Je suis debout , revêtu de mon collier de chienne d’une cagoule de latex qui ne comporte qu’un trou au niveau de ma bouche qui est obstruée par un bâillon boule ,une cage de chasteté sur mon sexe , les bras et les jambes écartés , attaché avec des chaînes et des pinces sur chaque téton.
Maîtresse et Mélanie sont sorties faire du shopping et m’ont laissé comme cela, soumis à disposition, devant une webcam allumée pour pouvoir me mater à distance..
Depuis combien de temps , j’attends dans cette position. Mes bras commencent à être douloureux , mais ce n’est rien comparé à la douleur des tétons. Je ne peux que subir , car le bâillon me rappelle que je ne suis plus qu’une chose à la merci de Maîtresse.
Il me semble entendre le bruit de la porte s’ouvrir. Mais je ne distingue pas de bruit de talon ; Maîtresse est elle là, ? Non je n’entends plus de bruit , j’ai dû me tromper sur ce bruit. Le moindre bruit me met en alerte, car n’importe qui peut rentrer . Je n’ai pas entendu Maîtresse fermer à clé ma porte.
Pensant être seul , je continue à me remémorer ma nouvelle condition. Tout à coup , un coup violent s’abat sur mes fesses. Spontanément il me fait m’agiter de douleur , mais les chaînes m’empêchent d’empêcher de nouveaux coups. Je ne connais pas cette douleur. Pourtant j’ai connu le martinet , la cravache mais le coup a été cinglant . A peine remis de mes émotions , qu’un deuxième puis un troisième s’abattent sur mon cul. Mais qui est ce qui me fouette et avec quoi ? Je sens une présence tourner autour de moi. Je sens un parfum de femme mais ce n’est pas celui de Maîtresse ni de Mélanie. Qui est là ? Le bâillon m’empêche de poser ces questions. Je ne suis qu’un jouet pour cette personne.
Une main soupèse mes couilles , caresse mon cul. Je sens une tige qui doit être en bois s’incruster sous mes couilles. Je comprends qu’il doit s’agir d’une badine en bois. Lentement, la badine se retire et immédiatement après, un coup s’abat sur mes couilles. Malgré le bâillon , un son de douleur s’échappe de ma bouche. Un second coup commence à me faire avoir des larmes mais la cagoule empêche ma tortionnaire de le voir. Je ne peux dire stop. Je suis vulnérable. Curieusement, mon sexe commence à grossir mais la cage empêche toute érection mais me procure une douleur .Les coups s’arrêtent , mais la dominatrice me caresse tout le corps avec sa badine. Rien que de penser que je peux prendre d’autres coups n’importe où , je panique . Puis la dominatrice tapote avec la badine sur les pinces aux tétons. La douleur est intense. Elle enlève sans ménagement les pinces ce qui a pour effet d’augmenter la douleur. Puis deux coups s’abattent sur mes fesses , deux sur chaque téton et deux sur les couilles. Si je n’étais pas attaché je serais tombé à genoux pour implorer ma dominatrice d’arrêter.
Elle m’attache les couilles avec un lien et installe plusieurs poids. Mes couilles sont attirées vers le sol et c’est douloureux. Elle s’amuse à faire balancer les poids ;
Un silence s’installe.
Tout à coup le haut parleur du PC crépite : « Baise le » Je reconnaîs la voix de Maîtresse. Je suis dominé en direct via la webcam.
Je sens une main gantée de latex commencer à m’explorer mon rectum. Un puis deux puis trois me dilate le fondement. Je sens un god se présenter devant mon cul et commencer à s’enfoncer . Les mains de la dominatrice me prennent chaque téton et commencent à les tirer , les torturer. Je me fais baiser avec fougue, les poids des couilles se balancent. Tout mon corps n’est que douleur mais ma cage empêche de bander , pourtant je suis en extase. Pendant de longues minutes, je me fais sodomiser par une femme inconnue devant une webcam. Combien de personnes regardent ? . Elle se retire. Me tapote les fesses comme on le ferait pour remercier un chien.
J’entends un briquet qui allume une cigarette. Je sens l’odeur du tabac. Par contre, je sens aussi une autre odeur . Au moment où j’analyse cette odeur, la cire chaude coule le long de mes tétons et sur mon sexe. Plusieurs coulées de cire chaude se figent sur mes tétons , couilles , gland , torse , cul . Plus je bouge , plus les poids aux couilles se balancent et me font mal.
Puis pour la première fois, j’entends la voix de ma dominatrice « Alors mon petit bichon , tu es maculé de cire il faut nettoyer tout cela »
D’un signe de la tête, j’acquiesce. En détachant le lien aux couilles avec les poids, elle me dit
« Avec moi il n’y a qu’une manière pour enlever cette cire. Sais tu laquelle? «
Je pense qu’il doit s’agir d’une méthode douloureuse mais avec la tête je réponds que non.
« Avec la badine que tu aimes tant. C’est le seul moyen efficace pour enlever tout cela »
Rien que d’y penser je tressaille mais les coups commencent à pleuvoir . Je sens la cire se décoller.
Sans ménagement, la dominatrice nettoie la cire. Mon corps est zébré de coups.
Malgré le bâillon , je crie de douleur, ce qui fait rire la dominatrice.
« Oui , ta douleur m’excite, tu n’as pas honte de me faire mouiller salope. » Et à ces mots, les coups redoublent de puissance. L’ensemble de mon corps n’est plus que douleur. Les coups s’arrêtent mais je sens les brûlures.
« tu ne peux pas savoir comme j’adore te voir te tortiller de douleur. Ça m’enivre. Dommage que tu ne puisses pas voir. Car en ce moment je suis en train de passer sur mon sexe humide. Humm !! Elle s’approche de moi ? Je sens son souffle .
« Constate comme je suis humide. » Je sens qu’elle se rapproche de mon sexe encagé qu’elle prend et le dirige vers son sexe. Je sens qu’elle est nue. Ma cage touche son sexe humide. Elle commence à rentrer la cage dans son sexe et à se baiser.
« Dommage que tu ne puisses pas bander mais ça m’excite . Tu n’es qu’un jouet , un sex toy. Mon sexe se gonfle mais la cage empêche toute érection . La douleur est vive. Je sens cette femme se faire jouir avec mon sexe encagé. Dans sa jouissance elle me mord le torse , me sert avec les fesses.
Elle s’arrête . Puis reprenant ses esprits elle me dit.
« Le panneau n’avait pas menti , tu es une bonne chienne, une bonne salope à dispo, un bon soumis à disposition. »
De quel panneau parle t elle ? Maîtresse a dû laisser une pancarte ? Elle fait de moi une salope à dispo.
Elle met un petit bisou sur le cou. » J’espère que je pourrais te revoir ma salope » Elle me remet le lien aux couilles avec les poids .
J’entends qu’elle se rhabille puis la porte se refermer.
Dans le haut parleur du PC résonne : « Tu as été à la hauteur salope . Je suis contente de toi. A tout à l’heure »
Maîtresse a assisté à toute la scène.