La voiture roule vers le domicile de ma Maîtresse. Mélanie conduit . Maîtresse est à coté de moi, son soumis maso, à l’arrière. Elle m’a transformée en chienne salope pour une soirée . Ainsi mes cheveux bruns plaqués avec du gel, mes cils, mes sourcils, les contours des yeux maquillés, le fond de teint et le rouge à lèvre me donnent un air de salope qui est amplifié avec le port de bas maintenus par un porte-jarretelle, un slip tanga noir recouvrant mon sexe encagé, un soutien gorge noir rempli de ballon de baudruche pour donner l’illusion d’une poitrine, un chemiser blanc avec un décolleté, une jupe en cuir noir très courte et de hauts escarpins.
Maîtresse passe sa main sur mes cuisses. Elle caresse l’intérieur de mes jambes, ce qui provoque une réaction immédiatement stoppée par la cage. Elle sait que c’est douloureux mais elle continue comme pour tester ma docilité. Dans le creux de l’oreille, elle me dit qu’habillé comme cela je suis excitante.
Au bout d’une demi heure, la voiture s’arrête. Mélanie sort. Au bout d’un moment, Maîtresse descend du véhicule. Je la suis. Une grande gifle claque contre ma joue .
– Ce n’est pas parce que tu es habillé en pute que tu ne dois pas continuer à être soumis. Pourquoi ne m’as-tu pas ouvert la porte pour descendre comme tout soumis l’aurais fait?
– Heu!
Deuxième gifle.
– Pardon Maîtresse, excusez-moi Maîtresse!
– Suis nous tête baissée!
Je marche difficilement sur le gravillon, tête baissée. Je monte un escalier. Immédiatement, j’ai enregistré ma faute. J’ouvre la porte aux deux femmes qui rentrent sans même me jeter un regard.
Nous sommes dans un vaste couloir. Maîtresse me demande de la suivre dans une pièce. Là, prônent des paires de chaussures et de bottes. Elle prend une paire de bottes noires. Elle me les tend .
– Je souhaite mettre ces bottes ce soir donc tu vas les nettoyer. Je veux qu’elles brillent.
Je saisis les bottes et cherche du regard le matériel de cirage. Maîtresse éclate de rire.
– Ma pauvre godiche, tu ne comprends rien. C’est avec ta langue que tu vas nettoyer mes bottes.
Devant ma dominatrice, je commence à lécher les bottes. Lentement, je nettoie avec ma langue le cuir.
En sortant de la pièce, elle me dit d’un ton autoritaire et rieur :
– Et n’oublie pas de nettoyer les semelles aussi!
Je m’active à ma tâche. Avec ma langue, je nettoie les bottes. Je fais briller ce cuir noir. Puis après un moment d’hésitation, je passe ma langue sur les semelles. Juste au moment, où j’ai fini de nettoyer les bottes, Maîtresse arrive. Elle porte un bustier en cuir laissant apparaître ses épaules et son nombril. Il recouvre magnifiquement sa poitrine, avec un décolleté. Un pantalon blanc moulant sculpte son corps de femme dominatrice. Elle prend les bottes en me disant :
– ça peut aller!
Devant moi, elle enfile ces bottes, ce qui finit de lui donner un air d’amazone cavalière éclatant d’autorité.
Elle me toise du regard. Je ne suis que sa chose. Mes yeux regardent le sol.
– Il manque des choses pour te rendre encore plus salope.
Elle me demande de me mettre à genoux et de tendre les mains. Elle prend un flacon de vernis et commence à me passer du vernis rouge éclatant sur mes ongles. Puis, elle sort une paire de boucles d’oreille à clip représentant une petit paire de menotte et me les installe sur chaque lob.
– Voilà maintenant c’est parfait. Nous allons aller à la soirée. Là bas, tu te comporteras en soumis. Tu ne parleras que si je t’y autorise. Tu accepteras tous les attouchements et les propositions que l’on pourra te faire. Tu resteras à mes cotés comme une chienne car ce soir ton nom sera « LAIKA » compris!
– oui Maîtresse!
– qui es tu ce soir?
– je suis LAIKA Maîtresse
– Une seule faute de ta part et je te punirai. N’oublie pas que tu n’es plus rien, que j’ai des vidéos, des photos de toi en train de sucer des bites, te faire enculer et de faire la chienne. Je suis la seule détentrice de la clé de la cage qui se trouve en pendentif autour de mon cou. Une seule incartade et je diffuse tout. Là bas, tu m’appelleras Dame PAMELA.La bas tu te comportera en soumis bienveillant envers ma personne .
Oui maîtresse
Parfait on va y aller, tu vas conduire. Il faut bien que tu apprennes, mon petit soumis maso, à être un chauffeur à talons.
Nous nous dirigeons vers la voiture. J’ouvre la porte arrière pour que Maîtresse s’installe. Je monte dans la voiture. Je démarre et commence à conduire avec mes chaussures à talons. Maîtresse m’indique le chemin.