Après une bonne promenade sous un beau soleil hivernal, je décide de faire une pause à une terrasse de
café. Je suis vêtu d’un costume flanelle anthracite, d’une chemise blanche à col court et de mes Mephistos
assez increvables noires.
Ces flanneries de week-end occupent mon temps de célibataire timide et attiré, sans pouvoir arriver à
engager un lien, par les Femmes autoritaires. Durant la promenade, j’ai pu, chemin faisant, contempler
de façon libidineuse des Femmes bottées ou même à deux reprises avec des cuissardes luisantes. La vision de ces femmes m’ont perturbé et rempli d’émoi. Cependant, j’ai aussi ressenti un sentiment de honte car je me sens incapable de faire un geste, un signe. J’ai, toujours, cette peur d’être rejeté.
A la terrasse d’un café…
Il n’y a pas foule, en ce milieu d’après-midi, en terrasse. Aussi, je peux m’installer dans un
coin pour me laisser la possibilité d’observer les mouvements, les allers et venues des passants, en toute discrétion.
Ainsi, je vois arriver deux Femmes, la trentaine, me semble t-il (j’en ai 40!), toutes deux assez grandes et bien
charnues. La première est blonde, cheveux mi-longs ondulés, avec un rouge à lèvre foncé de même
couleur que son tailleur strict dont la jupe révèle des formes arrondies. Elle porte des escarpins à talons
hauts. Le tailleur et les escarpins sont de la même couleur que son rouge à lèvres. Le noir qu’elle a mis à ses yeux donne
un aspect sévère à son visage hautain. La seconde femme est métisse. Elle porte une veste cuir noire entrouverte, laissant apparaître un corset noir lui aussi mettant en valeur une poitrine généreuse, un pantalon latex moulant et des cuissardes lui montant juste au dessus du genou. Sa chevelure est une natte crépue retombant sur ses épaules.
Je suis saisi par la vision de ces deux splendides femmes, qui s’installent à une table près de moi. Je lance un premier regard furtif puis un deuxième, puis un troisième … A la fin, je ne peux détacher mon regard d’elles. Cependant, je n’ose tendre l’oreille de peur d’être indiscret mais des bribes de leur conversation me parviennent. Ainsi, je comprends qu’elles parlent de mecs humiliés, de mecs qui ne savent pas assumer et de la supériorité féminine. Finalement, je décide de me concentrer sur ces voix assez rauques et de tonalité basse assez notable venant de femmes si féminines.
…Troublante et inattendue rencontre avec une ancienne élève…
La blonde se lève et va commander. En revenant, je la vois qui me fixe, dépasse sa table et vient s’assoir à ma table sans rien me demander, de façon à la fois naturelle et autoritaire. Je lève le regard, incrédule et la contemple. Elle me
fixe et je sens que je suis transpercé.
- Ça, par hasard, Monsieur Jean, mon ancien professeur !
- « … »
- Bien sur, vous ne me reconnaissez pas. Je suis Laure Y. Vous avez été mon prof en 1ère et
Terminale ! Vous aviez failli me faire renvoyer du Lycée, mais ma mère et les parents d’élève
avaient réussi à vous en dissuader. En tout cas, je vous en ai beaucoup voulu, et là aujourd’hui je
vous retrouve.
- oui, je me souviens. Je ne vous aurais pas reconnue tellement vous avez changé. Je regrette ce
qui s’est passé. J’étais professeur débutant et je manquais d’autorité. Ainsi,j’ai du vouloir un peu forcer… Je
vous présente mes excuses !
Là, je finis en bredouillant, et elle continue à me regarder alors que j’ai baissé le regard. Un sourire
narquois s’esquisse sur son visage, et elle se retourne pour inviter son amie à nous rejoindre, sans rien me
demander.
- Je vous présente Maura, une amie très proche. Maura, voilà le cauchemar de ma vie
lycéenne.
Une rougeur de honte et de gène me remplit pendant qu’elle éclate d’un rire de fond de gorge.
- Du coup pour vous faire pardonner, vous allez nous offrir à boire !
- Bien sur Mademoiselle ! Je vous en prie, Mademoiselle Maura, prenez donc place !
…qui s’invite à ma table avec sa superbe amie!
Je sens le regard de la nouvelle arrivée, Maura, me fixer lui aussi et je ne sais plus où me mettre. Je me tortille
sur ma chaise cherchant une contenance.
- Ben, dis donc, il est pas mal ton prof! Il est mignon ton cauchemar, un peu gras peut être
mais il le porte bien !
Là, je rougis, je voudrais passer sous la table.
- Peut-être mais il nous matait ferme, comme un petit vicieux. Ah Monsieur Jean, on se
permet de regarder les Femmes en douce pour faire une provision d’images souvenirs ? C’est
quoi qui t’attire, espèce de gros cochon de mâle ?
J’essaie de tenter de protester mais la charge me cloue sur place, et me laisse sans un mot, juste des
balbutiements à peine audibles… Et elles éclatent de rire.
- Mon cochon, tu es plus rouge que le tailleur de Laure ! Tu as un problème ?
- Oui, depuis que je le regarde, il a un gros problème avec les Femmes, vois-tu Maura ! Ce
serait du genre timide [là je voudrais passer sous terre] et même soumis, vois-tu, de cette race
que nous aimons bien prendre en mains et manipuler.
- Tu crois qu’il serait capable de nous obéir ?
- Toi, le prof soumis, tu en dis quoi ? Tu as déjà obéi à des Femmes ? Non, tu en rêves mais
tu n’oses même pas l’imaginer… Je parie que tu es puceau. Du reste il y a 15 ans, maman me
l’avait dit ; il faut dire qu’elle sait repérer, les soumis, ma garce de mère !
- S’il vous plait, je vous en prie.
- Qu’est-ce qu’il dit celui-là ? Quand les Femmes parlent, les blancs becs écoutent et se
taisent, compris ? : m’assène Maura d’un ton sévère, contredit par son sourire moqueur.
- « … »
Laure, mon ancienne élève veut se venger de moi, son ancien prof!
- Compris ? Tu réponds poliment quand on t’interroge ! Tu mets tes mains sur la table au lieu
de les tortiller, et tu me regardes bien en face ! Alors compris ?
- Oui Mademoiselle Maura, j’ai compris !
Là, j’ai le sentiment que je plonge dans un gouffre, que tout m’échappe et je ne trouve même pas l’énergie
de renverser la situation ou de faire au moins bonne figure.
Alors, Maura tend la main et me la passe dans les cheveux, sur le cou puis finit sur ma joue. Elle
me donne plusieurs petites claques.
- Mais voilà, finalement, on pourrait peut-être en faire quelque chose de ce monsieur
libidineux qui lorgne en douce sur les belles jeunes Femmes. Et puis, il faut qu’il répare les
cauchemars qu’il t’a faits : c’est nous qui allons être ses cauchemars, son enfer…
- Maura si tu veux mon avis, ce puceau vicieux doit être aux anges si on s’occupe de lui.
Alors petit soumis, dis-moi tu es bien puceau, un petit branleur ?
- Oui Mademoiselle Laure, je suis puceau et je me masturbe souvent !
- Tu utiliseras les mots humiliants que nous t’adressons, ok ?
- Oui Mademoiselle Laure, je suis un petit branleur!
Laure veut faire de moi leur soumis!…
Et pendant que je regarde Laure qui me fixe à nouveau du regard, je sens la main de Maura m’écarter les
cuisses et chercher le zip de ma braguette pour y faufiler sa main et palper mon sexe à travers le tissu.
- Remarque, il ne semble pas qu’il y ait grand chose à branler si tu veux mon avis ! Rien que de
la petite bite. Même en bandant ! Alors Petite bite, ça te fait de l’effet d’être traité plus bas que terre par
deux Femmes au Top ?
- Oui Mademoiselle Maura ! J’ai honte !
- Tu peux, tu peux avoir honte : tu n’es qu’un porc.. Comme tous les mecs !
- Bon, me dit Laure, c’est pas tout ça. On va te donner une chance exceptionnelle en
t’essayant comme soumis. Je ne te demande même pas ton accord. Il suffit de te regarder pour
savoir que tu ne rêves que de ça ! Et puis comme ça je pourrais te mettre une bonne fessée que
tu as bien méritée, n’est-pas petit soumis ?
- Oui Mademoiselle Laure j’ai mérité une fessée pour mon comportement à votre égard, et
aussi pour mes regard dérobés sur votre beauté et celle de Mademoiselle Maura sans en avoir
l’autorisation. Je sens la honte de m’être comporté comme un macho ! Je vous remercie de bien
vouloir faire de moi votre soumis et de bien vouloir être mes Maîtresses !
- Mais c’est qu’il aurait des usages ce cochon ? Où tu as appris comment on parle aux vraies
Femmes ? Dans des bouquins, sur des sites cochons, ou en film ? Je languis d’aller voir chez toi tout ce que tu peux cacher pour te branler.
…pour mon plus grand plaisir!
Là, je baisse la tête à nouveau, contrarié d’être ainsi deviné si facilement, et honteux de montrer un prof
assez consciencieux pris en flagrant délit de désirs honteux et cachés. Et elles me disent d’aller payer,
qu’elles m’attendent mais pas trop longtemps. Je me lève, gêné par le fait que je bande, après avoir remonter ma
braguette. C’est que Maura m’a massé le sexe et un peu attrapé les couilles… et je suis dans un état.
J’imagine que tout le monde le voit. Du reste la serveuse qui est passé plusieurs fois en terrasse et qui est
venue nous servir me regarde d’un air narquois.
- Tout a été comme vous voulez ?
Je file dare dare rejoindre mes Maîtresses qui se lèvent.
- Tu viens avec nous petit soumis et tu nous suis ! Mais tu ne regarde pas nos fesses : le regard porté sur
nos pieds.
- Oui Maîtresse !
Maîtresse Laure vient vers moi, entrouvre ma veste et au travers de la chemise me tire les tétons. Je
réprime le gémissement qui me vient, et elle continue en me regardant bien.
- Maintenant tu nous appartiens ! Et ne t’avise pas de faire faux bond : on saura où te
retrouver… Allez, viens, esclave !
Et voilà, maintenant, je les suis aveuglément, comme un bon petit soumis!
Et elles démarrent! J’emboite le pas, complètement sonné et fasciné. Les escarpins à talons de
Maîtresse Laure, les cuissardes à talons de Maîtresse Maura, voilà mon horizon, mon cap, ma boussole !
Et je les suis dans la ville, les yeux collés à leurs pas, aveugle à tout autre chose, sans autre souci que de
les perdre, car elles vont vite et il commence à y avoir du monde.
Finalement, elles entrent dans un immeuble cossu. Je m’y engouffre, également. Elles m’attendent dans l’ascenseur. Ensuite, elles appuient sur le bouton du 14ème étage, le dernier. Je suis coincé entre Elles deux. Maîtresse Laure m’attrape les couilles à travers le pantalon, et serre fort puis relache la pression. Ensuite, elle resserre tout en me regardant dans les yeux durement. Dans le même temps, Maîtresse Maura palpe et tripote mes fesses, puis remonte sous ma veste en me griffant le dos au travers de la chemise. Je me sens comme asphyxié, en apnée, bouche ouverte et
sans voix…
Au moment où l’ascenseur ralentit pour s’arrêter Maîtresse Laure me crache dans la bouche!
- Avale !
Et j’engloutis son crachat pendant qu’elle a un sourire de victorieuse.
Je suis poussé dans un couloir et quand la porte s’ouvre. J’entre dans un luxueux appartement. On me
presse vers le salon fortement décoré de façon sombre et ors, avec des fauteuils et canapés revêtus de cuir
sombre.
Wouha…croise u e ex connaissançe qui prend le pouvoir…M un reve
Histoire très intéressante qui donne envie de savoir comment ce professeur va vivre la suite de son dressage. C’est une situation que j’aimerais vivre