.

-J’ai un peu de travail à faire avant ce soir. Va me chercher une bière, mes clopes et un cendrier.

-Oui, Aline.

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