Le fantasme du dressage par une cavalière dominatrice (3)

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cavalière dominatrice

Hésitant au moment de boire un tel nectar !

J’étais toujours à quatre pattes. Le seau d’avoine mêlé à la pisse de la cavalière était devant moi. Une odeur forte s’en dégageait. Ma Maîtresse, cavalière dominatrice, tenait fermement mon sexe dans la paume de sa main :

-Allez ! Qu’est ce que tu attends ? Tu ne vas pas te faire prier, non ?

J’hésitais un peu car c’était la première fois que j’allais boire un tel nectar. C’était peu appétissant, il faut le reconnaître. En même temps, je me sentais totalement possédé par cette cavalière dominatrice. Elle tenait mon sexe, je lui appartenais.

Voyant sans doute mon impression, elle serra un peu plus fort mes couilles :

-Voyons, tu hésites ? Tu ne veux quand même pas une nouvelle fessée ?

Le souvenir de la raclée de tout à l’heure revint à mon esprit. Alors, je me rapprochai de l’ouverture du seau et trempai ma langue dans la pisse mais je ne pus réprimer un mouvement de dégoût et je la retirai.

Forcé à boire le nectar par ma cavalière dominatrice !

Aussitôt, la cavalière dominatrice se mit à tordre violemment mes couilles en tirant mon sexe vers elle et avec son autre main elle enfonça ma tête dans le seau. Je hurlai de douleur et, comme j’avais la bouche ouverte en criant, elle se remplit de pisse.

-Avale cria-t-elle, tu dois tout boire, tu dois savoir apprécier les bonnes choses, c’est la base du dressage d’un cheval comme toi ! Je suis prête à te faire souffrir autant que nécessaire pour obtenir ce que je veux de toi. De toute façon tu boiras tout le contenu de ce seau. A toi de voir pendant combien de temps tu veux en plus avoir mal au sexe.

Joignant le geste à la parole, elle prit un éperon qui traînait et le fit rouler en l’enfonçant dans l’arrière de mes couilles.

-Cela durera tant qu’il restera encore de mon nectar !

En me tordant de douleur, je me mis alors à avaler la pisse aussi vite que je pus pour arrêter la torture. Finalement, au bout de quelques minutes, il ne resta plus rien. J’avais ma bouche et ma gorge âcres. J’avais l’impression que n’importe quel aliment que j’avalerais en ce moment aurait un goût de pisse.

-C’est bien, dit-elle, mais seulement parce que c’est la première fois. Ensuite, il faudra le faire plus rapidement.

En quelques minutes, cette femme avait vaincu ma résistance. Je savais qu’elle obtiendrait de moi tout ce qu’elle voudrait. Le pire, c’est qu’elle le savait aussi.

La mise aux fers de l’esclave pour la nuit

Après cette série d’humiliations, la cavalière me fit coucher sur le dos sur une planche de bois où elle mit un peu de paille. Elle prit quatre chaînes qui étaient fixées aux parois de l’écurie. Elle fixa les quatre autres extrémités à mes poignets et à mes chevilles. Les cordes n’étaient pas très tendues et j’appréciais d’être relativement libre de mes mouvements. La torture était plutôt dans l’humiliation que dans la douleur et dans l’envie pressante que j’avais de me masturber sans pouvoir toucher mon sexe.

Elle devait avoir deviné l’envie que j’avais de jouir car elle toucha mon sexe turgescent avec la pointe de sa chaussure.

-Eh bien, dit-elle, on dirait que tu as aimé le dessert de tout à l’heure !

Elle mit alors sa semelle sur mon sexe et elle l’essuya consciencieusement. Ensuite elle se plaça entre mes cuisses et enfonça son pied droit entre mes fesses et son pied gauche sur mon sexe puis elle prit appui sur son pied gauche et monta tout à fait sur moi. Paradoxalement, j’éprouvai un certain sentiment de fierté de pouvoir la porter, de lui servir de paillasson. Elle fit alors quelques pas sur moi, tentant de trouver son équilibre puis elle mit la pointe de sa chaussure gauche dans ma bouche, que j’ouvrais goulûment. Intérieurement, je la remerciais de m’offrir cette nouvelle sensation de dégustation inattendue mais ô combien excitante.

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