Ma conquête, Maîtresse dominatrice, se sert de mon corps (10)

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Finalisation de la tenue

Je suivais donc, ma Maîtresse dominatrice, à quatre pattes, comme le bon toutou docile que j’étais devenu.

Elle me mena, sans mot dire, jusqu’à la chambre. Celle-ci était plutôt sobre, mais assez grande.

Au milieu, adossé au mur, un lit King Size occupait une bonne partie de la chambre.

  • J’aime bien avoir de la place, dit-elle en souriant.

Arrivé au pied du lit, je m’arrêtai. Ma Maîtresse dominatrice tira, légèrement, sur la laisse pour m’indiquer le chemin. Toujours à quatre pattes, je montai sur le lit.

  • « Comme un bon toutou bien dressé, tu ne montes sur le lit que si je t’y autorise ! »

 

 

  • Tu as compris ?

 

  • Oui Maitresse!

Elle se retourna pour farfouiller dans un tiroir.

  • Regarde ce qui complète bien ta tenue de tout bien dressé !

Je tournai la tête et vis un plug prolongé par une queue en fourrure.

  • Il faut l’essayer de suite !

Elle vint derrière moi et inséra le plug dans mon anus après une petite lubrification du plug.

Puis elle tira légèrement sur la queue, puis dit :

  • Il tient bien, c’est la bonne taille !… montre que tu es content, remue de la queue !

Cambré à quatre pattes sur le lit, je secouais mon arrière train, faisant bouger la queue de droite à gauche.

  • Très bien !, s’exclama-t-elle,  Mais maintenant, voyons si tu peux servir à m’endormir!

Mise en position du « jouet »

 

Maîtresse dominatrice

Me guidant avec la laisse, ma Maitresse dominatrice me fit avancer un peu sur le lit, puis, d’un geste de rotation, me fit me retourner sur le dos.

Elle prit mon poignet droit par l’anneau de la menotte, ramenant ma main au bord du lit. J’entendis un « clic ». faisant le tour du lit, Elle fit de même avec mon poignet gauche.

J’avais les bras en crois, tenus par un dispositif ajouté au lit, que je n’avais pas remarqué.

Puis, se positionnant au pied du lit, elle écarta mes jambes en tenant mes chevilles. Droite, puis gauche, j’entendis également les « clics ».

Elle  passa sa main sous mes fesses, entre mes cuisses, et d’une légère pression m’ordonna de soulever mon bassin. Elle dégagea la queue délicatement afin que le plug reste en place.

  • Voilà un tableau qui me ravit !, dit-elle

J’étais donc, en position écartelé sur le dos, maintenu sur le lit par les menottes aux poignets et aux chevilles, avec une queue de toutou qui sortait entre mes cuisses.

Devenir objet de plaisir pour sa Maîtresse dominatrice

Ma Maîtresse dominatrice me contempla, me toisa, depuis le pied du lit, satisfaite de son oeuvre.

Puis, Elle retira la petite robe légère qui était son seul habit. Elle se montra nue, dans toute Sa splendeur devant mes yeux. Dans mon regard, Elle put déceler le mélange d’admiration et de peur de l’inconnu de ce qui allait m’arriver.

Elle posa ses mains sur mes chevilles et remonta doucement, caressant mes jambes jusqu’à mes cuisses. Puis, de ses doigts délicats, Elle caressa la cage et mon sexe enfermé. Celui-ci réagit promptement et, grossissant, il se trouva vite à l’étroit. C’était à la fois douloureux et excitant!

Elle était venue poser ses genoux entre mes jambes écartées, et Elle continuait ses caresses, de mes pieds jusqu’à mon cou, maintenant, s’attardant par moment sur la cage qui me serrait de plus en plus.

Elle se lova et s’allongea sur mon corps. Le contraste entre cette douce tendresse et les événements précédents de la soirée me laissa m’abandonner encore plus à Elle.

Se décollant de moi, Elle me regarda dans les yeux et murmura:

  • Au boulot, maintenant !

Joignant le geste à la parole, Elle fit prestement demi tour et, posant ses genoux de chaque cotés de ma tête, Elle me présenta son intimité.

Ne me faisant pas prier, j’ouvris la bouche et sortis ma langue pour la satisfaire quand Elle vint se coller à mes lèvres.

Libération sous condition

Sa respiration était de plus en plus rapide.

Alors que ma langue et mes lèvres léchaient et embrassaient son clitoris et toute son intimité, elle se pencha en avant et saisit mon sexe à pleine main.

  • Tu n’as pas intérêt de jouir avant que je t’y autorise !, dit-Elle en me regardant par dessus sont épaule.

Elle défit la cage, libérant ma verge qui se tendit d’un coup. Elle la saisit d’une main ferme et sans prévenir, se pencha pour la mettre en bouche. Je dus lutter pour ne pas jouir instantanément.

Me libérant de sa bouche, je l’entendis me dire :

  • Heureusement que l’on t’a bien vidé juste avant, je crois que tu aurais explosé immédiatement !

Puis, Elle me reprit en bouche, alors que je continuais à la lécher et insérant par moment ma langue en elle.

De sa main gauche, Elle tenait mes boules, et de la droite, Elle jouait avec la queue, titillant mon intérieur avec le plug.

  • C’est juste pour t’exciter.!

Puis Elle s’arrêta de parler, se cambra, ses cuisses vinrent serrer ma tête pendant que ses mains se refermaient sur ma verge.

  • « Ouiiiiiiiiiiii ! » lacha-t-Elle alors que sa cyprine coulait au fond de ma gorge.

Elle resta, quelques instants, ainsi parcourue par quelques spasmes, et je m’amusais de la voir tressauter lorsque ma langue touchait son clitoris.

Synchronisation contrôlée

Elle se décolla doucement et entreprit de dérouler un préservatif sur ma verge tendue.

  • Goût banane !, dit-elle et déposant un baiser sur mon gland.

Puis, prestement, Elle fit demi tour, libérant ma tête, mais venant s’empaler sur ma verge.

Tout en faisant des petits mouvement de bassins, Elle se pencha vers le tiroir de la table de chevet. Elle en sortit le bâillon boule qu’elle posa immédiatement sur ma bouche, vite attaché.

  • Pas avant que je ne t’y autorise ! Tu t’en souviens ?

Je fis oui de la tête, ne pouvant plus parler.

Elle montait et descendait sur ma verge, variant le rythme, jusqu’au moment de non retour où Elle accéléra.

Je me retenais mais je savais que je n’allais pas tenir longtemps ainsi.

Après une n-ième montée-descente, Elle vint s’empaler brutalement en lâchant un « Maintenant ! ».

J’attendais cette parole libératrice et immédiatement, je jouis alors que ma Maitresse vint s’empaler une dernière fois sur moi, dans un cri de jouissance.

Mon râle, déjà étouffé par le bâillon, fut à peine entendu.

J’étais vidé, mais ma Maitresse, Elle, semblait rayonnante et épanouie par Sa jouissance.

Fin de la soirée

Gardant ma verge en Elle, Elle s’allongea doucement sur mon torse et m’embrassa délicatement sur la bouche.

Elle resta ainsi quelques minutes, le temps que nous reprenions tous les deux nos esprits.

Puis, Elle se leva, retira le préservatif de mon sexe.

Elle alla sur la droite du lit, puis décrocha les menottes de mon poignet et de ma cheville droites.

Enfin, Elle amena ces menottes vers la gauche du lit, me forçant à me cocher sur le coté.

Elle accrocha les menottes aux anneaux qui maintenaient mon poignet et ma cheville gauche.

  • Voilà, comme ça, tu ne prendras que la place nécessaire, dit-elle.

Puis, ma Maitresse vint s’allonger dans mon dos, Elle éteignit la lumière.

Dans le noir, je la sentis venir se coller à moi. Elle posa un doux baiser dans mon cou et me murmura à l’oreille :

  • Bonne nuit, mon nouveau jouet, je sens que je vais beaucoup t’utiliser…

Je m’endormis donc, pieds et poings liés, sur le coté et un bâillon boule en bouche pour « m’empêcher de ronfler » comme ma Maitresse me l’avait précisé.

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