Désir enfoui d’être un homme soumis à une femme !

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Première rencontre avec ma future Maîtresse

Mais que fais-je dans le noir les pieds et mains liés ?  Je respire difficilement avec cette petite culotte qui me recouvre le nez et la bouche et j’ai du mal à remettre mes idées en place. Comment en suis-je arrivé là ? Comment suis-je devenu un homme soumis à une femme ?

Ah oui je commence à me rappeler, tout a commencé il y a deux semaines. J’ai rencontré fortuitement une très belle femme, d’une élégance extrêmement raffinée, lors d’un séminaire de travail.

Au vu de ma position hiérarchique et de mon expérience, j’ai pensé pouvoir l’impressionner et l’aborder plus facilement. Elle m’a tout de suite mis très à l’aise. En fait, j’ai senti qu’elle prenait un malin plaisir avec moi, comme si finalement j’étais celui qu’elle attendait. Je suis devenu sa proie sans même avoir eu le temps de m’en apercevoir !

Les premiers rendez-vous se sont très bien passés. Cependant, je sentais qu’elle cherchait à me sonder, à aller au fond des choses, comme si elle voulait que j’avoue quelque chose. Elle me parlait beaucoup de la FEMME et du respect qu’on lui doit. C’est vrai qu’elle avait une classe folle. A chaque rencontre, mes yeux étaient tout écarquillés et mes oreilles attentives à ses moindres paroles. Je ressentais au plus profond de moi ses moindres respirations et frottements de ses lèvres et de sa langue. Ses tenues semblaient toujours flotter autour d’elle avec une grande grâce, des tenues toujours très légères, qui sublimaient le corps féminin.

Mais au fur et à mesure des rencontres, je me suis vite rendu-compte que je n’avais pas besoin de voir ses artifices pour vénérer le corps féminin. Un besoin pulsionnel est rejailli du plus profond de mon être, comme s’il attendait de sortir depuis toujours. Je n’avais plus qu’un désir : lui appartenir.

Je me suis livré à elle lors d’un diner !

homme soumis

Comme une évidence, je m’apercevais que j’avais vraiment ce désir enfoui en moi depuis toujours. En fait, cela devenait obsessionnel. Je ne pouvais m’empêcher d’y penser tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes et toutes les secondes. Cela commençait à perturber mon travail et ma vie de tous les jours. N’en pouvant plus, je me suis décidé à lui dire.

Ce fut lors d’un dîner, qui démarrait comme les autres par des discussions ordinaires. Cependant, dès que je lui ai dit, son regard a changé immédiatement et s’est durci. Son regard était interrogatif mais surtout accompagné d’un léger sourire narquois. Devant ce regard, je me suis senti tout petit, comme un enfant timide. Prenant mon courage à deux mains, je lui ai déclaré tout de même ma soumission totale, car je n’en pouvais plus. Je voulais être un homme soumis!

Immédiatement, les choses ont basculé, comme si tout cela était déjà planifié et qu’elle savait pertinemment que j’allais me livrer à elle. Effectivement, le mot fut bien choisi, car cela s’est passé comme une « livraison ». Je n’étais plus qu’une chose, qu’un objet qu’elle allait consommer selon son bon plaisir. En plus, j’allais sans cesse en redemander, avec une jouissance inimaginable.

Début de ma vie d’homme soumis à une femme !

Cela commença au début, par des moments bien choisis, généralement chez elle. Elle n’avait qu’un mot à dire et immédiatement je me mettais en position de soumis. Je lui montrais mon respect et ma dévotion, en me mettant nu sans perdre une seconde et en me jetant à ses pieds, les caressant, les embrassant et les léchant selon ses ordres. Elle me testa petit à petit pour que je progresse vers une servitude totale. Et très vite je n’avais plus le droit d’être devant elle autrement que tout nu, à quatre pattes et portant un collier et laisse. Les moments où elle n’avait pas besoin de moi, j’étais enchaîné, souvent dans des positions humiliantes mais agréables pour le regard de ma Maîtresse.

Les choses se sont alors un peu emballées, et elle me réclamait à ses pieds de plus en plus souvent. Son imagination était débordante et même je pense sans limite.

Quand elle commença à me posséder fermement et qu’elle connaissait bien certaines de mes réticences et limites, elle se décida à vouloir les forcer petit à petit, pour que je lui prouve toute mon abnégation et la vénération vouée à ma Déesse.

La première ‘limite’ à laquelle elle s’attacha, fut de m’exhiber en tant qu’Esclave devant ses amies, et non juste en tête à tête. Elle m’envoya un texto pour que je vienne après le travail pour s’occuper de son dîner. Elle m’avait laissé, comme d’habitude, les instructions auxquelles je devais me plier. Cela commençait par devoir me déshabiller totalement devant sa porte. Il y avait une caisse dans laquelle je pouvais mettre mes affaires. Cette caisse contenait également les accessoires, qu’elle avait envie de voir sur moi.

Esclave personnel de ma Maîtresse !

Pour cette soirée, elle avait placé, comme assez souvent, un collier de chien avec une laisse, et des chaines pour entraver mes pieds et mes mains. Je devais me mettre à quatre pattes et me présenter ainsi en tenant la laisse vers ma Maîtresse et en ne regardant que ses pieds. Elle ouvrit et me traina en tirant sur la laisse dans le salon. Elle s’amusa d’abord avec moi, et je commençais à avoir les fesses bien rouges. C’était comme si Ma Maîtresse m’échauffait pour me mettre en condition pour quelque chose d’inhabituelle. Puis la porte sonna, le bruit me glaça le sang, car toute la honte de ma situation remonta alors d’un coup. Elle m’ordonna d’aller ouvrir comme si c’était ‘Elle’ qui était derrière la porte. Elle n’eut pas besoin d’user beaucoup de persuasion pour que j’obéisse.

Ainsi, à quatre pattes, tenu en laisse par Ma Maitresse, j’ouvris la porte et ne regarda que les pieds qui s’offraient à moi. Rapidement, j’entendis des rires et gloussements. Une fois entrées, Ma Maitresse qui m’avait présenté comme son Esclave personnel, leur dit que je serais aussi à leurs services toute la soirée. Je dus bien entendu lécher les pieds des trois invitées, avec ordre de bien distinguer les odeurs entre elles. Elles jouèrent avec moi, pour savoir si j’étais capable avec un bandeau sur les yeux, de reconnaître les pieds de chacune.

Homme soumis pour ma Maîtresse et ses amies !

A chaque erreur, elles choisissaient un gage, qui allait de 50 coups de fouet, en passant par le nettoyage complet avec ma langue de leurs orteils et plantes de pieds… Et cela se répétait tant que je me trompais puis les jeux se sont succédés, moi toujours offert à leur regard et plaisirs. J’étais leur chose, leur objet, leur larbin, et la soirée avançait et je l’entendais aussi, bien arrosée…

Il y a eu un moment où Ma Maîtresse n’en pouvant plus, et sous l’effet de l’alcool, me jeta un ordre percutant :

  • J’ai envie de faire pipi, Esclave vient là tout de suite ! .

Une de ses invitées, qui m’utilisait comme repose pieds, tira sur ma laisse en criant :

  • Oh ! il peut faire ça c’est top !

Elle me traîna, toute excitée, vers Ma Maîtresse. Celle-ci m’ordonna de vite baisser sa culotte et d’ouvrir grand la bouche.

  • Ne perd pas une goutte mon Esclave, sinon ça va barder, tu as compris ?, Allez VITE !

Je baissai délicatement sa culotte pour qu’elle puisse se positionner sur ma bouche que j’ouvris en grand, comme avide de pouvoir boire enfin son champagne doré. Devant les rires de ses amies, et n’en pouvant plus de se retenir, elle me plaqua sur son intimité. Un jet extrêmement puissant et chaud envahit ma bouche que je ne pus entièrement retenir. J’avala au fur et à mesure que le jet odorant rentrait dans ma bouche. Jamais je n’avais pris autant de plaisir à boire un liquide si divin. Puis après quelques soubresauts de Ma Maîtresse pour évacuer les dernières gouttes…

Urinoir pour ces dames !

Elle émit un râle de plaisir et me dit en criant :

  • Gros cochon, en plus tu as vu tout ce que tu as laissé partir ?? Nettoie-moi ça tout de suite, allez LECHE et commence par mes jambes et après tu lèches TOUT ce qui est par terre, ALLEZ VITE !

Ses amies étaient alors surexcitées et pendant que je léchais, une s’amusait à me fouetter pour me punir de ne pas avoir été un bon urinoir de Maîtresse, pendant qu’une autre disait :

  • Puisque tu ne sais pas boire correctement, tu vas boire toutes nos pisses. On va t’obliger à bien boire en faisant pipi dans un saladier pour que tu boives comme un chien et que l’on te voit bien laper la bonne pisse de tes Maîtresses, t’as compris Esclave ?

Et pendant le reste de la soirée, je devais apporter le saladier entre leurs jambes dès qu’elles avaient envies de faire pipi. Elles utilisaient ma langue comme papier toilette. Puis le saladier fut tellement rempli, que ce fut le moment où on m’ordonna de venir laper comme un chien et de tout boire pour montrer comment j’appréciais leurs liqueurs.

Dès lors, la tête commençait à tourner et les souvenirs embrouillés. Pourtant, je me souviens bien du dernier jeu de la soirée. Il consistait à ce que je leur prouve à quel point j’étais un homme soumis et que j’avais été honoré d’être leur esclave. Aussi, je devais reconnaître les odeurs des petites culottes des invitées mélangées avec celle de ma Maîtresse. Je n’avais pas le droit à l’erreur… Mais avec tout ce que j’avais subi, tout ce que j’avais bu venant de mes Maîtresses, je n’étais plus en état. Ainsi, lorsque j’ai dû dire à qui appartenait chaque culotte en les reniflant, je me suis, malheureusement, trompé à plusieurs reprises.

Homme soumis enfermé et enchainé dans un placard !

Comme punition, j’ai dû nettoyer avec ma langue toutes les culottes jusqu’à ce qu’il n’y est plus aucune trace et pour m’apprendre à retenir leurs odeurs intimes. En effet, elles m’ont promis de revenir et de m’en faire baver encore plus la prochaine fois. J’avais pas intérêt à me tromper sur leurs odeurs intimes…

Ma Maîtresse, une fois ses invitées parties, me reprocha de n’avoir pas été à la hauteur et que je devais m’améliorer. Pour me punir, je serai enfermé dans le placard à balais. Elle me colla sur le visage une petite culotte qu’elle retira du bac à linge sale avec les odeurs intimes collées sur mon nez et ma bouche. J’avais tout le reste de la nuit pour apprendre à reconnaître son odeur.

C’est ainsi que je me réveillai enchainé et enfermé dans ce placard noir avec cette culotte odorante sur mon visage. Mais là j’eus un sursaut… Oh mais Ma Maitresse m’avait ordonné aussi de rendre sa culotte toute propre pour le lendemain. Vite, je m’affairai à sucer et lécher fortement pour bien nettoyer et au plus vite la culotte de Ma Maîtresse avant qu’elle ne vienne me voir…

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